Enseignement : l’Inria contre la priorité au logiciel libre, la controverse continue
Comme nous le rapportions hier, l’Afdel, le Syntec numérique et l’Inria ont écrit une lettre à la ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, pour lui demander de revenir sur la priorité aux logiciels libres votée par le Sénat dans le projet de loi relatif à l'enseignement supérieur et à la recherche, à propos des "services et des ressources pédagogiques numériques". La signature du PDG de l’Inria, Michel Cosnard, au côté de celles des présidents du Syntec numérique, Guy Mamou-Mani, et de l’Afdel Jamal Labed, a été vivement critiquée, notamment par l’Aful (Association francophone des utilisateurs de logiciels libres). "De nombreuses startups Inria sont éditeurs de logiciels" Via son compte Twitter (où il n’avait plus posté de messages depuis fin avril), Michel Cosnard a répondu, d’abord de façon générale le 5 juillet, puis hier directement à Laurent Séguin, président de l’Aful: Vendredi 5 juillet 2013 2. 3. 4. 5. Lundi 8 juillet 2013 @lcseguin Vos propos publics me choquent.
Récupéré: Qu'est-ce qu'un logiciel libre / Open Source (GNU, Lin
Le Logiciel Libre, c'est quoi ? Selon la FSF (Free Software Foundation), à l'origine du concept, le logiciel libre est un logiciel fourni avec l'autorisation pour quiconque de l'utiliser, de le copier, et de le distribuer, soit sous une forme conforme à l'original, soit avec des modifications, ou encore gratuitement ou contre un certain montant. Pour être libre, un logiciel doit respecter quatre libertés fondamentales : la liberté d'exécution ; la liberté d'étude ; la liberté de redistribution des copies ; la liberté d'amélioration. Cela siginifie en particulier que son code source doit être disponible. Et l'Open Source ? Dans la pratique, un logiciel libre est toujours Open Source; un logiciel Open Source, généralement libre. A sa création, le terme Open Source devait lever l'ambiguité du free de Free Software. Malheureusement, le terme Open Source entraîne une nouvelle ambiguité : celle qu'un logiciel "à source ouverte" n'est pas forcément libre. Des exemples ?
Logiciel libre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo du projet GNU, initiateur du mouvement du logiciel libre. Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et légalement[1]. Ces droits peuvent être simplement disponibles (cas du domaine public) ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs »[Note 1]. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : les freewares (gratuiciels) : un gratuiciel est un logiciel gratuit, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Définition[modifier | modifier le code] Premières ébauches[modifier | modifier le code] « Premièrement, la liberté de copier un programme et de le redistribuer à vos voisins, qu'ils puissent ainsi l'utiliser aussi bien que vous.
Open Source : décryptage
Très tôt choisis par les administrations, les logiciels libres et Open Source se diffusent désormais en entreprise, à presque tous les étages. Définition du concept. Qui développe les logiciels libres ? C'est le projet GNU, initié par Richard Stallman et développé par des hackers, qui est à l'origine des logiciels libres, dès 1984. Comment est-il possible que les logiciels libres soient compétitifs par rapport aux solutions propriétaires ? Les grandes SSII ont aussi senti le vent tourner, et ont pris le train en marche avec un certain succès. D'un point de vue juridique, que valent les licences des logiciels libres ?
Logiciel Libre et développement durable - Projet GNU
Un grand nombre d'organisations dont l'objectif est de promouvoir le développement en étendant l'usage de l'informatique se méprennent absolument : elles préconisent l'utilisation de logiciel privateur1 (non libre). L'utilisation de logiciel privateur, ce n'est pas du développement ; cela ne renforce pas la société mais au contraire la rend dépendante. Un logiciel privateur tel que MS Windows ou le système Macintosh est distribué avec l'arrière-pensée de garder les utilisateurs divisés et sans défense. Les utilisateurs sont divisés, car aucun d'entre eux ne peut partager le logiciel avec quiconque ; ils sont sans défense, car les « plans » du logiciel (son code source) sont tenus secrets. Les utilisateurs ne peuvent pas modifier le programme ni vérifier qu'il fait bien ce que le développeur a annoncé (et non autre chose dont le développeur n'a pas parlé). Le moyen d'éviter la division et l'impuissance est d'utiliser du logiciel libre.
Regouverner (1/2) : la nouvelle ère des licences libres
En 1972, l’avocate et politologue féministe Jo Freeman (Wikipedia) publiait un article sur « la tyrannie de l’absence de structure » (voir sa traduction en français) où elle critiquait les formes d’organisation ouvertes, sans chefs. Qui sera le gardien de l’open source ? Pour Schneider, les critiques des théories de la coproduction par les pairs sont nombreuses, mais elles oublient souvent que les vertus de l’ouverture et de la méritocratie qui les structurent masquent de profondes inégalités sociales. Or, depuis quelques années, ces critiques ont ressurgi et ont donné lieu à une guerre de culture sourde dans les communautés du logiciel libre et de l’open source. Les licences libres ont permis de transformer les codes sources en ressource publique, ce qui a été une stratégie déterminante pour la production de logiciels libres et de méthodologies open source. Dans son article justement, Schneider observe les récentes dissensions de la communauté du libre pour nous aider à les lire.
Open Source Experience - Le rendez-vous européen de l'écosystème Open Source
Culture numérique 2012-2013 > 07 : (2ème partie) Logiciels libres | Canal U
Bibliographie : les indispensables Outre les articles ou références qui seront mentionnés sur la page de chaque cours, quelquesouvrages constituent les « indispensables » pour entrer de plein pied dans cette approche de laculture numérique. Leur nombre est volontairement limité, et il s'agit d'ouvrage courts etaccessibles. Vu, lu, su : Les architectes de l'information face à l'oligopole du Web , Jean-Michel Salaün,Ed. Dans le labyrinthe : Évaluer l'information sur internet, Alexandre Serres,C&F éditions, 2012 (224 p., 22 €) La Neutralité de l'internet : Un enjeu de communication, Valérie Schafer, Hervé Le Crosnier,Francesca Musiani, CNRS editions, coll. L'édition électronique, Marin Dacos, Pierre Mounier,Ed. Lien de référence du le menu vers « culture numérique »
L'empreinte environnementale du numérique
- 15 décembre 2020 : « Pour un numérique soutenable » : un rapport et 11 propositions pour conjuguer développement des usages et réduction de l’empreinte environnementale du numérique / Communiqué de presse / Le rapport - 9 septembre 2020 : l’Arcep publie le programme des travaux de sa plateforme « Pour un numérique soutenable ». L’enjeu pour l’Arcep : intégrer l’exigence environnementale aux réseaux du futur, dans un nouveau chapitre de la régulation qui s’inscrirait aux côtés d’autres missions essentielles : l’aménagement du territoire et la liberté des utilisateurs / Communiqué de presse / plateforme de travail - 1er juillet 2020 : Sébastien Soriano, président de l'Arcep, était auditionné par la Commission de l'aménagement du territoire et du développement durable présidée par le sénateur Hervé Maurey lors d'une table ronde relative aux impacts sanitaires et environnementaux de la 5G / Revoir l'audition