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Nomophobie : comment soigner cette addiction aux nouvelles technologies ?

Nomophobie : comment soigner cette addiction aux nouvelles technologies ?
Qu'est-ce que la nomophobie ? Jean-Michel Rolland définit la nomophobie comme une forme d'addiction concernant « toutes les personnes qui donnent l'impression d'abuser de l'usage » des nouvelles technologies, c'est-à-dire qui utilisent les outils technologiques (ordinateur, tablette, smartphone, réseaux sociaux) dans l'excès. Le terme de nomophobie reste peu connu mais peut équivaloir à celui de cyberdépendance. Les symptomes de la nomophobie Si après avoir lu ces lignes, vous commencez à vous poser des questions au sujet de votre dépendance aux technologies, il existe plusieurs signes qui peuvent vous mettre la puce à l'oreille. L'impact de la nomophobie dans le monde de l'entreprise Si l'apparition et la banalisation des outils technologiques facilitent le travail à distance et mettent les personnes en relation, ils ont dans un même temps engendré d'importants bouleversements dans le monde professionnel. Que faire face à la dépendance ? Camille Coutant

Des pistes pour soigner la e-dépendance - 26 juin 2013 INVASION. Les écrans ont colonisé les années 2010. Aux États-Unis, près de la moitié des adultes disposent d'un smartphone, et plus d'un tiers arborent une tablette numérique. "Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions - au lit, au restaurant, dans les salles d'attente", constate Remy Oudghiri, directeur de l'institut de sondage français Ipsos et auteur d'un livre sur la "e-dépendance". Comment lutter ? Des chercheurs français ont créé un papier peint spécial qui bloque la transmission des ondes WiFi. L'intérêt est grand, en particulier dans les écoles pour empêcher les élèves et les étudiants de passer trop de temps pendus à leur téléphone pendant les cours, d'après un porte-parole de cette société. D'après une enquête d'Ipsos, près d'un tiers des Français éprouvent le besoin de déconnecter, et des tendances comparables se dégagent dans d'autres pays. Des formules de vacances avec l'option "désintoxication numérique" "ANTI-SOCIAL".

Etes-vous nomophobe? La nomophobie? C’est une nouvelle «maladie», ou au moins déviance, dont le diagnostic est le suivant: souffrir de ne pas avoir son téléphone portable à portée de main. Une enquête britannique très sérieuse, reprise par le Los Angeles Times, vient de révéler, en effet, que 66% des personnes interrogées reconnaissaient être nomophobes, c’est-à-dire craindre de perdre leur mobile ou de le voir trop loin d’eux. Il y a quatre ans, le même sondage avait enregistré un taux de seulement 53%. Dans le détail, les femmes s’avéreraient plus nomophobes (70%) que les hommes (61%) sachant que les 18-24 ans seraient les plus sérieusement atteints avec un total de 77% devant les 25-34 ans (68%). Selon le site allaboutconselling.com, la nomophobie peut se traduire par des attaques de panique, une respiration qui deviendrait courte, des nausées, des tremblements ou un rythme cardiaque accéléré. Comment en guérir? Photo: Le nouveau Windows Phone, octobre 2010.REUTERS/Jessica Rinaldi publicité Devenez fan sur

Les débranche-tout Au resto, au cinéma, aux toilettes, ils gardent toujours un œil sur leur téléphone. Jusqu'à l'overdose. Des cures existent pour ces ultraconnectés. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Lisa Vignoli "Absent du bureau, je serai de retour le 19 août." Afin de se "déconnecter" pour de bon, c'est-à-dire de s'éloigner du réseau Internet et téléphonique pour quelques heures, quelques jours, quelques semaines, il faut désormais envisager quelque chose de bien plus radical : abandonner du même coup ordinateur, tablette et téléphone. Plus qu'un simple outil de communication, le smartphone est devenu cet objet transitionnel dans lequel, selon la formule consacrée, on a déposé "toute sa vie". Aussi, quand il décide de s'en séparer – même temporairement –, le déconnecté le crie haut et fort. En plein "burn-out numérique", l'écrivain français Thierry Crouzet, 50 ans, a raconté, dans J'ai débranché (Fayard), sa cure de déconnexion, longue de six mois.

Ce document établi par le service de psychologie L'addiction au smartphone... tous en risques ? Dans les années 70, les comportements à risques ont été associés aux conséquences d’un usage exagéré de sexe et de drogues. Aujourd’hui il semble que les comportements à risques deviennent la norme : l’accès facile à la technologie numérique a généré une addiction généralisée à une nouvelle prothèse indolore , connue sous le terme générique de smartphone, vade- mecum incontournable d’une identité désirable car augmentée et donc connectée. Ainsi l’addiction à l’écran du smartphone en toutes circonstances est devenue la norme d’une société de l’hyper communication et de l’immédiateté : le téléphone mobile n’est plus tant un appareil de communication facilitateur qu’un donneur d’ordres qui génère une dépendance sournoise et surtout, une distraction permanente qui nous met constamment en danger. “D’un point de vue scientifique et médical, les addictions sont des pathologies cérébrales définies par une dépendance à une substance ou une activité, avec des conséquences délétères.”

CYBERDÉPENDANCE Êtes-vous cyberdépendant? Blog Il semble que le terme « addiction à l’Internet » ait été utilisé pour la première fois lors du colloque de l’American Psychological Association (APA) qui s’est déroulé à Toronto en 1996. À cette occasion, la psychologue américaine, Kimberly Young, présentait un article intitulé: Internet Addiction : The emergence of a New Clinical Disorder. Selon le Dr Young, des données de recherche indiquent que certains individus deviennent dépendants de l’Internet de la même façon que d’autres deviennent dépendants des drogues, de l’alcool ou du jeu. Comme pour les autres formes de dépendance, la dépendance à l’Internet conduit à une réduction de la performance au travail, aux désordres conjugaux et à la séparation. Le Dr Young trace un parallèle plus spécifique entre la dépendance à l’Internet et le jeu pathologique dont la nature psychologique est plus similaire que les dépendances impliquant des substances intoxicantes. Êtes-vous cyberdépendant? 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Par Alain Rioux, Ph.

Et si nous étions tous des déconnectés Valeurs croisées de Samuel Bianchini : les spectateurs réagissent face à un mur de chiffres qui lui-même réagit selon leurs gestes, créant en quelque sorte leur empreinte numérique. Dans un article visiblement écrit juste avant qu’elle ne parte elle-même en vacances d’été, la sociologue Joëlle Menrath interpelle son lecteur (en ligne) : « Et vous, comment déconnectez-vous pendant les vacances ? »… Elle y met en scène Olivier, le matin de son départ alors que sa femme et ses deux enfants l’attendent dans le taxi. Joëlle Menrath se sert de cette historiette pour présenter sa thèse : l’addiction aux outils du numérique ou son contraire la déconnexion totale ne sont que des exceptions, voire des caricatures de réalité pour journalistes paresseux. Leur petite leçon de complexité du réel a quelque chose de savoureux. rédacteur : Ariel Kyrou Accédez aux sources à l'origine de cet article Ethnographie des pratiques numériques des consommateurs d’aujourd’hui par Joëlle Menrath , Laurence Allard

Five ways to curb your internet use and get your life back | Rhiannon Lucy Cosslett A study has revealed that people who are successful in their careers are more likely to be engaging in compulsive internet use, and are at increasing risk of anxiety, depression and isolation as they obsessively log in in out-of-office hours. The results came as a surprise to the researchers, who assumed it would be young people and the unemployed who were most at risk from internet addiction. As a teenager, I would stay up chatting on msn or updating my teenopendiary with terrible poetry and homemade gifs until the early hours, while when I was on the dole I would be constantly refreshing my inbox in the hope that somebody, anybody, would throw me a bone. It wasn't, however, until I started working that my internet use started to spiral out of control. 1. It sounds deeply boring, I know, but unless I'm on a pretty serious deadline, I now force myself to switch off at 5.45pm, which is when my partner gets in from work. 2. A simple tip, but a revelation to me. 3. 4. 5.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Selon M. * 52 « There is three kinds of death in this world.

Cyberdependance.ca - Quand l'utilisation d'Internet devient un problème Les remèdes pour les addicts du numérique se développent Les thérapies contre l'addiction aux nouvelles technologies se développent, du papier peint anti-Wifi aux vacances 100% offline, en passant par les cures de désintoxication. « Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions - au lit, au restaurant, dans les salles d'attente », constate Remy Oudghiri, directeur de l'institut de sondage français Ipsos et auteur d'un livre sur la « e-dépendance ». Les écrans ont colonisé les années 2010. Aux États-Unis, près de la moitié des adultes disposent d'un smartphone, et plus d'un tiers arborent une tablette numérique. « Ce surgissement soudain des possibilités infinies de connexion, après une période initiale d'enthousiasme, conduit chaque utilisateur à réfléchir sur la façon de savourer l'existence tout en profitant de leur connexion. La question se pose de savoir comment éviter la dépendance », ajoute M. Des chercheurs français ont créé un papier peint spécial qui bloque la transmission des ondes wi-fi.

Ce vendredi, journée mondiale sans Facebook… Tenir 24h sans consulter son profil ou celui de ses amis, ne pas «liker» un commentaire ou une photo ou bien encore ne pas «poker» l'un de vos contacts. Les objectifs de la journée sans Facebook sont simples, leur réalisation un peu plus compliquée. Preuve en est le résultat de l'édition 2013, où 42% des inscrits avaient renoncé à se connecter, selon les données publiées par le réseau social lui-même. Un chiffre qui représente tout de même quelque 400 millions de personnes dans le monde. Pour motiver les récalcitrants, les organisateurs de cette journée mondiale mettent en avant «la lutte contre l'addiction à la cyberdépendance», le fait de «protester contre l'intrusion des publicités qui se font passer pour de l'information» et enfin «la sécurisation nécessaire de l'outil qui est plutôt du genre perméable à de nombreuses attaques et autres pillages d'informations». Pour cela, un calcul simple peut être réalisé. (Jmh/L'essentiel)

5 moyens de combattre son addiction au net et de

Bonjour et merci pour partager aussi cet article. Cela dit je rejoins les autres commentaires :
il existe dans le titre même un paradoxe dans l'emploi de la terminologie du mot " nomophobie". La phobie se définit comme une "Crainte angoissante et injustifiée d'une situation, d'un objet ou de l'accomplissement d'une action." (cf : Larousse), ce qui ne se rapproche en rien de la cyberdépendance, addiction pathologique aux TIC. L'addiction se définit elle comme : "asservissement d'un sujet à une substance ou une activité dont il a contracté l'habitude par un usage plus ou moins répété". La phobie et l'addiction constituent deux pathologies bien distinctes.
Merci en tout cas, pour donner l'occasion d'échanger sur ce vaste sujet...
Eléonore by choisy_groupec_psy Feb 27

Bonjour,

Cet article n'est pas partiellement faux dans le sens où la définition de nomophobie qui dérive bien du ''no mobile-phone phobia'' est un mobile, soit un téléphone portable qui est une des nouvelles technologies.
La nomophobie fait partie d'une forme d'addiction car il y en a plusieurs sortes dont celle-ci.

Après Sébastien, je pense que tu joues avec les nuances de la terminaison du mot car cela veut bien dire ''avoir peur d'être séparé de son portable'' mais si tu as peur de te séparer de ton portable c'est que tu l'as quasi constamment à la main (ou à la poche si tu préfères) mais généralement pour t'en servir à tout moment...
Un nomophobe est plutôt quelqu'un qui utilise souvent son portable, c'est pour ça qu'il le veut toujours près de lui; ça peut être quelqu'un qui joue sur son portable pendant son temps au WC ou qui joue toute la nuit à des Candy Crush (ou autres); quelqu'un qui utilise les réseaux sociaux sans arrêt et regarde et/ou réponds à chacune de ses notifications etc...
Le terme nomophobie peut équivaloir à celui de cyberdépendance car la cyberdépendance est le besoin de internet et de nos jours, un portable qui ne te permet pas de te connecter n'est plus vraiment un portable (c'est triste à dire mais c'est ça). L'utilisation du portable s'est étendue et il n'est plus utilisé seulement pour appeler (il y a même eu une étude récemment qui disait que les gens préféraient envoyer des SMS que d'appeler...) mais pour des tas d'autres choses (mailings, appeler gratuitement à l'étranger, envoyer des photos sur la toile,faire des recherches etc..); Avec l'arrivée de la 4G, il est difficile de se séparer de son portable et je l'avoue durant la semaine je suis une grande nomophobe mais parfois quand je suis consciente de mon excès je fais 3 jours de suite sans portable (en prévenant les proches bien sûr) et ça fait du bien à mourir d'être ''off'' de tout; je ne suis peut être plus connecter sur mon portable mais mon cerveau est connecté à mon esprit...

Bonne journée à tous ;)

Cassandra by alexis_groupec_psy Mar 6

Bonjour,
Cet article est intéressant mais partiellement faux.
Il est dit:
"... définit la nomophobie comme une forme d'addiction concernant « toutes les personnes qui donnent l'impression d'abuser de l'usage » des nouvelles technologies, c'est-à-dire qui utilisent les outils technologiques (ordinateur, tablette, smartphone, réseaux sociaux) dans l'excès. Le terme de nomophobie reste peu connu mais peut équivaloir à celui de cyberdépendance."

Or le terme nomophobie désigne une peur/phobie d'être séparé de son téléphone portable et non pas une utilisation excessive des technologies. Il vient de l'expression anglaise "no mobile-phone phobia".

Bonne soirée
Sébastien by etcheto_groupea_psy Feb 12

Article très intéressant. Merci pour le partage! Bien cordialement. by petitprez_groupe4_psy Apr 8

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