background preloader

Nomophobie : comment soigner cette addiction aux nouvelles technologies

Nomophobie : comment soigner cette addiction aux nouvelles technologies
Qu'est-ce que la nomophobie ? Jean-Michel Rolland définit la nomophobie comme une forme d'addiction concernant « toutes les personnes qui donnent l'impression d'abuser de l'usage » des nouvelles technologies, c'est-à-dire qui utilisent les outils technologiques (ordinateur, tablette, smartphone, réseaux sociaux) dans l'excès. Le terme de nomophobie reste peu connu mais peut équivaloir à celui de cyberdépendance. Cette attirance prononcée pour les technologies agit directement sur notre quotidien car elle développe sans cesse notre disponibilité et nos besoins d'interactivité. Comme le note Jean-Michel Rolland, « avec les technologies, on ne sait plus être absent ». Les symptomes de la nomophobie Si après avoir lu ces lignes, vous commencez à vous poser des questions au sujet de votre dépendance aux technologies, il existe plusieurs signes qui peuvent vous mettre la puce à l'oreille. L'impact de la nomophobie dans le monde de l'entreprise Que faire face à la dépendance ? Camille Coutant

http://www.terrafemina.com/emploi-a-carrieres/bien-etre-au-travail/articles/27226-nomophobie-comment-soigner-cette-addiction-aux-nouvelles-technologies-.html

Et si nous étions tous des déconnectés Valeurs croisées de Samuel Bianchini : les spectateurs réagissent face à un mur de chiffres qui lui-même réagit selon leurs gestes, créant en quelque sorte leur empreinte numérique. Dans un article visiblement écrit juste avant qu’elle ne parte elle-même en vacances d’été, la sociologue Joëlle Menrath interpelle son lecteur (en ligne) : « Et vous, comment déconnectez-vous pendant les vacances ? »… Elle y met en scène Olivier, le matin de son départ alors que sa femme et ses deux enfants l’attendent dans le taxi. Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet L'addiction au smartphone... tous en risques ? Dans les années 70, les comportements à risques ont été associés aux conséquences d’un usage exagéré de sexe et de drogues. Aujourd’hui il semble que les comportements à risques deviennent la norme : l’accès facile à la technologie numérique a généré une addiction généralisée à une nouvelle prothèse indolore , connue sous le terme générique de smartphone, vade- mecum incontournable d’une identité désirable car augmentée et donc connectée.

Ce vendredi, journée mondiale sans Facebook… Tenir 24h sans consulter son profil ou celui de ses amis, ne pas «liker» un commentaire ou une photo ou bien encore ne pas «poker» l'un de vos contacts. Les objectifs de la journée sans Facebook sont simples, leur réalisation un peu plus compliquée. Preuve en est le résultat de l'édition 2013, où 42% des inscrits avaient renoncé à se connecter, selon les données publiées par le réseau social lui-même. Un chiffre qui représente tout de même quelque 400 millions de personnes dans le monde. Pour motiver les récalcitrants, les organisateurs de cette journée mondiale mettent en avant «la lutte contre l'addiction à la cyberdépendance», le fait de «protester contre l'intrusion des publicités qui se font passer pour de l'information» et enfin «la sécurisation nécessaire de l'outil qui est plutôt du genre perméable à de nombreuses attaques et autres pillages d'informations».

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer.

Les débranche-tout Au resto, au cinéma, aux toilettes, ils gardent toujours un œil sur leur téléphone. Jusqu'à l'overdose. Des cures existent pour ces ultraconnectés. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Lisa Vignoli "Absent du bureau, je serai de retour le 19 août." Des pistes pour soigner la e-dépendance - 26 juin 2013 INVASION. Les écrans ont colonisé les années 2010. Aux États-Unis, près de la moitié des adultes disposent d'un smartphone, et plus d'un tiers arborent une tablette numérique. "Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions - au lit, au restaurant, dans les salles d'attente", constate Remy Oudghiri, directeur de l'institut de sondage français Ipsos et auteur d'un livre sur la "e-dépendance". Comment lutter ? Des chercheurs français ont créé un papier peint spécial qui bloque la transmission des ondes WiFi.

Indicateurs pour le suivi des objectifs de développement durable La France a décidé d’engager ce travail d’appropriation afin de définir un ensemble d’indicateurs majeurs adapté à ses priorités et spécificités nationales, qui permettent, via des données statistiques, de suivre les politiques publiques françaises concourant aux ODD. Pour mener à bien cette tâche, un groupe de travail sur la déclinaison française des indicateurs de suivi des ODD a été mis en place, au sein du Conseil National de l’Information Statistique (CNIS). Constitué de plus de 100 participants, ce groupe de travail rassemblait des personnes d’horizons très divers (société civile, parties prenantes, services ministériels et services statistiques). Les travaux du groupe ont permis de proposer un tableau de bord de 98 indicateurs, pour partie des onusiens, jugés pertinents par rapport aux stratégies françaises et pour lesquels la pérennité à horizon 2030 semble assurée et la méthodologie robuste et publique.

Les remèdes pour les addicts du numérique se développent Les thérapies contre l'addiction aux nouvelles technologies se développent, du papier peint anti-Wifi aux vacances 100% offline, en passant par les cures de désintoxication. « Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions - au lit, au restaurant, dans les salles d'attente », constate Remy Oudghiri, directeur de l'institut de sondage français Ipsos et auteur d'un livre sur la « e-dépendance ». Les écrans ont colonisé les années 2010. Aux États-Unis, près de la moitié des adultes disposent d'un smartphone, et plus d'un tiers arborent une tablette numérique. « Ce surgissement soudain des possibilités infinies de connexion, après une période initiale d'enthousiasme, conduit chaque utilisateur à réfléchir sur la façon de savourer l'existence tout en profitant de leur connexion. La question se pose de savoir comment éviter la dépendance », ajoute M.

Tribune : la cyberdépendance chez les jeunes Ci-dessous, un communiqué qui nous a été transmis cette semaine. Une enquête réalisée sur 100 000 adolescents japonais révèle qu'utiliser Internet peut engendrer une dépendance au même titre qu'une drogue. Nicolas Oliveri, enseignant-chercheur en communication à l'IDRAC et auteur de « Cyberdépendances. Une étude comparative France-Japon » et « Les jeux vidéo : quand jouer c'est communiquer », revient sur le phénomène de l'otakisme japonais, phénomène de relation fusionnelle aux nouvelles technologies et donne sa vision de cette cyberdépendance en France chez nos jeunes et ses risques. 1. Cette enquête révèle que 8,1% des lycéens et collégiens japonais souffrent d'une dépendance à Internet, que cela soit aux échanges de messages, aux jeux ou aux autres activités en ligne et seraient incapables d'arrêter (les lycéens (9,4%), collégiens (6%), mais aussi plus les filles (9,9%) que les garçons (6,4%)).

Des cures de désintox pour les accros d'Internet En Californie, un camp propose à tous les cyberdépendants des séjours pour revenir aux joies de l'enfance, loin des connexions et des réseaux. New York À chaque addiction son remède. En Californie, un camp de «digital detox» propose aux cyberdépendants de smartphones, tablettes et ordinateurs de retrouver un peu d'«humanité» pendant quatre jours, en se déconnectant. Aucun gadget, ni Internet, donc, mais des activités censées les replonger en enfance. Les adultes sont invités à se livrer, par exemple, à des batailles de polochons, à des concours de rire, ou encore à participer à des ateliers de cuisine pieds nus.

Journée sans téléphone mobile : et si on décrochait ? Pour l’expert en comportement Thierry Le Fur, il est indispensable de trouver « les conditions d’un usage adapté ». Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Marlène Duretz Une journée sans téléphone mobile ? Depuis 2001, Phil Marso, instigateur de la journée mondiale sans téléphone mobile, encourage à réfléchir sur le « mobilou » chaque 6 février, le jour de la saint Gaston – et sans déplaire à Nino Ferrer et à son « téléphon qui son’/Et y a jamais person’ qui y répond ». Comment se désintoxiquer d'une dépendance au numérique Série addiction épisode 4 : une chaîne d'hôtel irlandaise propose un séjour sans internet : les clients déposent leurs smartphones et autres tablettes à l'accueil en début de séjour. Les cures de "désintoxication numérique" se multiplient. A l'heure où le smartphone est roi, une vie sans internet est de plus en plus impossible.

Bonjour et merci pour partager aussi cet article. Cela dit je rejoins les autres commentaires : il existe dans le titre même un paradoxe dans l'emploi de la terminologie du mot " nomophobie". La phobie se définit comme une "Crainte angoissante et injustifiée d'une situation, d'un objet ou de l'accomplissement d'une action." (cf : Larousse), ce qui ne se rapproche en rien de la cyberdépendance, addiction pathologique aux TIC. L'addiction se définit elle comme : "asservissement d'un sujet à une substance ou une activité dont il a contracté l'habitude par un usage plus ou moins répété". La phobie et l'addiction constituent deux pathologies bien distinctes. Merci en tout cas, pour donner l'occasion d'échanger sur ce vaste sujet... Eléonore by choisy_groupec_psy Feb 27

Bonjour, Cet article n'est pas partiellement faux dans le sens où la définition de nomophobie qui dérive bien du ''no mobile-phone phobia'' est un mobile, soit un téléphone portable qui est une des nouvelles technologies. La nomophobie fait partie d'une forme d'addiction car il y en a plusieurs sortes dont celle-ci. Après Sébastien, je pense que tu joues avec les nuances de la terminaison du mot car cela veut bien dire ''avoir peur d'être séparé de son portable'' mais si tu as peur de te séparer de ton portable c'est que tu l'as quasi constamment à la main (ou à la poche si tu préfères) mais généralement pour t'en servir à tout moment... Un nomophobe est plutôt quelqu'un qui utilise souvent son portable, c'est pour ça qu'il le veut toujours près de lui; ça peut être quelqu'un qui joue sur son portable pendant son temps au WC ou qui joue toute la nuit à des Candy Crush (ou autres); quelqu'un qui utilise les réseaux sociaux sans arrêt et regarde et/ou réponds à chacune de ses notifications etc... Le terme nomophobie peut équivaloir à celui de cyberdépendance car la cyberdépendance est le besoin de internet et de nos jours, un portable qui ne te permet pas de te connecter n'est plus vraiment un portable (c'est triste à dire mais c'est ça). L'utilisation du portable s'est étendue et il n'est plus utilisé seulement pour appeler (il y a même eu une étude récemment qui disait que les gens préféraient envoyer des SMS que d'appeler...) mais pour des tas d'autres choses (mailings, appeler gratuitement à l'étranger, envoyer des photos sur la toile,faire des recherches etc..); Avec l'arrivée de la 4G, il est difficile de se séparer de son portable et je l'avoue durant la semaine je suis une grande nomophobe mais parfois quand je suis consciente de mon excès je fais 3 jours de suite sans portable (en prévenant les proches bien sûr) et ça fait du bien à mourir d'être ''off'' de tout; je ne suis peut être plus connecter sur mon portable mais mon cerveau est connecté à mon esprit... Bonne journée à tous ;) Cassandra by alexis_groupec_psy Mar 6

Bonjour, Cet article est intéressant mais partiellement faux. Il est dit: "... définit la nomophobie comme une forme d'addiction concernant « toutes les personnes qui donnent l'impression d'abuser de l'usage » des nouvelles technologies, c'est-à-dire qui utilisent les outils technologiques (ordinateur, tablette, smartphone, réseaux sociaux) dans l'excès. Le terme de nomophobie reste peu connu mais peut équivaloir à celui de cyberdépendance." Or le terme nomophobie désigne une peur/phobie d'être séparé de son téléphone portable et non pas une utilisation excessive des technologies. Il vient de l'expression anglaise "no mobile-phone phobia". Bonne soirée Sébastien by etcheto_groupea_psy Feb 12

Article très intéressant. Merci pour le partage! Bien cordialement. by petitprez_groupe4_psy Apr 8

Related: