Rapport : La cyberdépendance : état des lieux et propositions I - Qu'est-ce que la cyberdépendance ? L'arrivée de l'Internet dans les foyers français a ouvert, il y a une dizaine d'années, une nouvelle dimension de l'outil informatique et, avec l'accélération progressive du débit des échanges, un espace de liberté sans limites. Aujourd'hui, la pratique du jeu électronique via l'informatique s'est considérablement accrue et a fait naître, avec elle, de nouvelles interrogations. Parmi celles-ci, celle des conséquences éventuelles sur la santé des joueurs apparaît, aux yeux de la représentation nationale, comme primordiale. L'objectif que se sont fixés les députés GROSSKOST et JEANNETEAU est donc d'étudier les mécanismes qui peuvent engendrer une dépendance, à certains types de jeux, affectant la santé des joueurs. En réalité, ces jeux MMORPG proposent au joueur d'évoluer dans un univers virtuel persistant. II - L’addiction sans substance : un phénomène naissant mais déjà très préoccupant Ages et Nature du jeu Voir la description de la signalétique PEGI
Décryptage Révélée au grand jour ces derniers mois, l'affaire des piratages des comptes mail de Yahoo ne cesse de prendre de l'ampleur, alors que le géant américain vient d'annoncer que près d'un milliard de comptes seraient concernés. C'était vraiment casse-gueule de faire un film sur le combat des grands handicapés pour survivre et tenter de s'épanouir dans notre société. Grand Corps Malade, qui est passé par là, a relevé la gageure avec authenticité, force, sans complaisance, et sans mièvrerie. Son film est une grande réussite. Ça ne s'arrange pas entre le candidat officiel de la Gauche, Benoit Hamon et les députés légalistes du PS qui ont soutenu Manuel Valls pendant la primaire, tout comme lorsqu'il était à Matignon, et qui jugent aujourd'hui que la ligne du candidat du PS est trop radicale La présidente du Front national se fait critiquer de partout. Elle l’a bien cherché...
Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Selon M. * 52 « There is three kinds of death in this world.
Addiction | Le blog des Lulus Quand nous quittons un lieu en famille je me pose toujours les mêmes questions: Premièrement: je nous compte, on est 4, tout le monde est là. Deuxièmement, je scanne l’environnement à la recherche des doudous des filles; nous avons un lapin blanc à oreilles fleuries et une cigogne à carreaux, tout va bien! et pour finir le troisièmement: j’ai mon portable…j’ai presque honte de l’écrire, il y a des femmes qui font attention à leur sac à main, et bien moi, après mon amoureux et mes enfants, je pense à mon téléphone! C’est terrible, je suis droguée, scotchée, je ne peux pas vivre sans lui… quand je sors en l’oubliant (ça m’arrive une fois par an!)
Les cyber drogués «Parfois, je commence à jouer à 6 heures du soir et, soudain, il est 9 heures du matin. Si je pouvais arrêter le temps pour continuer à jouer, je le ferais.» Martin a 35 ans et une allure de garçon sage. Enfant, il a été adopté par une famille aisée. Il vit, à ce jour, de squat en squat. Sevré de son traitement de substitution à l'héroïne, il prend toujours des neuroleptiques et des tranquillisants. Chez les «cyberdépendants», «on retrouve le même type de mécanismes que dans les cas de boulimie, d'achats ou de pratiques sportives compulsifs, d'abus d'alcool et de sexe», poursuit ce praticien qui avoue «défricher pour l'instant ce type de comportement». «Syndrome carrefour.» «Certains se plaignent au bout d'une heure et sont obligés d'arrêter la machine parce que ça leur fait mal. Affronter une machine. On peut aussi parler d'une «insatisfaction par rapport aux désirs initiaux, poursuit Lowenstein, on veut toujours plus». Hors du réel. Une fois le diagnostic posé, que faire ?
Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La Gazette de Danièle : Des idées et des Arts... Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La « e-dépendance » et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. Les premiers écrits sont nord-américains, Ivan Goldberg, suivi en 1996 par mes écrits français. Michael Stora :
La cyberdépendance en question Entretien avec Lucia Romo La « cyberdépendance » a pour origine un canular diffusé sur Internet en 1995 (1), ce qui sert d’argument aux adversaires de ce concept. Qu’en pensez-vous ? Nous avons une série de signes comportementaux ou émotionnels qui montrent que ce n’est pas une invention et que cette problématique existe bien, même si la cyberdépendance ne devrait pas être considérée dans le futur DSM-5 comme une catégorie diagnostique au même titre que les addictions avec substance ou les jeux d’argent. Malgré de nombreuses études sur le sujet, il subsiste une absence de consensus sur la définition de la dépendance aux jeux vidéo. Comment l’expliquer ? Des recherches ont depuis longtemps validé les critères définissant les addictions avec substance (alcool, tabac). De plus,... [lire la suite] Article de 1281 mots.
Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Si selon les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d'effet addictogène, l'addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l'objet en cause, liée à d'autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social...), la cyberdépendance semble prendre de l'importance. 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l'usage excessif ou dépendant du réseau informatique. Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. * 52 « There is three kinds of death in this world.
La cyberaddiction existe-t-elle ? L’addiction dépasse en effet dans les discours les plus divers la simple préoccupation, certes légitime, de soignants ou de responsables de santé publique envers des sujets en souffrance. Elle représente aujourd’hui une forme dominante de représentation du mal-être, voire de la condition de l’individu dans la société. Avec par exemple Alain Ehrenberg [1, 2], le constat peut être fait que l’addiction est devenue, avec la dépression, « la » pathologie emblématique de la société actuelle, au même titre que l’hystérie, ou plus généralement la névrose, l’avaient été au temps de l’invention de la psychanalyse par Freud. À l’époque victorienne, il était important de savoir « se tenir », de camoufler ses sentiments, de mettre en avant le devoir et de masquer le désir : l’hystérique posait alors problème, les liens des symptômes aux organes génitaux, puis au cerveau, enfin au désir et à l’histoire du sujet devenant les grandes questions théoriques de l’époque.
Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? A quel type de jeu ? Pourquoi certaines personnes deviennent-elles addictes ? Qui joue ? Les derniers chiffres1 (octobre 2017) montrent que les plus gros joueurs se situent dans les tranches d’âge : 10-14 (95 %), 15-18 (92 %) et 19-24 (91 %). A quel type de jeu jouent les joueurs ? Dans le classement 2017 des 10 premiers jeux vendus en France toutes plateformes confondues1, on trouve : Les jeux de rôle en ligne massivement multi-joueurs (Massively multiplayer online role-playing game- MMORPG) dont « World of Warcraft » (WOW) et les arènes de bataille en ligne multijoueur (Multiplayer online battle arena-MOBA) dont « League of legends » (LOL) sont des jeux présentant potentiellement un caractère addictif. Puis-je être « addict » au jeu vidéo ? Les caractéristiques de l’addiction au jeu vidéo
Mésusages d'Internet et cyberaddiction : réalité ou fiction ? L’émergence de la « société de désinhibition » [1] Ehrenberg A (1991) : « Le culte de la performance »,... [1] entraîne, en plus d’une nécessaire adaptation rapide aux changements, l’apparition de nouvelles stratégies de coping (attitude consistant à savoir faire face). Les conduites addictives et les toxicomanies, de manière générale, ont depuis toujours été utilisées par des personnes en difficulté, pour pallier, au moins temporairement, leurs difficultés d’intégration. Dans le monde de l’entreprise, on assiste à une véritable prise de conscience du mal-être des employés cadres, mal-être qui se traduit par une explosion du nombre de jours d’arrêt de travail, mais, aussi, par une prescription, en augmentation, de médicaments psychotropes, censés permettre ou faciliter l’adaptation aux changements. Ces « changements sociétaux » ont déjà été signalés par des sociologues américains, il y a une trentaine d’années. Un autre jeu à la mode est Second Life, univers virtuel en 3D.
Nomophobie - Addiction au téléphone portable - Santé-Médecine 5,1 milliards de personnes dans le monde, soit près de 75% des habitants, selon le site Gartner.com, possèdent au minimum un téléphone mobile. Le téléphone sert à téléphoner bien sur mais également à envoyer des SMS et surtout à se connecter sur internet et les réseaux sociaux créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smarphone. Définition Née de la contraction de "no mobile phobia", la nomophobie est un terme relativement récent qui désigne la phobie de ne pas avoir son téléphone portable à portée de main. Peur d'être séparé de son téléphone Addiction Intolérance aux frustrations : Impatience insupportable Des manifestations physiques Traitement : consulter un psy ? Notre vidéo © Maksim Kostenko-fotolia Publi-information
L’article évoque la cyberdépendance. Il propose d’évaluer son éventuelle dépendance à internet et, à partir d’une classification du psychologue Jean Charles Nayebi, définit 4 types de profils de cyberdépendants. by claudia_groupe2_psy Feb 28