Un film à voir : « Cas d’école » de Gilles Balbastre Retour sur la lamentable couverture médiatique du suicide d’une collégienne de 12 ans. Tous les ingrédients sont présents : coupables désignés, racolage, désinformation… Les grands médias dans toute leur splendeur. Début 2012, une élève scolarisée dans un collège du Pas-de-Calais se suicide. Pour les médias, cela ne fait aucun doute : ce cas révèle le harcèlement scolaire et l’institution – qui n’aurait rien vu venir – devient le coupable idéal. Le scénario est donc simple, les méchants sont désignés et la surenchère sera de mise. Le film « Cas d’école » relate la couverture médiatique de ces événements avec comme acteurs principaux les personnels de cet établissement qui, avec le recul – notion que ne semblent pas connaître les médias – analysent et commentent la déferlante qu’ils ont dû subir. À la violence de la mort d’une de leurs élèves s’ajoute celle des médias accusateurs. Même lorsqu’ils prennent le temps de l’analyse, les médias désinforment et flattent les bas instincts.
DSK, Hollande, etc - Le nouveau film de Pierre Carles Découvrez la première version du dernier film de Pierre Carles : "DSK, Hollande, etc ." Synopsis : Les rapports médias-politique passés au crible avant l’élection présidentielle de 2012. Ou comment la presse présélectionne les candidats compatibles avec les intérêts du pouvoir économique. ( En n’imaginant pas d’autre second tour possible qu’un duel Hollande-Sarkozy et en présentant cet affrontement comme un un combat gauche-droite alors qu’il s’agit plus vraisemblablement d’un affrontement centre droit-droite dure, les médias dominants cherchent-ils à éviter la présence d’un vrai candidat de gauche au second tour de l’élection présidentielle ? Un film de Julien Brygo, Pierre Carles, Aurore Van Opstal. Une première version de « DSK, Hollande, etc. » a réussi à voir le jour avant le 1er tour des élections présidentielles. L’équipe de « DSK, Hollande, etc. » Video Tags
Pierre Bourdieu clashe le petit écran - Ép. 1/4 - Quatre visions de la télé En décembre 95, Pierre Bourdieu est invité à la télévision par le journaliste Jean-Marie Cavada dans l'émission La Marche du siècle, pour parler des mouvements sociaux. Il est réinvité par la suite dans l'émission Arrêt sur images en janvier 1996, pour commenter le traitement des mouvements sociaux par la télévision. Bourdieu demande à ce que Guillaume Durand et Jean-Marie Cavada soient face à lui, et il va alors tenter de faire une critique de la télévision... De ces débats naîtra une réflexion sur la télévision, deux cours au Collège de France, et l'ouvrage transcription : Sur la télévision, suivi de L'emprise du journalisme. L'invité du jour : Jean-Louis Fabiani, sociologue, professeur à Central European University à Vienne en Autriche Journalisme VS sociologie ? "Bourdieu critique la télévision dans un certain esprit, celui de l'universitaire qui ne souhaite pas que sa parole elle-même soit critiquée. Textes lus par Bernard Gabay : Sons diffusés :
Avoir raison avec... Noam Chomsky (3/5) : La critique chomskyenne des médias : auto-censure et propagande en démocratie - Ép. /5 - Avoir raison avec... Noam Chomsky On sait de Noam Chomsky... qu’il ne regarde pas la télé. Il écoute peu la radio, essaie parfois de se brancher sur BBC World service… En revanche, il lit beaucoup la presse. Ses amis du monde entier lui envoient continuellement des articles, qu’il compulse et archive scrupuleusement, ainsi que tous les titres que compte la presse américaine, avec un intérêt plus personnel pour le très libéral International Herald Tribune (quand il existait encore sous ce nom - "Si je ne devais lire qu’un seul journal" avait-il dit un jour, "ce serait celui-là"-. De ses lectures et recensions, Noam Chomsky a fait un livre, co-écrit avec Edward Herman et paru en 1988 sous le titre « La fabrication du consentement », réédité et complété en 2002, et qui reste une référence pour une partie de la gauche qui veut comprendre les mécanismes de production des savoirs légitimes, ou considérés comme tels. Chomsky décrit le modèle de propagande à partir de l'analyse de cinq filtres.
Sur Twitter, responsables et journalistes politiques déconnectés des sujets de préoccupation des Français Pour mener cette étude, BVA et Uptowns ont mené leur enquête auprès de plusieurs catégories de population. D’abord "les activistes en ligne", ceux qui portent et défendent des sujets et des thématiques sur le réseau social Twitter. Ce groupe a été divisé en deux familles. D’un côté, les "progressistes" défendant l’écologie, les questions environnementales, le féminisme, les questions de genre ou encore l’antiracisme. De l’autre, le clan des "conservateurs" (néo-réactionnaires, néo-masculinistes et antisystèmes). Un deuxième corpus a été constitué : "les politiques". Troisième groupe : "les journalistes politique". Enfin, BVA a interrogé un échantillon représentatif de la population française de 1 658 personnes, âgées de 18 ans et plus. Pour les besoins de l’étude, BVA et Uptowns ont ensuite comparé les thématiques et les sujets qui retiennent l’attention de ces différentes populations. Mais l’enseignement le plus important (le plus surprenant ?)
20 films et séries sur le journalisme à regarder | Réseau international des journalistes [...]Les pauses sont essentielles pour les journalistes. Des études montrent que de nombreux journalistes souffrent d'une forme ou autre de détresse psychologique, notamment durant la crise du COVID-19. [...]Voici une liste de films et séries créée spécialement pour les journalistes du monde entier. Ne prenez pas ces personnages pour modèles –la fiction prend peu en compte l'éthique journalistique– mais amusez-vous bien en les regardant*. Films 1) L'Affaire Pélican (Hulu) Adapté du roman de John Grisham, ce film met en scène une jeune étudiante en droit menacée de mort suite à la rédaction d'une note au sujet du meurtre de deux juges de la Cour Suprême. 2) Spotlight (Netflix) Le film suit l'équipe Spotlight, l'unité d'investigation du Boston Globe. 3) Whiskey Tango Foxtrot (Amazon) Avec Tina Fey et Margot Robbie, ce film met en scène Kim Barker, envoyée sur le terrain en Afghanistan au début des années 2000. 4) La diable s'habille en Prada (Amazon) 5) Le journal (Amazon) 6) Zodiac (Netflix)
Réfugiés ukrainiens : l’indignité derrière la solidarité Les cookies et technologies similaires que nous utilisons sur Mediapart sont de différentes natures et nous permettent de poursuivre différentes finalités. Certains sont nécessaires au fonctionnement du site et de l’application mobile (vous ne pouvez pas les refuser). D’autres sont optionnels mais contribuent à faciliter votre expérience de lecteur ou de lectrice et d’une certaine façon à soutenir Mediapart. Vous pouvez les refuser ou les accepter ci-dessous, selon leurs finalités. Acceptez-vous que Mediapart utilise des cookies ou technologies similaires pour les finalités suivantes ? Vous pouvez faire votre choix, pour chaque catégorie, en activant ou désactivant le bouton interrupteur. Nécessaires au fonctionnementdu site ou de l’application Connexion des abonné·es, mesure d’audience anonymisée, envoi des notifications push, suivi des pannes, mise en avant de nos services : ces outils sont nécessaires au suivi de l’activité de nos services et à leur bon fonctionnement.