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Espionnage : comment Orange et les services secrets coopèrent

Espionnage : comment Orange et les services secrets coopèrent
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Espionnage : SFR, Free et Bouygues peu bavards Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jacques Follorou Les liens entre les services secrets et les opérateurs de télécommunications français rendent peu diserts. Interrogé sur l’accès total, hors cadre légal, aux données transitant en masse sur ses réseaux, SFR, par la voix de Nicolas Chatin, l’un de ses porte-parole, a indiqué : « Notre entreprise n’est pas concernée par des recueils d’informations non encadrés transitant sur nos réseaux (…), toutes les opérations consistant à fournir de l’information à des services de l’Etat sont complètement encadrées par la loi. » M. Le directeur général d’Iliad (la maison mère de Free, dont le fondateur, Xavier Niel, est actionnaire à titre individuel du Monde), Maxime Lombardini, a assuré, pour sa part, « qu’il n’existait pas de telle collecte sur les réseaux, pas plus qu’il n’y avait d’obligation d’obéir aux injonctions des services de l’Etat ou de pratique de chantage de la part de ce dernier ».

Apple, Facebook, others defy authorities, increasingly notify users of secret data demands after Snowden revelations Fueling the shift is the industry’s eagerness to distance itself from the government after last year’s disclosures about National Security Agency surveillance of online services. Apple, Microsoft, Facebook and Google all are updating their policies to expand routine notification of users about government data seizures, unless specifically gagged by a judge or other legal authority, officials at all four companies said. Yahoo announced similar changes in July. As this position becomes uniform across the industry, U.S. tech companies will ignore the instructions stamped on the fronts of subpoenas urging them not to alert subjects about data requests, industry lawyers say. Companies that already routinely notify users have found that investigators often drop data demands to avoid having suspects learn of inquiries. “It serves to chill the unbridled, cost-free collection of data,” said Albert Gidari Jr., a partner at Perkins Coie who represents several technology companies. Ronald T. Ann E.

La France à l'origine d'une cyberattaque géante ? Nouvelles révélations du Monde à partir de documents fournis par Edward Snowden : pas question de NSA, de CIA, de GCHQ ou de gouvernement américain. C'est la France qui aurait été prise la main dans le pot de confiture. "Espionnage tous azimuts", juge le journal, "visant des pays aussi bien amis que jugés dangereux". La France est soupçonnée par les services secrets canadiens, selon une note tirée des archives de la NSA, d'avoir orchestré le déploiement d'un malware visant la prise de contrôle de systèmes informatiques à l'étranger, pour en tirer des informations. L'opération serait toujours en activité, et aurait été lancée en 2009. Aucun commentaire de la France Par pays "jugés dangereux", on ne peut comprendre que l'Iran. Pour l'heure, la France n'est que "soupçonnée".

Le Président, les écoutes et les visiteurs du soir François Hollande a-t-il joué un rôle dans les fuites de l’affaire Sarkozy? Depuis le 7 mars et la divulgation par Le Monde de l’affaire des écoutes, plusieurs proches de l’ancien président accusent clairement son successeur "d’être à la manoeuvre". "Ils veulent m’abattre, ils sont prêts à tout, jusqu’à écouter le chef de l’opposition pendant des mois et des mois. Dans n’importe quel autre pays, aux États-Unis, Hollande serait contraint à la démission", cogne cette semaine un Sarkozy excédé devant tous ses visiteurs. Officiellement, François Hollande n’est pour rien dans la divulgation de l’affaire. Pourquoi cette réunion ce vendredi soir? Pourtant, selon l’emploi du temps dressé par le secrétariat particulier du président de la République, un agenda confidentiel dont le JDD a eu connaissance pour la journée du 7 mars, Hollande, à 19 heures ce jour-là, reçoit en audience privée les deux journalistes du Monde auteurs de l’article mettant en cause Sarkozy et son avocat.

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La France suspectée de cyberespionnage La posture de victime affichée par la France depuis les révélations sur les activités de la NSA à son encontre risque d'être de moins en moins crédible. Les autorités françaises, qui aiment alerter l'opinion sur les dangers qui menacent sans cesse nos secrets d'Etat ou ceux de nos secteurs stratégiques, ont été prises la main dans le sac d'un espionnage tous azimuts visant des pays aussi bien amis que jugés dangereux. Les services secrets canadiens suspectent en effet leurs homologues français d'être derrière une vaste opération de piratage informatique, qui aurait débuté en 2009 et se poursuivrait toujours, grâce à un implant espion. Lire aussi (en édition abonnés), comment les Canadiens sont partis en chasse de « Babar », le nom donné par ses concepteurs à ce programme espion. L'attaque viserait en premier lieu une demi-douzaine d'institutions iraniennes liées au programme nucléaire de ce pays. Les services secrets français sont loin d'être les seuls à travailler ainsi sur l'Iran.

Surveillance : « Les opérateurs n’ont pas les moyens de résister aux Etats » LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Jacques Follorou Selon un document auquel Le Monde a eu accès, l'opérateur France Télécom-Orange est un acteur essentiel du renseignement français. Sébastien Crozier, président du syndicat CFE-CGC de France Télécom-Orange, répond à nos questions. Lire les autres éléments de l'enquête Espionnage : comment Orange et les services secrets coopèrent Lire les autres éléments de l'enquête Les services secrets britanniques ont accès aux données des clients français d'Orange Lire les autres éléments de l'enquête Les X-Télécoms, maîtres d’œuvre du renseignement France Télécom-Orange permet-il aux services secrets d'accéder aux données de ses clients hors cadre légal ? Les opérateurs du monde entier reçoivent quotidiennement des demandes d'interceptions judiciaires. La confiance que l'on a dans les Etats, c'est le point essentiel de la protection que peuvent espérer les clients des opérateurs.

Online Privacy FAQ Copyright © 2007 - 2014Privacy Rights Clearinghouse This FAQ is an addendum to our Fact Sheet 18 on Internet privacy.www.privacyrights.org/fs/fs18-cyb.htm It provides answers to questions that we are often asked by individuals who contact us concerning online privacy and safety. 1. There is no one simple way to have your information entirely removed from all of the information broker sites. Once your personal information has been recorded in public records, there is no effective way to permanently or completely remove it (for example, birth certificate, marriage license, home ownership documents, court records, and in some states voter registration, etc.). Our Fact Sheet about public records explains how and why all these companies can (and do) access your information: www.privacyrights.org/fs/fs11-pub.htm. Even if you request removal from the information brokers' sites, they regularly refresh their data and it will reappear when they purchase the next batch of public records. 2. 3. 4.

Promulgation de la loi de programmation militaire : la CNIL fait part de sa position La Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés, réunie le 19 décembre 2013 en séance plénière, a souhaité faire part de sa position à la suite de la promulgation de la loi de programmation militaire et notamment son article 20. Elle a d'abord à nouveau regretté de ne pas avoir été saisie sur cet article lors de l'examen du projet de loi. Elle a rappelé que la saisine de la CNIL est nécessaire et systématique sur tous les projets de loi et de décrets concernant les données à caractère personnel. Elle a par ailleurs formulé le souhait d'élargir à l'avenir cette consultation aux propositions de loi portant sur le même objet. Au regard de l'émoi suscité par ces dispositions, dans le contexte particulier de l'affaire Prism, des préoccupations croissantes exprimées par les consommateurs des services offerts par les grandes sociétés de l'internet, la CNIL pense qu'il est d'intérêt général de susciter un débat public sur la mise en place d'une " société de surveillance ".

Ecoutes : l’étrange rendez-vous de Hollande Paru dans leJDD François Hollande a reçu des journalistes à l'Elysée. (Reuters) François Hollande a-t-il joué un rôle dans les fuites de l’affaire Sarkozy? Depuis le 7 mars et la divulgation par Le Monde de l’affaire des écoutes, plusieurs proches de l’ancien président accusent clairement son successeur "d’être à la manœuvre". Officiellement, le chef de l’Etat n’a joué aucun rôle dans l’affaire. Pourtant, selon l’emploi du temps dressé par le secrétariat particulier du président de la République, un agenda confidentiel dont le JDD a eu connaissance à la journée du 7 mars, François Hollande, à 19 heures ce jour-là, reçoit en audience privée les deux journalistes du Monde auteurs de l’article mettant en cause Sarkozy et son avocat. Cliquez ici pour lire cet article en intégralité. Bruno Jeudy et Laurent Valdiguié - Le Journal du Dimanche

Muse & Geek - [LEGISLATION] Directive Européenne sur les Cookies Depuis quelques temps, vous avez pu apercevoir sur vos divers sites web préférés un bandeau vous signalant l'utilisation des cookies et vous demandant, de manière plus ou moins tacite, votre consentement pour en déposer sur votre navigateur. Il s'agit en fait d'une obligation légale émise par la Commission Européenne sous la directive 2002/58/EC mise à jour par la directive 2009/136/EC et entrée en vigueur le 25 Mai 2011. L'article 5(3) de cette directive stipule (page 20) que : Les États membres garantissent que le stockage d’informations, ou l’obtention de l’accès à des informations déjà stockées, dans l’équipement terminal d’un abonné ou d’un utilisateur n’est permis qu’à condition que l’abonné ou l’utilisateur ait donné son accord, après avoir reçu, dans le respect de la directive 95/46/CE, une information claire et complète, entre autres sur les finalités du traitement. Consentement, d'accord. Mais sous quelle forme ? Mais avant de faire le tour de l'Europe, qu'est-ce qu'un cookie ?

La France a voté une loi liberticide qui permet à l’administration d’avoir accès à vos données personnelles Vos données et informations personnelles ne sont plus à l’abri. Dans le but de lutter contre la criminalité et la délinquance organisée, le Parlement français a adopté une loi qui laissera vos données personnelles à la merci de n’importe quelle administration. DGS vous décrypte cette loi. Jusqu’à présent, l’administration française ne pouvait avoir accès à vos données personnelles que dans le cadre d’une enquête d’anti-terrorisme. Ainsi, les administrations concernées peuvent donc demander l’accès direct aux informations personnelles d’un ou de plusieurs individus aux hébergeurs de sites Internet et aux fournisseurs d’accès à n’importe quel moment, et ce pour contrer la délinquance organisée et préserver le « potentiel scientifique et économique de la France. » Le tout sans passer par un juge, comme c’est censé être le cas en temps normal, pour n’importe quelle procédure de perquisition.

article espionnage:
Nous pouvons apprendre dans cet article que les opérateurs de téléphonie tel orange coopèrent avec les services d’espionnage français afin d'obtenir des informations sur la population dans le but de mieux pouvoir nous surveillé au travers des écoutes et des enregistrement.
est ce un moyen de nous protégé de manière plus efficace ou une façon de de nous contrôler toujours plus? by maeapv Dec 15

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