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La cyberdépendance

La cyberdépendance
Internet est devenu un outil grand public incontournable, des plus jeunes aux personnes âgées, il intéresse maintenant tout le monde. Communiquer avec des proches, s’informer, faire des achats en ligne, trouver des films et des morceaux de musique, jouer en réseau. Quoi de plus banal ? Comment nos « clics » de souris sur internet peuvent-ils devenir dangereux pour notre équilibre ? Qu’est-ce que la cyberdépendance ? Certains d’entre nous développent des dépendances au fait de se connecter sur internet, ils ne peuvent plus s’empêcher de « se coller » devant leurs écrans, à n’importe quelle heure et à n’importe quel prix. Quels sont les dangers ? Comme pour les autres sortes de dépendances existantes, les conséquences négatives dues au comportement incontrôlable et répétitif ne tardent pas à arriver, et malheureusement, elles touchent plusieurs domaines de la vie. Prenons l’exemple d’un adolescent de 16 ans, Julien, qui se passionne pour les jeux-vidéos depuis son jeune âge. Quand réagir ?

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. Par ailleurs, la dépendance aux jeux vidéo est bien analysée par l'ouvrage de Mme Christine Kerdellant et M. Notons en passant que les psychologues évoquent aussi des cas de dépendance au téléphone portable (Wilska, 2003). * 52 « There is three kinds of death in this world. * 56 Littéralement « sans vie ».

Addiction, concentration, performances… ce que l’on sait (ou pas) des effets du smartphone La recherche est encore balbutiante sur les effets de l’hyperconnexion aux smartphones, un phénomène récent à l’échelle de l’histoire de l’humanité. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Céline Mordant Il y a dix ans, le 9 janvier 2007, le patron d’Apple, Steve Jobs, présentait le premier iPhone. Depuis, le « téléphone intelligent » s’est imposé dans notre quotidien, dans nos poches, nos mains. On l’éteint rarement, on ne le quitte plus… Aurait-il refaçonné notre façon de penser ? Dans le flot des études et publications parfois contradictoires qui dressent soit une inquiétante liste des dégâts, soit une ode très optimiste aux facultés d’adaptation de l’être humain, difficile de s’y retrouver. Peut-on devenir dépendant à son smartphone ? La plupart d’entre nous ont le sentiment de maîtriser entièrement son rapport à son smartphone. « Le smartphone agit comme un doudou virtuel, estime Laurent Karila, addictologue, porte-parole de l’association SOS Addiction. Pas vraiment.

assemblée nationale question sur la cyberdépendance M. Jean-Pierre Abelin interroge M. le ministre de l'éducation nationale sur la cyberdépendance des adolescents. L'ordinateur occupe de plus en plus de place dans la vie, il peut devenir un véritable objet d'addiction. Omniprésent, il entraîne de nombreux comportements compulsifs irrépressibles. La cyberdépendance est une forme de toxicomanie moderne. Lorsque l'on reste « scotché » irraisonnablement à son écran, il arrive même que l'on en oublie de manger et qu'une perte de poids importante en soit la conséquence.

La cyberdépendance : un objet pour les sciences de l'information et de la communication La cyberdépendance, objet relativement « nouveau » en sciences de l’information et de la communication, est en fait plutôt ancienne au regard de l’histoire de l’Internet grand public. Pour en donner une définition, il s’agit d’un trouble psychologique entraînant un besoin obsessionnel d’utiliser Internet (au sens large). L’expression « addiction à Internet » fut employée pour la première fois par la psychologue américaine Kimberly Young, lors d’un colloque de l’American Psychological Association (APA), à Toronto, en 1996. Mais déjà, en 1945, bien avant l’avènement de la communication réseautique, le médecin et psychanalyste autrichien Otto Fenichel (Fenichel, 1987) soulevait le premier la notion d’une toxicomanie sans drogue. Ses travaux théoriques seront d’ailleurs repris largement, une cinquantaine d’années plus tard, par le psychiatre Marc Valleur (Valleur et Matysiak, 2003).

Assemblée Nationale Digital detox, le jeûne des hyperconnectés Pour répondre au malaise généré par une connexion permanente, centres de thalasso et hôtels spa ont ajouté le sevrage numérique à leur menu. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Catherine Rollot Avant de plonger dans l’inconnu, son réflexe a été de lire un dernier mail. A côté des bijoux, montres de luxe et liquidités entreposés par la clientèle fortunée, le trésor d’Eric Chesnel – un ordinateur portable et un smartphone somme toute banal –, 48 ans, n’avait rien d’extravagant. Prendre du recul par rapport à une « addiction » aux mails qui brouille les frontières entre sa vie professionnelle et sa vie privée, c’est l’objectif d’Eric Chesnel. En moyenne, un cadre reçoit au bureau 50 mails par jour. 70 % des Français vérifient leur messagerie toutes les cinq minutes, 78 % se connectent avant de dormir, à peine moins dès le réveil… Pendant quatre jours, plus de wifi ni d’écrans, même pas celui d’une télévision remplacée par une chaîne hi-fi dans la chambre. Se ménager des mises à distance

rapport du Sénat Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. Par ailleurs, la dépendance aux jeux vidéo est bien analysée par l'ouvrage de Mme Christine Kerdellant et M.

filsantejeunes Notes section 1. Notes section 2. Notes section 3.

Bonjour,
Je pense que c’est très important d’adresser ce sujet aussi de façon directe aux jeunes en leur permettant de prendre l’initiative d’agir.
Une très bonne initiative qui existe depuis 2006 !
« Lhuillier », je vous remercie d’avoir partagé ce lien !
Cordialement,
Daniel Dietz by dietz_groupe2_psy Mar 19

Cet article est issu d’un site qui s’adresse aux jeunes. Il les sensibilise sur les dangers que peuvent représenter ces addictions et propose aux jeunes qui se reconnaissent dans la description de ce trouble de consulter des spécialistes, d’écrire ou d’appeler le service filsantéjeunes en proposant un numéro vert. by lhuillier_groupe2_psy Mar 16

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