Motiver les salariés, priorité des entreprises en 2013 Les directeurs de ressources humaines ont trois sujets de préoccupations et de travail prioritaire pour les 24 mois à venir, selon les résultats d'une étude ADP (spécialiste de la gestion paie des entreprises). " Les DRH sont optimistes car ils ont des leviers pour permettre à leur entreprise de traverser la crise. En particulier, la question du niveau d'engagement, de la motivation des collaborateurs va devenir leur cheval de bataille en 2013. Dans un contexte où l'on ne parle que de compétitivité et de coût du travail , le niveau de motivation a des effets directs sur la compétitivité ", commente Grégory Luneau, à la direction Marketing et Stratégies d'ADP. Crise de confiance des salariés " Dans ce contexte de chômage élevé, les salariés ont le moral en berne et ils hésitent à quitter leur poste . 56% des DRH se disent freinés Parallèlement, 56% des entreprises reconnaissent des difficultés pour atteindre leurs objectifs.
Bien-être au travail Sur Mesacosan, nous sommes persuadés que le développement du bien-être au travail est un enjeu majeur pour nos sociétés modernes et nos organisations. Orienté résolument vers l’humain, c’est la place même de l’Homme dans le système productif que nous interrogeons ici. Du point de vue des organisations, développer et investir dans le bien-être au travail est un chemin nécessaire et indispensable pour développer l’efficacité et la capacité d’innovation. Mais développer et investir dans le bien-être au travail c’est aussi reconnaitre et assurer le rôle social que possède chaque organisation humaine. Que ce soit pour favoriser la santé des individus face aux coûts sociaux immenses des maladies professionnelles, mais aussi pour faire du lieu de travail un lieu d’épanouissement complet pour l’être humain et les relations humaines. Ensemble, redonnons sens à cette citation de La Fontaine qui affirmait que « Le travail est pour les Hommes un trésor ».
Qualité de Vie au Travail : l'accord national interprofessionnel Qualité de Vie au Travail : un accord national interprofessionnel L'accord national interprofessionnel (Ani) sur la qualité de vie au travail a été conclu le 19 juin dernier. Cet accord se situe dans le prolongement des différents accords nationaux interprofessionnels : Mixité et égalité professionnelle entre femmes et hommes du 1er mars 2004 Stress au travail du 02 juillet 2008 Prévention du harcèlement et de la violence au travail du 26 mars 2010. Une approche systémique de la qualité de vie au travail L'objet de cet accord est : de favoriser l'accès à la qualité de vie au travail et à l'égalité professionnelle pour tous les salariés, d'augmenter la prise de conscience et la compréhension des enjeux de la qualité de vie au travail en terme d'amélioration de la qualité de l'emploi, du bien-être au travail et de compétitivité de l'entreprise, par les employeurs, les travailleurs et leurs représentants, de faire de la qualité de vie au travail l'objet d'un dialogue social organisé et structurant,
Comment Disneyland Paris améliore le quotidien de ses salariés Crédits photo : Disney Daniel Dreux, vice-président RH de Disneyland Paris Il y a 20 ans, des champs de betteraves s’étendaient à perte de vue sur ce site de plusieurs hectares, Disneyland Paris, devenu aujourd’hui le premier employeur privé de Seine-et-Marne et le premier employeur mono-site de France. 15.000 salariés, à 87 % en CDI, travaillent chaque jour pour « faire rêver » un public varié, international et exigeant. En 2000, les entreprises s’intéressaient peu à la qualité de vie au travail. « Nous avons créé un conseil municipal avec un maire et des conseillers chargés d'administrer au mieux les conditions de vie des citoyens, alias les salariés. » Daniel Dreux, vice-président RH de Disneyland Paris Nous avions perçu l’existence de micro-problèmes : les bus internes pour circuler sur le site qui n’arrivaient pas à l’heure, un temps d’attente trop long des costumes… Et tous ces petits irritants sont de nature à gâcher le quotidien des salariés.
Haro sur l'open space, facteur de stress ! "Je vais m'acheter un casque anti-bruit ! Ça ne m'empêchera pas d'être interrompue en permanence par le téléphone ou une demande express mais au moins j'éviterai les conversations intempestives qui me déconcentrent", témoigne une journaliste dans ce cas sous couvert par l'anonymat. Certains de ses collègues travaillent avec bouchons d'oreilles ou écouteurs "faute de mieux" et choisissent de s'isoler, quand c'est possible, dans une salle de réunion pour réaliser une interview sans être dérangés. "J'ai toujours travaillé en open space, donc je n'ai pas d'élément de comparaison. Plus de la moitié des salariés français (57%) travaillent en open space (plateau ouvert de plus de 20 personnes ou bureau partagé de 4 à 10 personnes), selon Odile Duchenne, directrice générale d'Actineo, observatoire de la qualité de vie au bureau. - Contrôle renforcé de la hiérarchie - "C'est devenu un sujet très important pour nous depuis une dizaine d'années.
"No managers" ou comment travailler autrement ? Crédits photo : Shutterstock.com Des sociétés comme MorningStar, Zappos, Treehouse, Medium ont supprimé les fonctions managers. Et si on supprimait les managers... « NoManagers », « self-management », « holacracy », « déhiérarchisation », le vocable diffère, mais vise un même objectif : redonner du pouvoir aux salariés. Insatisfaction organisationnelle dans les entreprises L'aspiration des entreprises à s'organiser différemment est profonde. L'incessante collecte de chiffres, indispensable au reporting, a participé à l'institution d'un management quantitatif, qui incite les salariés à passer plus de temps à se justifier qu'à innover. Non satisfaisant in fine, ce type de management pousse nombre d'entreprises à sérieusement considérer la question de la « codétermination », nécessaire au développement d'une vision collective constructive. « Déhiérarchisation » et management Autant de raisons qui poussent des entreprises à opter pour l'agilité et l'initiative. Crédits photo : Cadreo
Observatoire de la parentalité en entreprise (OPE), pour une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle | Carrefour, les horaires en îlots Contexte de l’action: Le secteur Caisses représente 1/3 de l’effectif de Carrefour soit à ce jour 20 000 personnes - Un secteur Caisses en magasin est composé de 50 à 250 assistantes de caisses. - Avant 1998, les horaires étaient imposés par le chef de caisses, un système d’horaires libre choix était proposé dans certains magasins. - Les clients étaient insatisfaits de la fluidité en caisses et les assistantes de caisses peu satisfaites de leurs horaires. Dès 1998, Brest bénéficie d’un système appelé horaires îlots qui permet aux assistantes de caisse de participer à la planification de leurs horaires. Un salarié sur trois est déboussolé par le management de son entreprise Le gouffre est toujours aussi béant entre managers et managés. Si 86% des managers se disent très engagés, seuls 59% des collaborateurs partagent ce sentiment. Toutefois l'engagement des salariés est plus fort dans les entreprises de moins de 50 salariés (65%) que dans les grandes entreprises (50%). Etat des lieux des points d'incompréhension. . 31% des salariés déboussolés ne voient pas, concrètement, leur contribution à la réussite de l'entreprise alors que la moitié des salariés et 77% des managers qui se disent engagés, la repèrent bien. LIRE AUSSI >> "Les managers doivent être des leviers du bonheur au travail" . 36% sûrs de ne pas avoir un "bon" chef, alors que 94% des managers pensent être de bons managers. . 40% des managers lassés par le changement permanent. LIRE AUSSI >> Les 4 syndromes du manager (et comment les surmonter) . 82% des managers persuadés que les risques psycho-sociaux ne sont pas un sujet "bidon".
Simplification administrative: les petits patrons sont très demandeurs Ouf ! Alors que le gouvernement annonce ce lundi 50 nouvelles mesures de simplification pour faciliter la vie des entreprises, on entend presque le soupir de soulagement des dirigeants de TPE et PME. Pour ces entrepreneurs qui doivent déjà faire en sorte de ne pas rejoindre le peloton des 60.000 entreprises qui font faillite chaque mois, la complexité administrative et fiscale est un souci de plus. D'abord sur le plan financier. 60 milliards d'euros par an, c'est ce que coûte la complexité administrative aux entreprises françaises, selon l'OCDE.Mais aussi en terme de temps passé. Une simplification... et un accompagnement Parmi les mesures prévues par Thierry Mandon, en charge du "Conseil de la simplification", et Guillaume Poitrinal, député et ex-PDG d'Unibail, certaines vont donc soulager le quotidien des TPE et PME. Toutefois, la simplification des normes et contraintes administratives ne saurait suffire à elle seule. Des patrons stressés et découragés
Le classement «Great Place to Work» a récompensé les enterprises françaises où il est le plus agréable de travailler. Plusieurs sociétés élues ont expliqué au Figaro leurs astuces pour créer un cadre de travail optimal. by veillequalisocial Apr 24