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Comment ces entreprises font l'unanimité chez leurs salariés

Comment ces entreprises font l'unanimité chez leurs salariés
FOCUS - Le classement «Great Place to Work» a récompensé les enterprises françaises où il est le plus agréable de travailler. Plusieurs sociétés élues ont expliqué au Figaro leurs astuces pour créer un cadre de travail optimal. Les sociétés qui chouchoutent leurs salariés ont plutôt bonne cote: Google et sa salle de jeux vidéos, ses espaces de détente ont déjà beaucoup fait parler d'eux. Mais le classement «Great Place to Work» a le mérite de récompenser à la fois les grosses entreprises internationales présentes en France, mais aussi les plus petites, moins connues du grand public. Comment font ces entreprises pour faire l'unanimité chez leurs salariés? Certaines d'entre elles dévoilent leurs astuces au Figaro. • Blablacar Cette jeune et dynamique entreprise française de 110 salariés fondée en 2004 - spécialisée dans le covoiturage - figure en 4ème place du classement des entreprises de moins de 500 employés où il fait bon travailler. • Microsoft France • Accuracy • eBay et PayPal France

Motiver les salariés, priorité des entreprises en 2013 Les directeurs de ressources humaines ont trois sujets de préoccupations et de travail prioritaire pour les 24 mois à venir, selon les résultats d'une étude ADP (spécialiste de la gestion paie des entreprises). " Les DRH sont optimistes car ils ont des leviers pour permettre à leur entreprise de traverser la crise. En particulier, la question du niveau d'engagement, de la motivation des collaborateurs va devenir leur cheval de bataille en 2013. Dans un contexte où l'on ne parle que de compétitivité et de coût du travail , le niveau de motivation a des effets directs sur la compétitivité ", commente Grégory Luneau, à la direction Marketing et Stratégies d'ADP. Crise de confiance des salariés " Dans ce contexte de chômage élevé, les salariés ont le moral en berne et ils hésitent à quitter leur poste . 56% des DRH se disent freinés Parallèlement, 56% des entreprises reconnaissent des difficultés pour atteindre leurs objectifs.

Qualité de Vie au Travail : l'accord national interprofessionnel Qualité de Vie au Travail : un accord national interprofessionnel L'accord national interprofessionnel (Ani) sur la qualité de vie au travail a été conclu le 19 juin dernier. Cet accord se situe dans le prolongement des différents accords nationaux interprofessionnels : Mixité et égalité professionnelle entre femmes et hommes du 1er mars 2004 Stress au travail du 02 juillet 2008 Prévention du harcèlement et de la violence au travail du 26 mars 2010. Une approche systémique de la qualité de vie au travail L'objet de cet accord est : de favoriser l'accès à la qualité de vie au travail et à l'égalité professionnelle pour tous les salariés, d'augmenter la prise de conscience et la compréhension des enjeux de la qualité de vie au travail en terme d'amélioration de la qualité de l'emploi, du bien-être au travail et de compétitivité de l'entreprise, par les employeurs, les travailleurs et leurs représentants, de faire de la qualité de vie au travail l'objet d'un dialogue social organisé et structurant,

Comment Disneyland Paris améliore le quotidien de ses salariés Crédits photo : Disney Daniel Dreux, vice-président RH de Disneyland Paris Il y a 20 ans, des champs de betteraves s’étendaient à perte de vue sur ce site de plusieurs hectares, Disneyland Paris, devenu aujourd’hui le premier employeur privé de Seine-et-Marne et le premier employeur mono-site de France. 15.000 salariés, à 87 % en CDI, travaillent chaque jour pour « faire rêver » un public varié, international et exigeant. En 2000, les entreprises s’intéressaient peu à la qualité de vie au travail. « Nous avons créé un conseil municipal avec un maire et des conseillers chargés d'administrer au mieux les conditions de vie des citoyens, alias les salariés. » Daniel Dreux, vice-président RH de Disneyland Paris Nous avions perçu l’existence de micro-problèmes : les bus internes pour circuler sur le site qui n’arrivaient pas à l’heure, un temps d’attente trop long des costumes… Et tous ces petits irritants sont de nature à gâcher le quotidien des salariés.

"No managers" ou comment travailler autrement ? Crédits photo : Shutterstock.com Des sociétés comme MorningStar, Zappos, Treehouse, Medium ont supprimé les fonctions managers. Et si on supprimait les managers... « NoManagers », « self-management », « holacracy », « déhiérarchisation », le vocable diffère, mais vise un même objectif : redonner du pouvoir aux salariés. Insatisfaction organisationnelle dans les entreprises L'aspiration des entreprises à s'organiser différemment est profonde. L'incessante collecte de chiffres, indispensable au reporting, a participé à l'institution d'un management quantitatif, qui incite les salariés à passer plus de temps à se justifier qu'à innover. Non satisfaisant in fine, ce type de management pousse nombre d'entreprises à sérieusement considérer la question de la « codétermination », nécessaire au développement d'une vision collective constructive. « Déhiérarchisation » et management Autant de raisons qui poussent des entreprises à opter pour l'agilité et l'initiative. Crédits photo : Cadreo

Observatoire de la parentalité en entreprise (OPE), pour une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle | Carrefour, les horaires en îlots Contexte de l’action: Le secteur Caisses représente 1/3 de l’effectif de Carrefour soit à ce jour 20 000 personnes - Un secteur Caisses en magasin est composé de 50 à 250 assistantes de caisses. - Avant 1998, les horaires étaient imposés par le chef de caisses, un système d’horaires libre choix était proposé dans certains magasins. - Les clients étaient insatisfaits de la fluidité en caisses et les assistantes de caisses peu satisfaites de leurs horaires. Dès 1998, Brest bénéficie d’un système appelé horaires îlots qui permet aux assistantes de caisse de participer à la planification de leurs horaires. Simplification administrative: les petits patrons sont très demandeurs Ouf ! Alors que le gouvernement annonce ce lundi 50 nouvelles mesures de simplification pour faciliter la vie des entreprises, on entend presque le soupir de soulagement des dirigeants de TPE et PME. Pour ces entrepreneurs qui doivent déjà faire en sorte de ne pas rejoindre le peloton des 60.000 entreprises qui font faillite chaque mois, la complexité administrative et fiscale est un souci de plus. D'abord sur le plan financier. 60 milliards d'euros par an, c'est ce que coûte la complexité administrative aux entreprises françaises, selon l'OCDE.Mais aussi en terme de temps passé. Une simplification... et un accompagnement Parmi les mesures prévues par Thierry Mandon, en charge du "Conseil de la simplification", et Guillaume Poitrinal, député et ex-PDG d'Unibail, certaines vont donc soulager le quotidien des TPE et PME. Toutefois, la simplification des normes et contraintes administratives ne saurait suffire à elle seule. Des patrons stressés et découragés

La politesse au bureau, c'est important ! Dynamique Entrepreneuriale Un geste simple et facile, la politesse peut se révéler déterminante pour les bons rapports au sein d’une équipe. Stress, mal être au bureau peuvent être parfois estompés par celle-ci. L’importance de la politesse au bureau La politesse montre d’abord le respect réciproque. La politesse par un simple geste L’avantage de celle-ci est qu’elle ne coûte rien et peu (voire pas) de temps. La politesse pour le développement de l’entreprise Si le respect, les félicitations sont des manières de motiver les salariés, la politesse l’est encore plus. Savoir complimenter Le compliment fait également partie des traductions de la politesse.

Comment motiver son équipe en situation de crise ? Présidente DIGINOVE Consulting Les périodes de crise sont, à bien des égards, des révélateurs pour les entreprises et les managers. Face à une concurrence mondialisée et exacerbée, à la nécessité de respecter des standards de production toujours plus exigeants ou à l’arrivée sur le marché de nouveaux entrants qui imposent leurs règles du jeu, les managers se demandent comment faire pour rester dans la course. Dans le même temps, ils doivent motiver, voire même remobiliser leurs salariés alors que le contexte économique et social ne s’y prête guère, leur donner confiance, solliciter leur énergie, leur créativité et leur engagement. Pour ce faire, Jean-Paul Bailly, alors qu’il était Président de la RATP, prônait la philosophie des trois « S » qui consiste à donner aux salariés : Cette approche a fait ses preuves dans des situations normales. Quelle attitude doivent-ils alors adopter ? Avoir une communication claire et rapide Etre présents et en position d’écoute active Savoir déléguer

Executive Inplacement : révéler les hauts potentiels et mieux les motiver Crédits photo : Shutterstock.com En s'intéressant aux désirs profonds des collaborateurs, l'Executive Inplacement, permet d'améliorer leur motivation ainsi que l'organisation de l'entreprise Alors que l'ESG Executive Education et le cabinet H.First viennent de lancer le premier programme français d'Executive Inplacement*, l'expert en management Eric Motillon détaille les atouts de cette pratique. Qu'est-ce que l'Executive Inplacement ? « L'Executive Inplacement, peu connu en France mais très répandu au Canada, consiste à identifier le désir profond du collaborateur en tant que personne : il n'est plus un numéro, une machine, un salarié parmi d'autres... mais un talent unique, fort d'appétences et de compétences qui lui sont propres. Développer les compétences Eric Motillon, expert en management, fondateur H.First et Professeur à l'Executive MBA de l'ESG. Favoriser la mobilité interne Sécuriser les hauts potentiels

Le classement «Great Place to Work» a récompensé les enterprises françaises où il est le plus agréable de travailler. Plusieurs sociétés élues ont expliqué au Figaro leurs astuces pour créer un cadre de travail optimal. by veillequalisocial Apr 24

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