LES FRANÇAIS ET LE MONDE NUMÉRIQUE, ENTRE ADDICTION ET VOYAGE EN TERRES INCONNUES Il ressort de cette étude qu'un large pourcentage des Français (39%) se disent passionnés par le numérique et que la moitié d'entre nous ne pourrait plus se passer de toutes les innovations qui envahissent notre quotidien. Serions-nous tous des geeks en puissance ? Il semble que non (ouf !). L'addiction n'est pas encore généralisée et la possession de mobiles, tablettes et autres ordinateurs ne fait pas de nous des experts en clics, téléchargement, formatage et autres termes barbares. Pire, nous sommes sceptiques et 61% des français expriment des appréhensions sur l'évolution du monde numérique. Le numérique c'est bien, mais point trop n'en faut Dans cette veine, 58% des personnes interrogées considèrent comme négatif l'apport des technologies pour l'homme et la société. D'ailleurs, pour une grande majorité, l'utilisation des nouvelles technologies mériterait d'être quelque peu organisée. Six profils différents face au monde numérique, lequel êtes-vous ? Source : Frenchweb
Cyberdépendance : le jeu est une affaire sérieuse Par La rédaction d'Allodocteurs.fr Rédigé le , mis à jour le C'est avec le soutien d'un psychologue que le joueur pourra retrouver sa liberté et se détacher du monde virtuel. Un phénomène qui pourrait bien s'accentuer avec l'ouverture du marché des jeux d'argent en ligne. Une étude publiée dans la revue américaine Archives of Pediatric and Adolescent Medicine (juillet 2010) révèle par ailleurs que les adolescents "dépendants" à Internet sont deux fois et demi plus susceptibles d'être en proie à la dépression que leurs congénères surfant sur le web d'une manière normale et contrôlée. Pour réaliser cette étude, 1 041 adolescents de la province de Guangzhou, dans le sud de la Chine, ont été interrogés sur leur utilisation d'Internet. La vaste majorité des ados - plus de 940 - surfaient sur le web de manière normale mais 62 (6,2 %) ont été identifiés comme des internautes pathologiques et deux (0,2 %) comme des internautes "gravement pathologiques". En savoir plus Sur Allodocteurs.fr ;
Sommeil: Les effets «catastrophiques» de la lumière bleue des écrans Regarder un film à la télévision ou sur son ordinateur, pianoter sur son téléphone portable pour lire quelques articles ou surfer sur les réseaux sociaux… Les écrans font partie intégrante de notre quotidien, même à l’heure de se mettre au lit. Pourtant, et ce n’est pas une nouveauté, la lumière bleue de ces écrans est mauvaise pour le sommeil. Une étude menée par le Pr Paul Gringas, médecin à l’hôpital pour enfants Evelina de Londres, avec une équipe de chercheurs du King’s College de Londres et de l’université de Surrey, et parue dans la revue spécialisée In Frontiers Public Health, le confirme. Les chercheurs ont pour cela testé l’effet de la lumière bleue émanant de trois smartphones et tablettes (l’iPad Air, l’iPhone 5s et le Kindle Paperwhite), comme le précise France Soir. Conclusion : celle-ci trouble le rôle de la mélatonine, hormone favorisant l’endormissement. « La lumière bleue est idéale en journée, mais a des effets catastrophiques la nuit.
Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La e-dépendance et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. L’évolution des outils informatiques s’accompagne par la suite d’une véritable explosion de demande consultation. Lire ou relire plus tard
Stress numérique Le stress numérique est la conséquence de l’amplification des mécanismes de stress chez les personnes par un environnement où les technologies numériques sont omniprésentes. Par exemple, en France, le nombre de cartes SIM actives, soit 80 millions[1], dépasse le nombre de Français, soit 66 millions. De plus, au moins trois réseaux sont simultanément disponibles pour plus de 99 % de la population. Cette expression identifie des conséquences du nouveau paradigme psychosocial amené par les technologies numériques, auquel est associé le caractère addictif du numérique[2]. En France, le stress numérique concerne près d'un salarié sur trois[3]. Du stress au syndrome d'épuisement professionnel[4] et d'usages libres aux dépendances numériques, les enjeux sont multiples. Numérique : nouveau paradigme et nouvelles dimensions, nouveaux risques[modifier | modifier le code] Un nouveau paradigme et de nouvelles dimensions[modifier | modifier le code] Stress et numérique[modifier | modifier le code]
L'addiction mumérique : la virtuelle vie - Le blogabonnel Mardi 14 août 2012 2 14 /08 /Août /2012 14:37 Vous passez des heures sur le net, dans le monde virtuel : messages, courrier, pubs, sites, blogs ou facebook... Au lieu de vivre, c'est-à-dire d'aimer, de se promener, de voyager, de faire du sport, de lire un bon livre... C'est vrai, on lit beaucoup sur le net, mais surtout des bêtises... Etes-vous conscient(e) de cette addiction numérique..? Votre vie est connectée sur le monde, mais vous êtes seul(e), chez vous, perdu(e) dans le village mondial, où ronronnent les rumeurs les plus folles et malhonnêtes... Et vous vous croyez moderne, alors que vous êtes l’esclave du temps et des commerces à la mode… Avec les réseaux sociaux, vous avez l’illusion de dialoguer ou d’être acteur… mais que de piètres réponses, quel triste dialogue d’au-delà les machines numériques.. ! Pendant ce temps, les médias traditionnels (la presse écrite, surtout) est en régression et perd des lecteurs. Vous êtes accro de virtuel ?
Cyberdependance.ca - Quand l'utilisation d'Internet devient un problème Le binge drinking du point de vue scientifique Le siège de la mémoire de travail est le cortex pré-frontal alors que celui de la mémoire « à long terme » est l’hippocampe. Les réseaux de neurones du cortex pré-frontal ont la capacité de maintenir une activité pendant une courte période une fois que le stimulus externe a disparu : par exemple, le numéro de téléphone qu’on vient de me communiquer et auquel je dois appeler dans 3 minutes. Cette période est capitale, elle est spécifique de la notion dont on doit se souvenir et elle est résistante aux stimuli perturbateurs car elle ne va conserver que l’information pertinente. Les données actuelles suggèrent que le fonctionnement de la mémoire de travail est largement sous la dépendance de l’activité des réseaux dopaminergiques. Il existe deux grands types de récepteurs à la dopamine D1 et D2. L’alcool, comme l’ensemble des produits psychoactifs, stimule la voie D1 et augmente la libération de dopamine, ce qui contribue à la sensation de plaisir.
Les veilles : Toute l'actualité de la pub TV et de la TV surveillée pour vous par le SNPTV - Syndicat National de la Publicité Télévisée A l’occasion de la Journée de la Femme, Médiamétrie s’est penchée sur les pratiques médias et loisirs numériques des femmes. Bonne nouvelle, les femmes passent un peu moins de temps à faire le ménage et les courses. Elles en ont donc un peu plus pour le travail mais surtout le temps libre et les loisirs. Notamment pour consommer des médias, communiquer par téléphone, internet, lire, écouter de la musique, voir des amis, aller au cinéma…. En 25 ans selon l’Insee, les femmes ont gagné plus d’une heure par jour sur le ménage et les courses. L’étude Media in Life1 de Médiamétrie montre la vie des femmes davantage scandée que celle des hommes par des « activités courantes », comme les soins personnels, la prise de repas, le shopping, les relations avec la famille et les amis, les loisirs comme se promener, sortir au spectacle et les activités domestiques (des tâches ménagères au soin des enfants). Les femmes plus consommatrices de télévision Suréquipées en TV, sous-équipées en consoles
Effets et risques Il devient évident que l’usage de ces nouveaux médias peut entraîner des problèmes et que certains sites et activités en ligne présentent un fort danger d’utilisation excessive. Sur le plan psychosocial, un usage pro- blématique se manifeste par une perte de contrôle, avec des répercussions négatives sur les relations sociales, les loisirs et les performances scolaires et professionnelles. Trois domaines surtout sont connus pour être une source potentielle d’addiction: les jeux en ligne (concernent surtout des jeunes gens)la communication en ligne, dont les «chats» (concernent surtout des femmes)les sites de sexe et de pornographie (concernent probablement plutôt les hommes jeunes). Surfer de manière compulsive peut entraîner divers problèmes. La santé physique peut elle aussi être touchée. L’addiction peut s’installer. A ce jour, il n’existe pas de terme généralement admis pour nommer la dépendance à Internet.
Web et addiction Après l’alcool, la cigarette et la drogue, Internet est classifié comme « addiction ». En bref, certains ne savent plus décrocher de leur ordinateur. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance) , est une réalité. En termes psychologiques, elle désigne un besoin excessif et obsessionnel d’utiliser un ordinateur qui finit par interférer sur la vie quotidienne. Vive la vie virtuelle De nombreuses personnes déçues par le quotidien de la vie réelle finissent pas se faire une nouvelle vie , bien plus exaltante, sur Internet . Et en fin de parcours c’est le clash. Sur Internet, il est possible d’exister, d’être valorisé sans être jugé sur ses qualités physiques et intellectuelles. La cyberdépendance en pratique Trois heures du matin. La dépendance à Internet (aussi appelée cyberdépendance), est un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser Internet . Les traitements contre la cyberdépendance A propos de Pierre Davister
Sites web Lancement de MAAD DIGITAL, un dispositif transmédia pour les 13-19 ans MAAD DIGITAL est un dispositif numérique qui a pour objectif de diffuser à tous les jeunes des connaissances scientifiques sur les addictions, décryptées et traduites dans un langage adapté. Il a été élaboré par l’Inserm, la MILDECA et l’arbre des connaissances, en collaboration avec le ministère de l’éducation nationale et Santé publique France. Ses enjeux : sensibiliser les jeunes aux réalités des addictions par la recherchedévelopper l’esprit critique à travers la démarche scientifique expérimentaleproposer un espace d’échanges adapté aux usages des 13-19 ansdémystifier les croyances autour des produits sans moraliser Le site rappelle ce qu’est l’information scientifique et propose plusieurs rubriques : en brefdécryptagevidéole lab, qui suit des apprentis chercheurs au sein de laboratoires spécialistes des addictionsquizcourt-circuit : des infographies pour expliquer des phénomènes liés aux addictions >> Consulter MAAD DIGITAL
Thierry Crouzet : "J'ai fait un burn-out numérique" Yves Calvi s'entretenait mardi avec Thierry Crouzet, un "addict" du tout connecté presque repenti. En février 2010, Thierry Crouzet est admis aux urgences : « overdose », diagnostiquent les médecins de l'hôpital. Pas de stupéfiants ou de médicaments, mais... d'Internet. Ce mardi, c'est la "Journée mondiale sans téléphone mobile".