Associations Sans Frontières : un regard sur les associations les entreprises sociales et l'ESS (économie sociale et solidaire) essaimer l'utilité sociale - Associations Sans Frontières Conférence Tribu Rite Mythe by melissa boudes on Prezi Gouvernance écologique et intégrale Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. [[Gouvernance écologique et intégrale/Témoignage|:des expériences de lecteurs, dont un témoignage sur Gouvernance écologique et intégrale... Cliquez pour plus d'informations"> ]] Enjeux Le bouleversement écologique, social, économique et humain actuel est une invitation pressante à prendre conscience de notre interdépendance entre êtres humains sur la planète, comme avec la Nature et avec toutes les formes de vie. Mettre en place une Gouvernance écologique et intégrale, c’est apprendre l'art de prendre des décisions respectueuses de l'équilibre d'un système vivant, de chacun de ses membres et de l'environnement. La Gouvernance écologique et intégrale commence par la gouvernance de soi. Résultats et impacts La Gouvernance écologique et intégrale est une alternative à l'autocratie (domination d'un seul sur tous) et à la démocratie (domination de la minorité par la majorité). Mise en œuvre Bibliographie
Les méandres de la participation financière due aux salariés LE MONDE | | Francis Kessler (maître de conférences à l'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne) Dans le droit du travail, il existe un mécanisme de redistribution aux salariés d’une partie des bénéfices réalisés par leur entreprise. Cette «participation» – aussi bien évoquée dans les écrits de Charles Fourier, de Louis Blanc, dans l’encyclique Rerum novarum du pape Léon XIII (1810-1903), ou encore dans les théories saint-simoniennes – est le symbole du «gaullisme social». Dès 1959, cette doctrine l’a rendue légalement obligatoire dans toute entreprise employant au moins 50 salariés. Les modalités actuelles de ce mécanisme de redistribution illustrent comment une idée simple a pu devenir un véritable capharnaüm de règles. Ainsi, la pa...
Computer-supported cooperative work The term computer-supported cooperative work (CSCW) was first coined by Irene Greif and Paul M. Cashman in 1984, at a workshop attended by individuals interested in using technology to support people in their work.[1] At about this same time, in 1987 Dr. Charles Findley presented the concept of Collaborative Learning-Work.[2] According to Carstensen and Schmidt,[3] CSCW addresses "how collaborative activities and their coordination can be supported by means of computer systems." On the one hand, many authors consider that CSCW and groupware are synonyms. CSCW [is] a generic term, which combines the understanding of the way people work in groups with the enabling technologies of computer networking, and associated hardware, software, services and techniques. Central concerns of CSCW[edit] Essentially, CSCW goes beyond building technology itself and looks at how people work within groups and organizations and the impacts of technology on those processes. CSCW Matrix[edit] Remote interaction
Chambre Régionale de l'Economie Sociale du Languedoc-Roussillon // Une ressource pédagogique La gouvernance d'une entreprise peut être définie comme des « procédures et structures mises en place pour diriger et gérer les affaires d'une entreprise de façon à assurer un meilleur équilibre entre les instances de direction, les instances de contrôle et les actionnaires ou sociétaires ». Autrement dit, la gouvernance est la répartition du pouvoir, le pouvoir étant, selon la définition donnée par Henri Mintzberg, « la capacité à produire ou à modifier des résultats organisationnels, à faire exécuter ce que l'on souhaite pour obtenir ce que l'on veut ». Dans les entreprises capitalistes, les éléments de la gouvernance sont relativement simples et identifiables, du fait que l'objectif poursuivi par tous est la maximisation du profit : même si de nombreuses innovations, sociales et organisationnelles, se sont développées ces dernières années au sein de ces entreprises, la gouvernance y reste donc relativement unilatérale. II-1) Application du schéma de Marie-Claire Malo
L'ESS dans le programme de quatre candidats aux primaires citoyennes à Marseille Nous avons suivi dans ce blog la place de l’ESS dans les campagnes électorales des élections régionales de 2010 et de l’élection présidentielle de 2012 suivi qui nous permis de présenter une communication lors du dernier congrès de l’Assciation Française de Science Politique (voir L’Économie Sociale et Solidaire dans les dernières campagnes électorales en France. Analyse des argumentaires dans les élections régionales de 2010 et présidentielles de 2012) Nous ne pourrons pas faire le même suivi pour les prochaines élections municipales, tant la multiplicité des campagnes rend la tâche hors de portée d’un artisan comme moi, et nous contenterons de quelques approches, soit dans des villes emblématiques, soit parce les propositions seront apparues particulièreent dignes d’intérêt. Nous avons donc consulté les sites de campagne des six candidats et recherché leurs propositions en matière d’ESS. Mais pour les quatre autres candidats l’ESS est présente dans des programmes très complets. 3.21.
Ecarts de rémunérations entre salariés et PDG : quelles sont les entreprises françaises les plus inégalitaires ? Quel devrait être l’écart raisonnable de rémunération entre les salariés et leur patron ? Dans les années 1930, l’industriel Henry Ford, grande figure du capitalisme, estimait que pour être « admissible », l’échelle des salaires au sein d’une entreprise ne devait pas dépasser 1 à 40. Un bon demi-siècle plus tard, suite à la crise financière de 2008, le président Barak Obama propose de plafonner à 500 000 dollars la rémunération annuelle des dirigeants des entreprises renflouées par l’État. De son côté, le gouvernement français décide en juin 2012 d’encadrer les rémunérations des dirigeants des entreprises publiques, sur une échelle de 1 à 20 comparé au salaire moyen. Le « marché » est, lui, beaucoup plus généreux avec les dirigeants d’entreprises cotées que ne le sont Barack Obama et François Hollande, ou que ne l’était Henry Ford, pourtant très éloigné de l’idéal socialiste. Publicis, LVMH et Danone, champions des inégalités salariales Derrière Publicis, arrive LVMH. Ivan du Roy
Les ressources - Centre d'économie sociale - Cnam - ► un choix de livres [PDF - 366 Ko]spécialisés dans les domaines de l’économie sociale, du travail social, de la culture, de l’éducation populaire et du développement local.► des revues (Revue internationale de l’économie sociale (RECMA), Sciences Humaines, Alternatives économique, Lien Social, Association Mode d'emploi…)► un choix de mémoires [PDF - 93 Ko]déjà soutenus dans le cadre du "diplôme de manager d'organismes à vocation sociale et culturelle". ► Trois ouvrages peuvent être empruntés simultanément d’une semaine de formation à la suivante. Les revues, dictionnaires et encyclopédies ne peuvent pas être empruntés mais une photocopieuse est à votre disposition. ► Les auditeurs peuvent effectuer des recherches en ligne sur un poste mis à leur disposition dans notre bureau. ► Nous proposons un guide établie par Pascale Chaput, coordonnatrice de programme, sur la documentation d'un travail de recherche avec des conseils méthodologiques.