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Internet : outil de collaboration ou de domination

Internet : outil de collaboration ou de domination
Il y a un an, l’enquête Ipsos « France 2013 : les nouvelles fractures » faisait l’effet d’un coup de tonnerre médiatique, soulignant combien la crise avait exacerbé la tentation du repli national et le rejet du politique. Le Monde titrait sur « les crispations alarmantes de la société française ». « Le poujadisme s’est enraciné en France », estimait-elle. L’idéologie anti-autoritaire des années 60-70 a reflué de manière spectaculaire. 87 % des Français estiment qu’on a besoin d’un vrai chef en France pour remettre de l’ordre et 86 % (toute tendance politique confondue) estiment que l’autorité est une valeur qui est souvent trop critiquée. Et la nouvelle édition que vient de relayer Ipsos ne fait que renforcer cette tendance. Certes, ce sondage, encore plus que d’autres, est à prendre avec beaucoup de précautions, tant il semble chercher à faire démonstration. Notre besoin d’autorité est impossible à rassasier Pourquoi les gens éprouvent-ils un tel besoin d’autorité ? Hubert Guillaud

ARCHÉOLOGIE 2.0 – On a retrouvé la première photo postée sur le Web Silvano de Gennaro. (DR) Comme le note le site Gizmodo, c'est un cliché qui ressemble à beaucoup d'autres postés aujourd'hui sur Facebook. Quatre jeunes femmes, membre du groupe Les Horribles Cernettes posent devant l'objectif de Silvano de Gennaro, un ingénieur du CERN. Nous sommes en 1992 et le World Wide Web balbutie. Le groupe de musique est en fait composé de membres de l'équipe du laboratoire situé en Suisse où de nombreux ingénieurs, parmi lesquels Tim Berners-Lee, considéré comme l'un des inventeurs du Web, planchent sur l'amélioration du système. Comme le raconte dans le détail le site Motherboard, le 18 juillet 1992, Silvano de Gennaro assiste en backstage au Hardronic Music Festival, un évènement annuel organisé par les équipes du CERN. "En 92-93, le Web n'était utilisé que par des physiciens", explique l'auteur de la photo à Motherboard. "Tu mets une jolie fille dans le média, et les gens remarqueront le média", a ajouté Jean-François Gross, l'un des programmeurs du CERN.

Trop cher, trop lent : les Egyptiens veulent un autre Internet, et vite Internet a joué un rôle important dans la révolution égyptienne, c’est un fait avéré. Ce qui est plus nouveau, c’est qu’Internet devient en lui-même l’enjeu d’une lutte politique : il s’agit plus de faire la révolution avec Internet, mais de faire la révolution d’Internet. C’est la fondatrice et rédactrice en chef d’un journal en ligne du nom de El Mandara qui le raconte, elle s’appelle Hannan Solayman. Cette campagne incite les usagers à déposer plainte au commissariat de police contre les entreprises frauduleuses qui vendent trop cher les abonnements à Internet. Un prix élevé pour une mauvaise connexion Cette campagne a été lancée par un groupe du nom de « Internet Revolution Movement » – « Le mouvement pour la révolution Internet » –, né du mécontentement croissant des usagers d’Internet contre la faiblesse du service, le prix exorbitant des abonnements et le peu d’assistance technique apportée par les entreprises télécoms et des fournisseurs d’accès à Internet. M.

Web 2.0 Companies Do Not Have Any Women on Their Board of Directors In one memorable episode of the famous old short films “The Little Rascals,” after not getting invited to a party, the Our Gang little dudes decided to form their own group, comically called “The He-Man Woman-Haters Club.” In other words: No girls allowed! While it was wink-wink cute when Spanky, Alfalfa and Buckwheat huffed and puffed about keeping out Darla–which they never ever could do–back in the last century, it’s not quite as adorkable when it comes to the boards of all the major Web 2.0 hotshots these days. That would be Twitter, Facebook, Zynga, Groupon and Foursquare, none of which have any women as directors. As in zero. What’s most remarkable is that most of these start-ups are run by what I consider enlightened and open-minded entrepreneurs, mostly young enough to be part of a generation more inclined to value equality and diversity in the workplace. In addition, each of these companies has a massive base of women consumers, in some cases well over 50 percent of its audience.

Surfer en vacances: peut-on faire confiance aux Wi-Fi publics? Il y a un an, le FBI avait mis les voyageurs (américains) en garde contre des logiciels espions circulant dans certaines chaînes hôtelières. Un truc souvent utilisé pour charger ces virus consiste à proposer, via le réseau public, la mise à jour d’un logiciel sur votre ordinateur. Le premier conseil est donc, avant de partir en vacances, de faire toutes les mises à jour nécessaires pour, ensuite, ne plus en faire après son retour. Tous les réseaux publics sont-ils peu fiables? Rien n’est vraiment confidentiel sur un réseau public. Les réseaux payants sont-ils plus sûrs? Des tests ont montré que les réseaux payants (dans les hôtels ou les aéroports) ne sont pas un gage de sécurité. Les mesures de prudence élémentaire Arrivé sur le site public (de son hôtel par exemple). Mais la situation la plus dangereuse est celle du réseau public ne disposant que d’un seul login et d’un unique mot de passe partagé par tous les utilisateurs. Et si l’on n’est pas dans un hôtel ni un café avec Wi-Fi…

Apple removes ThirdIntifada from the App Store - TNW Apple Apple has removed the ThirdIntifada app from the App Store, after the Israeli government asked Apple to get rid of it earlier this week. ThirdIntifada was used to distribute anti-Israeli editorial and announce scheduled protests to Palestinian users. Intifada is an Arabic word that means “shaking off” but can be more accurately translated to English as “uprising”. Two previous Israeli-Palestinian conflicts are known as the First Intifada and Second Intifada, and the name ThirdIntifada makes the intent of those behind the app quite clear. Israel’s information minister Yuli Edelstein and the Simon Wiesenthal Center, a Jewish human rights group, both complained to Apple.

« On est dans un moment de perte de confiance dans le numérique » Enfin, la France dispose d’une commission consacrée aux droits et libertés à l’âge d’Internet. Mise en place le 11 juin, cette commission parlementaire comprend treize députés et treize personnalités qualifiées. Parmi ces experts, Francesca Musiani, chercheuse au Centre de sociologie de l’innovation - MINES ParisTech, explique l’enjeu. MyScienceWork : Pourquoi une telle commission est-elle importante maintenant ? Francesca Musiani : Jusqu’à présent, les parlements ont plutôt légiféré de façon réactive par rapport au numérique, sur des questions spécifiques. On doit essayer de raisonner davantage en termes de droits fondamentaux et d’applicabilité du droit à certaines situations. Il y a aussi le contexte des révélations d’Edward Snowden sur la surveillance des citoyens, la perte de confiance envers le gouvernement américain, puis on s’est demandé si les Français et les Britanniques ne faisaient pas la même chose. Des écrans d’ordinateur (Doug Waldron/Flickr/CC)

Current Issues in Web Usability 10 Usability Heuristics for User Interface Design April 24, 1994 | Article: 2 minutes to readJakob Nielsen's 10 general principles for interaction design. They are called "heuristics" because they are broad rules of thumb and not specific usability guidelines. When to Use Which User-Experience Research Methods October 12, 2014 | Article: 8 minutes to readModern day UX research methods answer a wide range of questions. To know when to use which method, each of 20 methods is mapped across 3 dimensions and over time within a typical product-development process. Usability 101: Introduction to Usability January 4, 2012 | Article: 4 minutes to readWhat is usability?

Fin du Wi-Fi anonyme en Russie Le gouvernement russe a publié, vendredi 8 août, un décret qui exige que les Russes fournissent leur numéro de passeport ou leur identité lorsqu'ils se connectent à un réseau Wi-Fi public, provoquant la colère des internautes. Ce décret amende en réalité une loi déjà existante qui prévoit que « l'accès aux services de communication et d'échange de données et à une connexion Internet ne sera permis par l'opérateur (…) qu'après identification de l'utilisateur ». Le fournisseur d'accès à Internet (FAI) devrait ainsi théoriquement recueillir le nom complet et plusieurs informations, comme le numéro de permis de conduire. Le FAI devrait stocker ces informations pendant six mois. Il devra en outre noter et conserver la durée de connexion de l'usager, selon le décret. Cette mesure a soulevé l'indignation chez les utilisateurs, qui dénoncent un nouveau tour de vis sur l'Internet russe. Le gouvernement essaie de se justifier

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