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La définition de l'économie sociale et solidaire

La définition de l'économie sociale et solidaire
Retour sur cinq grands principes fondateurs de l'économie sociale et solidaire. La charte de l’économie sociale (4), élaborée par le Comité national de liaison des activités mutualistes, coopératives et associatives (CNLAMCA), devenu le Conseil des entreprises et groupements de l’économie sociale (CEGES), ainsi que différents rapports, dont celui d’Alain Lipietz en 2000 (5), a défini l’économie sociale et solidaire selon un certain nombre de critères qui font aujourd’hui consensus : libre adhésion, lucrativité limitée, gestion démocratique et participative, utilité collective ou utilité sociale du projet, et mixité des financements entre ressources privées et publiques (voir encadré). Un secrétariat d’Etat à l’Economie solidaire a même été créé en 2000, disparu depuis l’arrivée du gouvernement Raffarin. – La liberté d’adhésion : nul ne peut être contraint d’adhérer ou de demeurer adhérent d’une structure de l’économie sociale. Combien d’entreprises sociales peut-on recenser aujourd’hui ?

Economie solidaire Le concept d’économie solidaire est né dans les années 80, dans un contexte marqué par la crise économique et le chômage, alors que le capitalisme ne parvient plus à assurer le plein-emploi, moteur du processus d’intégration sociale des décennies précédentes. On peut regrouper sous ce terme aussi bien l’insertion par l’activité économique*, l’épargne solidaire*, le commerce équitable* que des structures qui œuvrent en faveur d’un développement durable (exemple : énergies renouvelables, production et commercialisation de produits bio). Il rassemble un ensemble diversifié de pratiques économiques qui ont pour but de renforcer le lien social et d’établir une plus grande équité entre les participants à l’échange. Il est difficile aujourd’hui de chiffrer le poids de ce secteur multiforme. Naïri Nahapétian Alternatives Economiques Poche n° 022 - janvier 2006 Commenter cet article

Mardi 11 mai : Soirée Entrepreneuriat Social à Sciences Po Ecouter le contenu de la page : avril 2010 Deux conférences exceptionnelles proposées par les élèves du cours d'entrepreneuriat social de Sciences Po, le Groupe SOS et Ashoka, en partenariat avec le cycle de conférences "Alter mardis : Parlons Solutions". Le Mardi 11 mai 2010 à Sciences Po (amphithéâtre Chapsal) de 17h à 19h : Les entrepreneurs sociaux peuvent ils changer le monde ? de 19h à 20h30 : Entrepreneurs sociaux, économie « classique », pouvoirs publics : quand l'innovation se fait sociale 27 rue Saint-Guillaume, Paris 7ème Métro : Rue du bac / Saint-Germain-des-Près Station vélib' 6024/7101 1ere Conférence-Débat : Les entrepreneurs sociaux peuvent-ils changer le monde ? Si elle renvoie à des réalités anciennes, l'expression d' « entrepreneur social » n'en est pas moins récente. Mais dès lors, qu'est-ce qu'un « entrepreneur social » ? En présence de : Jean-Marc Borello, Délégué général du Groupe SOS et Président du Mouvement des Entrepreneurs sociaux ;

Comment les Français perçoivent-ils l'entrepreneuriat social ? L' Avise vient de publier les résultats d'un sondage visant à donner la perception qu'ont les Français de l'entrepreneuriat social. Points saillants : Les entreprises sociales ont une forte attractivité : 2/3 des Français (63%) choisiraient prioritairement de postuler dans une entreprise sociale, et particulièrement les jeunes (75%) et les actifs (68%). L'entrepreneuriat social attire les futurs entrepreneurs : Parmi les Français qui veulent se lancer dans la création d’entreprise, 62% se disent prêts à créer une entreprise sociale. Les produits et services issus des entreprises sociales séduisent les consommateurs : 77% des Français se disent prêts à acheter des produits et à recourir aux services d’une entreprise sociale. 79% de Français font confiance aux entreprises sociales 81% des Français considèrent l’entreprise sociale comme un modèle d’avenir amené à se développer. °°° Télécharger le détail des résultats du sondage (5p.) .

Alternatives Economiques, l’ovni coopératif Trente ans, 40 salariés, un tirage à 111.000 exemplaires. Pour ses trente ans, Alternatives Economiques, "le second mensuel économique français", s’offre une nouvelle maquette… et se porte bien. Ce miracle économique dans un secteur en crise s’incarne dans un modèle peu courant dans la presse*: la Scop, société coopérative de production. Concrètement, ce statut implique que les écarts de salaire sont moins importants que dans les entreprises traditionnelles. Mais surtout, être une Scop signifie que les grandes orientations du journal sont définies en commun. L’image est évidemment caricaturale, le statut coopératif n’excluant pas les rapports hiérarchiques au sein de l’entreprise. Un journal qui appartient à ses salariés A l’heure où Le Monde échappe au contrôle de sa société de rédacteurs, "Alter Eco" peut se targuer de ne pas être soumis à la pression d’actionnaires extérieurs. Ce fonctionnement démocratique constitue un attrait non négligeable pour les salariés d’Alter Eco.

Social enterprise Many commercial enterprises would consider themselves to have social objectives, but commitment to these objectives is motivated by the perception that such commitment will ultimately make the enterprise more financially valuable. Social enterprises differ in that, inversely, they do not aim to offer any benefit to their investors, except where they believe that doing so will ultimately further their capacity to realize their social and environmental goals. The term has a mixed and contested heritage due to its philanthropic roots in the United States, and cooperative roots in the United Kingdom, European Union and Asia.[3] In the US, the term is associated with 'doing charity by doing trade', rather than 'doing charity while doing trade'. History and philosophy[edit] Social enterprises are often regarded - erroneously - as non-profit organisations. Social enterprise is characterized by open membership and goals widely considered to be in the community or public interest. Canada[edit]

Défenseur d’une nouvelle économie sociale | Echos-solidaires La crise économique nous conduit à repenser le modèle capitaliste sur lequel se fonde notre système de production et d’échange français depuis plus d’un siècle. Des acteurs cherchent d’autres modèles pour « remettre l’homme au centre des préoccupations ». L’économie sociale et solidaire est une des réponses mais pas la seule… inspirés par le social business, d’autres, comme Daniel Hurstel, plaident pour un aménagement du capitalisme. Pour Daniel Hurstel, avocat d’affaires et maître de conférences à l’Institut d’études politiques de Paris, « l’économie sociale et solidaire contient des éléments de réponse à la crise (…). Une façon d’envisager autrement la sortie de crise, en proposant une activité à finalité sociale, mais fondée sur un paradigme bien différent de l’économie sociale et solidaire : l’entreprise est faite pour faire du profit.

Conjoncture : L'économie sociale se renouvelle VIDÉOS - Jacques Attali, Martin Hirsch et Maria Nowak dressent un bilan des initiatives pour lutter contre la pauvreté en 2010. Alors que la microfinance a été ébranlée par les scandales en Inde et la crise économique, un nouveau modèle de lutte contre la pauvreté se développe: le social business. Combattre la pauvreté autrement que par le don, le microcrédit s'y attelle depuis plus de trente ans. Les institutions de microfinance (IMF) accordent des services financiers, principalement des prêts de taille réduite mais également l'épargne ou l'assurance, aux exclus du système bancaire formel. Les microentrepreneurs ont ainsi les moyens de créer leur propre entreprise, d'améliorer leurs conditions de vie et peut-être de créer des emplois. Mais l'année qui vient de s'écouler a été celle de toutes les difficultés pour ce modèle dont bénéficient 150 millions de microentrepreneurs dans le monde. Inde : dérives financières et suicides en série Réguler le secteur

Le gouvernement goûte à l'économie solidaire Une troisième édition dans la cour des grands. Cette année, le lancement du Mois de l'économie sociale et solidaire (ESS) n'a pas eu lieu, comme à son habitude, dans le local associatif du Comptoir Général, mais au ministère de la Jeunesse et des Solidarités actives. Faut-il y voir le signe d'une appropriation par les politiques des revendications du secteur, en mal de reconnaissance? En tout cas, Marc-Philippe Daubresse, ministre de la Jeunesse et des Solidarités actives, a annoncé mardi 19 octobre un plan d'aide à l'économie sociale et solidaire, dans la lignée des préconisations du rapport remis il y a six mois par le député du nord Francis Vercamer (lire son interview). 2 millions de salariés Les acteurs du secteur en auront besoin: pour l'instant, l'ESS a du mal à peser face à l'économie dite classique, et ce malgré ses 2 millions de salariés en France. > Qui sont les acteurs de l'ESS? Ils pourront ainsi faire connaître le plan évoqué par Marc-Philippe Daubresse.

Fondations Clients Fondations Publié le 17 octobre 2013 La rentrée universitaire approche pour les premiers bénéficiaires de la Bourse Avenir Recherche en Soins (BARS), une innovation de la Fondation de (...) Ils sont 10 paramédicaux ou professeurs d’activités physiques adaptées provenant d’établissements hospitaliers mutualistes, ils ont un point commun : retourner sur les bancs de l’Université à partir du 22 octobre. Sous-rubriques Ce que nous pouvons faire pour vous Réalisées en interne, ou s’appuyant sur des compétences externes, nous sommes à l’écoute de vos besoins dans les domaines de l’emploi, de la diffusion d’information et des outils web. Voir le reste En image Derniers commentaires Prix de la Solidarité de Proximité : Appel à candidatures (...) : Vous ne pensez pas qu’’il faudrait retirer un appel a candidature qui expirait le 30/04/10 (...) Ailleurs sur le site... Insertion des jeunes : un niveau de chômage jamais observé Les entreprises coopératives appellent Bercy à soutenir leur développement

Economie sociale et solidaire : de nouveaux modèles d’entrepreneuriat « D'autres modes d'entrepreneuriat existent et (…) ils apportent des réponses durables aux problèmes économiques et sociaux engendrés par la crise » : Jean-Marc Brûlé, Président de l'Atelier, se bat pour une meilleure connaissance d’un secteur qui a le vent en poupe. L’Atelier ? C’est un lieu d’accueil et de conseil des créateurs ainsi qu’un centre de ressources de l'économie sociale et solidaire. C’est aussi l‘un des acteurs du secteur qui seront présents à l’occasion du Salon des Entrepreneurs. En effet, l’ESS (Economie Sociale et Solidaire) est un secteur qui monte. En France, ce champ de l'économie a créé 104 000 emplois sur la période 2006-2008. Pour plus d’informations :

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