Heartbleed : la NSA aurait exploité le plus gros bug d’Internet pendant 2 ans L’actualité d’Internet a été marquée cette semaine par un vent de panique après l’annonce par le service de chiffrement OpenSSL de l’existence d’une faille dans son code source. Un bug « catastrophique » et « historique » pour certains ; « Internet est cassé », clament encore d’autres. Et pour cause : le chiffrement d’OpenSSL est un standard sur lequel repose la sécurité de près des deux tiers des serveurs de la planète et la confiance des internautes : avec le fameux « petit verrou » à côté de l’URL, ce standard laissait croire que tout était sûr, alors que mots de passe et autres données bancaires pouvaient fuiter pour qui connaissait la faille. Heartbleed : 11/10 sur l’échelle de la gravité Concrètement, OpenSSL est un des services offrant une protection essentielle aux internautes et aux serveurs en délivrant des clefs de chiffrement qui permettent de masquer les communications. Le célèbre expert en cryptographie Bruce Schneier disait de la faille : La NSA savait et ne s’est pas gênée
Facebook veut offrir l’internet partout avec des lasers, drones et satellites (VIDEO) Facebook envisage d’offrir internet au monde entier. L’entreprise entend pour ce faire utiliser des drones et des satellites communiquant entre eux au moyen de rayons laser. Yael Maguire, chef-ingénieur chez Facebook: l'internet spatial pour tous. “En vue de relier le monde entier avec internet, nous planchons sur des manières de transférer internet de l’espace vers les habitants de la Terre”, écrit le CEO Mark Zuckerberg sur sa page Facebook. “Notre but est de permettre un accès abordable aux services internet de base pour chaque personne vivant sur cette planète.” La façon de s’y prendre est expliquée dans une vidéo par Yael Maguire, le chef-ingénieur chez Facebook. Chorégraphie pour satellites Facebook entend changer la situation en abordant les choses différemment. Dans les régions densément peuplées, l’on recourrait à des drones.
Le CSA veut censurer Internet... Dans le prochain rapport annuel du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), l’autorité administrative confirme sa volonté de réguler le Web sur le même mode que la télévision. Dans ce rapport, le CSA propose au gouvernement, dans le cadre du projet de loi Création préparé par le très zélé ministre Aurélie Filippetti, de lui confier la possibilité d’accorder un label dénommé « site de confiance » aux seuls sites Internet qui signent une convention dans laquelle ils s’engagent à faire respecter des principes moraux, en particulier de protection de l’enfance mais aussi d’interdiction de quenelle et sans doute de propos jugés excessifs… Le problème réside, en fait, dans la définition même de la notion de principes moraux, qui sera définie par des « moralistes » autoproclamés. Le label ainsi accordé « devra être pris en compte » par les outils de contrôle parental, de façon négative.
Le Brésil fait un pas vers un Internet plus libre Au Brésil, la liberté passe dans les câbles réseaux, à défaut d’être dans les favelas où les forces spéciales s’opposent aux habitants à la veille de la Coupe du monde de football. Les députés ont adopté mercredi 26 mars, en première lecture, un projet de loi de régulation d’Internet. Ce texte, soutenu par le gouvernement de Dilma Rousseff, doit désormais passer devant le Sénat. Le texte, décrit comme « une constitution pour Internet, qui vise à garantir un réseau libre et ouvert », est « une victoire de la société civile » pour Sergio Amadeu da Silveira, de l’Association brésilienne de chercheurs en cyberculture. Liberté d’expression et confidentialité La présidente brésilienne s’est félicitée sur Twitter de cette décision, qui représente « une victoire pour toute la société brésilienne ». La loi, débattue durant des mois, garantit la liberté d’expression et la confidentialité de l’usager contre toute violation et utilisation indue de ses données. Des compromis avec les géants d’Internet
La mort de la presse ? Tant mieux ! Le métier de journalisme serait-il en plein changement structurel pour arriver à s'adapter face à la montée d'internet et des réseaux sociaux ? La presse est en train d’agoniser. Et, entre nous, c’est une excellente chose. Je tiens à différencier deux aspects très différents du journalisme : l’information et l’analyse. Il est évident que l’analyse n’est pas possible sans l’information. Et, historiquement, obtenir l’information était le plus difficile. Le modèle de fonctionnement était le suivant : Événements -> Correspondants locaux ou envoyés spéciaux -> Agences de presse -> Organes de publications -> Libraires -> Lecteurs La valeur réelle du journalisme se trouvait dans toute la chaîne, conçue pour transmettre l’information depuis son origine à n’importe quel citoyen. Pour s’adapter à Internet, la presse a transformé les publications traditionnelles en sites webs. Sauf que personne ne paie les versions électroniques. Or la réalité est bien plus simple. Icône de liens externes typique. .
Vainqueurs et losers : voilà à quoi ressemblerait un Internet sans neutralité Les Etats-Unis veulent enterrer la neutralité du Net. Vous n’y comprenez rien ? Détrompez-vous, c’est très simple : si le projet est mené à bien, vous ne pourrez plus déjeuner en musique. Voici pourquoi. « Discrimination », « acte de décès du Net », « naissance d’un Internet à deux vitesses ».... Les cris d’orfraie fusent de l’autre côté de l’Atlantique depuis que les autorités ont affiché leur ambition d’enterrer la neutralité du Net. Lâchons un moment le jargon technique, les odes fatalistes et les métaphores routières. Voilà à quoi pourrait ressembler un Internet sans neutralité. Du côté des Internautes La fin de la pause-déjeuner avec Deezer à fond Vous êtes Basile. Il est 9 heures, vous êtes dans le tram et vous tentez de consulter Rue89 avec votre smartphone équipé de la 3G. Finalement, vous optez pour Le Monde qui de son côté a eu les ressources suffisantes pour signer un chèque à Orange et être prioritaire à cette heure de pointe sur les réseaux mobiles. Pour les start-up
Comprendre un monde qui change : Internet et ses enjeux Bin oui, Pascal, je n’ai rien dit d’autre...Souviens-toi comment Bruno Masure s’est fait virer, Patrick Poivre d’Arvor remercié, et hop ! Harry Roselmack. L’avenir nous dira si les prochains automates ne seront pas recrutés dans les rangs LGBT, c’est p’têtre un vieux trans salement opéré qui t’annoncera bientôt ton licenciement, et puis ils auront qu’à finir l’émission avec du porno, comme ça, ce sera complet... en s’astiquant sur le prochain "attentat" "terroriste"... David Pujadas, Wikipédia, extrait :"Depuis le 3 septembre 2001, il remplace Claude Sérillon à la présentation du journal de 20 heures de France 2, à la demande du nouveau directeur de l’information Olivier Mazerolle.
Etude : Internet serait aujourd'hui 47 % plus lent qu'en 2012 Rien à voir avec les prédictions d'un ralentissement du au téléchargement des certificats relatifs au colmatage du bug Heartbleed, l'étude menée par Radware se base sur des analyses réalisées depuis 2012 et démontre un ralentissement général du web. Entre 2012 et aujourd'hui, le temps d'affichage d'une page Internet aurait ainsi augmenté de 47 %. Selon l'étude, le top 100 des sites Internet les plus rapides aurait encaissé une hausse de 7% du temps de chargement de leurs pages entre 2012 et 2014, avec un temps d'affichage de 10,7 secondes en moyenne contre 6,6 secondes au printemps 2012. Selon Radware, le temps d'interaction des sites les plus populaires serait actuellement de 5,4 secondes, pour un temps de chargement complet d'environ 10 secondes par page. Les sites Internet proposent de plus en plus d'images, et l'évolution des écrans et de leur définition implique là encore des images de plus en plus lourdes.
Le Parlement européen va-t-il instaurer l'internet à deux vitesses ? La Quadrature du net, association de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet, sonne l’alarme. Un vote déterminant pour la « neutralité du net » se tiendra la semaine prochaine au Parlement européen. La neutralité du net, c’est le fait que les opérateurs de communications se contentent de transmettre les données sur le réseau internet sans les filtrer ou les discriminer – ralentir certains flux pour en privilégier d’autres, par exemple. Alors que ce principe est difficilement respecté aujourd’hui par les opérateurs, le texte qui risque d’être discuté au Parlement vise au contraire à légaliser le filtrage des flux par les opérateurs. La Commission de l’industrie, de la recherche et de l’énergie (ITRE) du Parlement européen votera lundi 24 février sur une proposition de règlement élaborée par la Commissaire européenne Neelie Kroes. Un Internet à deux vitesses Le site de La Quadrature avec les enjeux du débat : savetheinternet Illustrations :
Les géants du Web se sont opposés à la FCC aux USA Publié le 20 mai 2014 - 15:49 par François Giraud La FCC, régulateur américain pourrait modifier les règles de Neutralité du Net et mettrait en place un traitement préférentiel permettant aux FAI de monnayer l’accès à leurs services. Les géants du Web se mobilisent contre la FCC pour éviter un Internet à deux vitesses. La Federal Communications Commission, le régulateur américain du net doit voter un texte sur la Neutralité du Net qui pourrait permettre de mettre en place un accès privilégié aux réseaux contre rémunération. Les grands acteurs du Web qui se mobilisent pour un Internet libre, non discriminatoire, souhaitent faire réagir le FCC pour que le vote qui doit être prononcé le 15 mai prochain permette une Neutralité du Net et ne représente pas une menace pour Internet. Ailleurs sur le web Information relative Amazon Prime Music : à l’assaut de Spotify et Deezer Amazon : le Kindle Phone 3D pourra détecter le visage de l’utilisateur Informations complémentaires
La filière numérique française dénonce la loi de programmation militaire La loi de programmation militaire (LPM) suscite l'inquiétude de la filière numérique française, montée au créneau pour dénoncer une mesure adoptée mardi par les députés en première lecture, qui donne à plusieurs services un plus grand accès aux données personnelles. Le Conseil national du numérique (CNN), l'IAB France qui représente les principaux acteurs de la communication digitale en France, l'association des services internet communautaires (ASIC) et le think tank Renaissance Numérique ont partagé ce vendredi leurs doutes sur le projet de LPM, qui sera examiné mardi par le Sénat et fixe les crédits de la Défense pour la période 2014-2019. Leur inquiétude se focalise sur l'article 13, destiné à renforcer l'accès des services de renseignements intérieurs, de police et de gendarmerie aux données téléphoniques et informatiques, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée.
Bernard Cazeneuve veut sa petite loi "Ferme ta gueule Internet" et il l'aura si vous ne faites rien N’espérez pas qu'il y ait une once de bon sens à la tête de ce pays. Par exemple, Bernard Cazeneuve notre ministre de l'Intérieur répond à une logique qui nous dépasse tous, nous les êtres humains. En effet, ce dernier se dirige dans une direction qui est loin de tout ce que peuvent représenter les valeurs de notre pays. Un nouveau projet de loi antiterroriste vise à bâillonner n'importe quel site internet, sans avoir recours à la justice et cela, malgré les hurlements du Conseil National du Numérique sur les dangers d'une telle loi, le projet de loi est maintenu par le Ministère de l'Intérieur. Oui, au Ministère, ils n'écoutent personne, ils font ce qu'ils veulent comme des gosses et ils s'en foutent puisqu'ils ont la TOUTE-PUISSANCE INTERSIDÉRALE et qu'ils souhaitent absolument nous la mettre bien profond. Cela concerne donc le blocage des sites pro-terrorisme bien sûr, mais aussi pourquoi pas les sites que vous aimez et qui n'ont rien à voir avec le terrorisme. Peut-être... Merci