Burn-out 2.0 : du plaisir au rejet des médias sociaux 113inShare ♫♪Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître♪♫. Ah, en fait si. Il existe un mal qui frappe certains web-addict et autres travailleurs du net. Non, il ne s’agit pas du syndrome Gilles de la tourette ou du syndrome de Stockholm avec un troll qui prend en otage votre marque. Il faut enfiler son costume de Nicolat Hulot pour aller fouiner dans les contrées connectées afin de dénicher : le burn-out 2.0 Fatigue intense, rupture des connaissances, le burn-out se caractérise par un état d’épuisement général, à la fois psychique, émotionnel et mental. les «batteries sont vides» et le sujet n’est plus capable de récupérer sur de courtes durées. J’ose penser avoir échappé à l’épidémie mais j’ai bien conscience d’avoir déjà contracté le virus. Les médias sociaux peuvent nous handicaper. Pourquoi notre engouement fini-t-il par se consumer à trop vouloir consommer ? L’idylle Durant cette période d’idylle, on a tous les avantages sans les inconvénients.
Neurobiologie Premières rencontres avec la drogue La première prise de drogue répond le plus souvent à une recherche de sensations, à l'obtention d'un effet euphorisant dans un but récréatif, ou à l'obtention d'un effet thérapeutique. Le plaisir procuré par la drogue provient de son interaction avec les neurones dopaminergiques de l'aire tegmentale ventrale qui se projettent au niveau de l'hypothalamus, de l'amygdale, du septum, du noyau accumbens et du cortex préfrontal. Schéma 1 - Anatomie dopaminergique cérébrale Il y a augmentation de la libération de dopamine dans toutes ces structures. La plupart des produits agissent au niveau de la synapse entre le neurone dopaminergique et sa cellule cible. Schéma 2 - Synapse dopaminergique Alcool : blocage de la monoamine oxydase responsable de la dégradation de la dopamine Amphétamines : augmentation de la libération de dopamine et blocage de sa recapture Cannabis : augmentation de la libération de dopamine (faible) Cocaïne : blocage de la recapture - sérotonine :
Les enfants de l'écran - Analyse Médiamétrie Il est courant d’entendre déplorer la dépendance des enfants vis-à-vis des écrans. Celui de la télévision, depuis longtemps ; ceux aussi, désormais, de la console de jeux, de l’ordinateur, du portable, du baladeur. Les parents s’en plaignent. Les éducateurs et les psychologues prennent le relais et dénoncent ce qui leur parait relever d’une véritable addiction. Il est intéressant d’y voir clair. Le peuple des jeunes, « C ki » ? D’abord, combien sont-ils ces enfants de l’écran ? Enfin le profil sociodémographique des foyers concernés fait apparaître, par rapport aux données nationales, une relative domination des CSP+ (50 %) par rapport aux CSP- (43 %). Cinq écrans au moins Un constat dominant : l’entrée dans les foyers des biens numériques est souvent liée à la présence des enfants. Le deuxième équipement, par ordre d’importance décroissante, est le téléphone mobile, présent dans 98 % des foyers. Tôt le matin et tard le soir Les périodes et les jours : ça dépend de la scolarisation
Infolab Chaque mois, « Infolab » traitera d’une grande thématique autour des enjeux de l’information. Nous continuons le projet en nous focalisant ce mois-ci sur les aspects générationnels (l’étude a démontré que la notion de « génération Y » était a minima très contestable) et les nouvelles responsabilités en cours pour les médias vis-à-vis du traitement de l’information. Troisième contribution de ce thème : la marque sociale, par Pierre Bellanger, le fondateur et président de Skyrock. « Skyrock a pour vocation la libre expression populaire de la nouvelle génération. En radio, Skyrock est lapremière radio de France des moins de trente-cinq ans avec plus de quatre millions d’auditeurs chaque jour. Sur Internet, skyrock.com est le premier réseau social de blogs français et européen avec plus de 33 millions de blogs ». Une transaction humaine est toujours double. La révolution industrielle : le passage vers un monde de transactions entre anonymes La marque, un réseau de fait à maitriser
Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :
Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La gazette de Danièle : "Des idées et des Arts..." Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La « e-dépendance » et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. Les premiers écrits sont nord-américains, Ivan Goldberg, suivi en 1996 par mes écrits français. Michael Stora :
[Omnsh.org : l’Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines :.] Contribution à l’étude de l’addiction comme fixation à la relation d’objet primaire Carole Rivière Internet est un objet de la modernité contemporaine dont on peut déjà dire, à l’image du train il y a deux cents ans, qu’il (le réseau) ou elle (la toile) devient un élément emblématique de notre civilisation. Son irruption dans l’imaginaire et dans le monde des symboles est déjà perceptible à travers les représentations culturelles, les investissements psychiques, fantasmatiques, parfois pathologiques dont il est porteur. Introduction P.4Les fondements historiques d’une théorie de l’addiction Problématique et MéthodologiePartie 1 : La dépendance addictive à Internet dans sa relation à l’expérience de satisfaction "primaire" : une rencontre-restauration de la jouissance narcissique P. 1. Partie 2 : Internet comme objet-écran entre le dedans et le dehors ou l’impossible séparation avec l’objet P. 1. 2. 3. S.Rado, E. Partie I
Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La e-dépendance et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. L’évolution des outils informatiques s’accompagne par la suite d’une véritable explosion de demande consultation. Lire ou relire plus tard
Il faut limiter notre temps passer sur les ordinateurs/jeux/magasins/autres... pour pouvoir contrôler les addictions qui s'installent sans que nous nous en apercevions... Le plus dur est de s'en apercevoir. by beaubras_groupe2_psy Apr 8