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Mieux comprendre les addictions

Mieux comprendre les addictions
Compte-rendu des JOURNÉES GRAND PUBLIC SUR LE THÈME DES ADDICTIONS 2013 Cliquez pour télécharger le résumé en version pdf La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau et Réunica sont partenaires depuis trois ans pour financer des projets de recherche sur le cerveau, contribuer à la campagne nationale du Neurodon lors de la Semaine du Cerveau et mettre en place des actions de sensibilisation. L’objectif était de présenter au public l’état actuel des connaissances permettant la compréhension des addictions ainsi que les dernières avancées de la recherche scientifique en la matière. Un guide « quand mon cerveau devient accro » et une z-card « addictions, attention ! 1- Addiction aux substances et rôle du cerveau dans les addictions L’addiction – une pathologie multifactorielle « L’espèce humaine est fondamentalement dépendante et se doit d’acquérir la capacité à être bien seule, à être autonome. Le terme « addiction » est souvent utilisé à mauvais escient. · simple, Les questions du public :

Stress numérique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le stress numérique est la conséquence de l’amplification des mécanismes de stress par un environnement numérique omniprésent : en France le nombre de cartes mobiles (ou cartes SIM) actives (80 millions) [1] dépasse le nombre de français (66 millions) et au moins trois réseaux sont simultanément disponibles pour plus de 99% de la population. Cette dénomination, intègre le nouveau paradigme numérique (Cf. section 1), auquel est associé le caractère addictif du numérique[1]. Du stress au burnout ou syndrome d'épuisement professionnel (état d’une personne soumise à des facteurs de stress organisationnels permanents et répétitifs qui altèrent son bien-être et épuisent ses ressources)[2] et d'usages libres aux dépendances numériques (voire à l'association des deux), les enjeux sont multiples. Numérique : nouveau paradigme et nouvelles dimensions, nouveaux risques[modifier | modifier le code] Stress et numérique[modifier | modifier le code]

Résultat de recherche d'images pour "cyber addiction&quot Résultat de recherche d'images pour "cyber addiction&quot Résultat de recherche d'images pour "cyber addiction&quot Conduites addictives chez les adolescents – Une expertise collective de l’Inserm 06.02.2014 - Dossier Santé publique Télécharger la synthèse de l’expertise collective. En France, les niveaux de consommation de certaines substances psychoactives, en particulier l’alcool, le tabac et le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit des évolutions de la réglementation visant à limiter l’accès des mineurs à ces produits et des campagnes de prévention répétées. ©Fotolia Pour répondre à cette demande, l’Inserm a réuni un groupe pluridisciplinaire d’experts en épidémiologie, santé publique, sciences humaines et sociales, addictologie, neurosciences et communication. Les experts ont notamment constaté une modification des usages et des modes de consommation de certaines substances psychoactives, comme par exemple l’alcoolisation ponctuelle importante qui tend à se développer chez les adolescents. L’adolescence, période de vulnérabilité Le cerveau de l’adolescent est plus vulnérable aux substances psychoactives que le cerveau de l’adulte. Alcool Tabac Dommages associés

Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique. En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance. Michel Lejoyeux, un professeur de psychiatrie et d'addictologie à l'université Paris 7, estime que le problème n'est pas de savoir s'il est possible de vivre déconnecté ou non. On peut avoir une relation complètement passionnelle et exagérée vis-à-vis du téléphone. Quant à l'écrivain Thierry Crouzet, il considère que la dépendance à Internet peut causer un trouble physique tel que des crises d'angoisse ou encore un trouble social. Lire la suite

Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :

Les Dépendances sans drogues La fascination pour la télévision et les jeux vidéo peut aboutir à une dépendance : le « patient » passe des heures devant le petit écran, délaissant toute autre occupation. GETTY/Photodisc L'auteur Marc VALLEUR est psychiatre au Centre Marmottan, à Paris. Pour en savoir plus D. M. M. est psychiatre au Centre Marmottan, à Paris. Du même auteur Internet peut-il rendre dépendant ? Cyberaddiction, dépendances amoureuses, dépendances au travail, au téléphone portable, au jogging : l'homme serait-il un être dépendant ? Phénomène de mode ou réalité médicale ? Dépendance universelle Que signifie le terme « addiction » ? Le psychanalyste américain Otto Fenichel décrit pour la première fois en 1945 les « addictions comportementales », sous le nom de « toxicomanies sans drogues ». Plus tard, le terme d'addiction s'est imposé comme simple transposition du terme anglais addiction, qui se décline en drug addiction, tobacco addiction, addiction to gambling (dépendance au jeu), etc.

Il faut limiter notre temps passer sur les ordinateurs/jeux/magasins/autres... pour pouvoir contrôler les addictions qui s'installent sans que nous nous en apercevions... Le plus dur est de s'en apercevoir. by beaubras_groupe2_psy Apr 8

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