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Agriculture urbaine - INRA

Agriculture urbaine - INRA

Agriculture urbaine : un nouveau modèle agroalimentaire ? INNOVATION - Initiation au compostage, atelier de bricolage de serres amovibles, préparation des semis de cultures ... Voici les activités proposées en plein cœur de la ville de Colombes, en bordure de Paris (92-Hauts-de-Seine). La ville accueille, depuis peu, sur un terrain en friche le projet Agrocité, une ferme urbaine expérimentale, qui propose des activités culturelles et pédagogiques autour de l’agriculture, dans le cadre d’initiatives écologiques et partagées. Comment concevoir des paysages productifs en milieu urbain ? Partout dans le monde, l’agriculture urbaine - jardins partagés par exemple - est devenue une caractéristique commune des villes contemporaines qui veulent répondre à des préoccupations sociales, environnementales et économiques. Le développement des savoir-faire en milieu urbain Un projet global social et solidaire Agrocité s’intègre dans un projet global d’économie sociale et solidaire : R-Urban, développé à Colombes, pendant 4-5 ans.

Une ferme dans un bunker en plein cœur de Londres AGRICULTURE - Une ferme dans un vieux bunker? Yes sir! Et en plein cœur de Londres en plus. 430 mètres de tunnels, 33 de profondeur, c'est sous le quartier de Clapham que ce projet aussi excitant que loufoque est en train de voir le jour, façon de parler. Pour l'instant, seule une salle du complexe est expérimentée mais, à terme, ce sont bien 2,5 hectares de surface qui pourraient être exploités expliquait le Guardian le 30 janvier. Lire aussi: » BLOG Urbanisme: la ville de demain se construira sur nos toits » BLOG Petite échelle, vrai impact: investir dans l'agriculture familiale pour lutter contre la faim Hydroponie Seulement voilà, dans un bunker souterrain, il n'y a pas de terre. Les plantes sont cultivées sur un substrat neutre, inerte et surtout régulièrement irrigué d'une solution qui apporte à la plante les sels minéraux et autres nutriment dont elle a besoin pour se développer. Et la lumière? Efficacité énergétique Steven Dring, justement. Lire aussi: » BLOG Un toit éphémère?

Agriculture urbaine made in France Alors que la population mondiale se concentre de plus en plus dans les villes, l'agriculture urbaine apparaît comme une solution aux risques de pénurie alimentaire. Au delà des projets de fermes verticales qui émergent un peu partout, le problème en France se pose davantage en termes d'environnement et d'aménagement que d' "autosuffisance". Tour d'horizon des initiatives les plus avancées à Rennes, Toulouse ou encore Romainville et Wittenheim... C'est un jardin de Pomone planté dans les brumes du nord de l'Angleterre. A Todmorden, non loin de Manchester, poussent carottes, choux, laitues, oignons, pommes de terre au beau milieu de la ville. Ce projet baptisé "Incredible Edible" (incroyable comestible) a des airs d'Abbaye de Thélème au moment où les rapports mondiaux (FAO, Banque mondiale, Pnud, PAM...) alertent sur les risques de pénurie alimentaire, notamment en ville. Tous ces projets ont un maître-mot : l' "autosuffisance" alimentaire. Source

Les éco-quartiers sont-ils le futur de la ville ? C’est dans les villes que sont consommés 75% de l’énergie mondiale. Elles sont encore très dépendantes des énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz naturel). Ces cinquante dernières années, les villes européennes se sont étendues en moyennes de 78% alors que les populations ne grossissaient que de 33%. Si, vingt ans après le Sommet de la Terre, les clignotants sont encore plus rouges qu’alors, certains experts mettent en cause un urbanisme qui ne serait jamais sorti de l’utopie fonctionnaliste issue de la Charte d’Athènes de 1933, séparant les fonctions de la ville (habiter, circuler, travailler, consommer). Enfin et surtout, de quelles marges de manœuvre dispose-t-on ? Une nouvelle utopie urbaine En attendant cette hypothétique rupture de notre mode de développement, l’Europe réfléchit aux éco-quartiers qui, sur le papier, relèvent tous les défis de la ville du futur… en même temps ! BedZed Difficile de définir l’éco-quartier autrement que sous la forme du « portrait-robot ». Masdar

La ferme à la ville Des terrasses et des terrasses de verdure... C’est un audacieux projet que porte la dynamique association Jeunes Parisiens de Paris. En plein 15e arrondissement, près de la gare Montparnasse, au niveau du 69 de la rue Castagnary devrait voir le jour une “ferme verticale”, si le projet est accepté par la Mairie de Paris. "Il s'agit donc d'une agriculture hydroponique, c'est à dire hors sol. Les idées sont légion, comme celle d'un réservoir qui récupèrerait sur 4000 m2, les eaux de pluies. Ce genre d’initiatives qui s'approprient l'espace urbain pour le végétaliser se développe dans le monde. Pourquoi pourrait-elle révolutionner la ville?

Ecoquartiers : Hammarby, le développement durable à la suédoise L'actu : A quelques jours du Sommet de Copenhague, la Ville de Paris a organisé, le 30 novembre, un séminaire franco-suédois sur le thème de la ville durable. Objectif : confronter et mutualiser les expériences des deux pays, la Suède étant réputée pour ses initiatives innovantes en matière de développement durable. Parmi les projets exposés, celui du quartier d’Hammarby est venu prouver qu’il était possible de conjuguer croissance économique et démarche écologique. Ancien quartier de docks industriels, Hammerby-Sjostad est devenu un modèle de ville verte qui fait la fierté de la municipalité de Stockholm. Alliant proximité avec le centre-ville et rapport privilégié avec la nature, Hammarby constitue un système expérimental de gestion de l’énergie, de l’eau et de la récupération des déchets. La transformation de ce quartier délabré a commencé au milieu des années 1990. Découvrez également notre diaporama sur l’architecture durable en Suède.

Vancouver deviendra-t-elle la ville la plus verte du monde? | Paris Climat 2015 Un photoreportage de Catherine François Le maire Robertson a lancé avec son équipe le plan « Greenest City ». Ce plan s'attaque au problème de la pollution et des émissions de gaz à effet de serre en fixant 10 cibles précises. Il a déjà atteint 80 % de ces objectifs. La cible en matière de transports a été atteinte plus vite que prévu. La ville est quadrillée de 275 km de pistes cyclables.Le système de transport collectif est équipé de bus électrifiés.Une troisième ligne de métro doit être inaugurée l'an prochain.200 bornes électriques ont été installées pour les voitures électriques. Les Vancouvérois se sont engagés à fond dans cette aventure proposée par leur maire. « Dans les deux années qui ont suivi l'adoption du plan, nous avons consulté 35 000 résidents, ainsi qu'une centaine d'organisations, de professeurs, de spécialistes, d'entrepreneurs, des membres des communautés ethniques », explique Andrea Reimer, adjointe à la mairie de Vancouver.

A Amsterdam, un projet d’urbanisme collaboratif contribue à changer un quartier d’affaires La plate-forme en ligne lancée en mai par TransformCity met l’imagination au pouvoir en vue de dynamiser un quartier de la métropole néérlandaise, dont un tiers des bureaux sont vacants. Comment donner vie à un quartier d’affaires excentré d’Amsterdam, uniquement composé de bureaux que la crise de 2008 a partiellement vidés ? C’est à cette lourde tâche que s’est attelée l’architecte néerlandaise Saskia Beer, d’abord seule, puis avec l’appui de la municipalité, par le truchement d’une plate-forme numérique collaborative, ouverte à tous. Tout le monde le reconnaît aujourd’hui : une erreur a été commise dans les années 1960, lorsqu’il s’est agi de planifier, au sud-est d’Amsterdam, une nouvelle zone aux limites de la ville. « On sait depuis longtemps que le modèle sur lequel a été construit le quartier ne fonctionne pas », constate Tamara Smit, chargée d’Amstel 3 à la mairie d’Amsterdam. Un défi urbain à relever Ainsi est née, en mai 2016, la plate-forme numérique du quartier, ZO !

La trottinette est-elle l’avenir de l’homme ? Si elle possède de prime abord tous les attributs de l’avant-garde décroissante, la trottinette porte en elle les germes de sa destruction. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Clara Georges A quel moment avons-nous pris l’itinéraire bis de notre avenir rêvé ? Nous ­sommes coincés dans une déviation du futur dans laquelle les voitures ne volent pas, les soucoupes non plus, mais où les adultes trottinent. La trottinette possède en effet tous les attributs imparables de l’avant-garde décroissante : empreinte carbone zéro, réappropriation de l’espace urbain, faible encombrement, silencieuse, prix modique. Le ridicule lui colle aux roues Sauf que la trottinette porte en elle les germes de sa destruction. Finalement, on pourrait bien l’appeler comme on veut, le ridicule lui collerait aux roues. Retour violent des peurs existentielles Trottineurs, trottineuses, rien ne sert de rouler.

Copenhague : les vélos plus nombreux que les voitures Pour la première fois, le nombre de vélos circulant dans la capitale danoise a dépassé celui des voitures. Le Danemark vient de franchir une étape importante dans sa politique de développement du vélo en ville. À Copenhague, la capitale, les appareils de mesure des modes de transport ont enregistré l’année dernière 35 080 vélos supplémentaires en circulation, faisant grimper le total de bicyclettes à 265 700, contre 252 600 voitures. “C’est une première”, note The Guardian. Dans les années 1970, la municipalité danoise a lancé un vaste plan pour développer le transport à vélo.

Au Maroc, des mosquées vertes pour la COP22 et après Le royaume, qui accueille en novembre la COP22, lance un programme pour réduire la consommation électrique dans ses mosquées. Après les villes vertes, les voitures électriques, la campagne « Zéro mika » pour éradiquer les sacs plastiques, le Maroc dévoile un nouveau programme de « mosquées vertes », dernier avatar de l’engagement du royaume pour les énergies propres à deux mois de la conférence sur le climat COP22 de Marrakech qui doit se tenir du 7 au 18 novembre à Marrakech. Une mosquée « verte » modèle devrait ainsi être présentée aux invités de la COP dans un village près de la Ville rouge. Lire aussi : COP21 : Pékin ratifie l’accord de Paris sur le climat Le ministère des affaires islamiques a lancé, mi-août, un appel d’offres pour la réhabilitation de 64 mosquées dans six villes du royaume, afin de réduire leur consommation d’énergie. Lire aussi : Pour Ségolène Royal, la COP de novembre à Marrakech doit être « africaine » Impact social Lire aussi : Climat : la chimère du 1,5 °C

La recette choc antivoiture de Singapour La cité-Etat a mis en place un système de licence pour réduire la circulation automobile. Mais très coûteux pour le citoyen, le dispositif n’est pas très populaire. Dans la bataille contre la voiture en ville, Singapour contrôle le nombre d’automobiles autorisées à circuler sur son espace limité, en exigeant le paiement d’une licence de 31 000 euros environ par véhicule, et dépense des millions dans les transports en commun. Frapper l’automobiliste au portefeuille avec un « droit de circuler » qui porte le coût d’une berline de moyenne gamme à plus de 50 000 euros a fait ses preuves dans la cité-Etat d’Asie du Sud-Est. Une législation très stricte, comme d’autres à Singapour L’obligation draconienne consistant à posséder une licence hors de prix – Certificate of Entitlement (COE) – est cependant difficile, voire impossible à reproduire dans d’autres pays, tant elle est spécifique à Singapour. Imposer un COE est possible dans ce pays à la population habituée à une législation très stricte.

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