Dépendance à Internet: peut-on vraiment se désintoxiquer de la Toile? ADDICTION - L'information a fait le tour du web car, forcément, c'est le premier concerné. Aux États-Unis: un hôpital privé propose une cure de désintoxication pour accros à Internet. Durée: 10 jours, dont 72 heures de sevrage total, période pendant laquelle le patient sera privé d'accès à Internet, mais aussi de tablette et de smartphone, bref, de tout vecteur d'Internet. Suivent ensuite des séances de thérapie, séminaires et autres traitements. Lire aussi:» 75% des adolescents dorment avec leur téléphone portable allumé » Ce qu'il arrive quand on se déconnecte vraiment » Êtes-vous accro au boulot ? Une addiction comme les autres Excessive, l'idée d'une cure de désintox? Certains pays qui dénombrent un grand nombre d'individus dépendants ont décidé de prendre le problème à bras-le-corps. Au Massachussets Institute of Technology (MIT), deux étudiants ont même mis au point un système délivrant des chocs électriques à ceux qui passeraient trop de temps sur Facebook. Trop court Se faire aider
Nouvelles consultations de Marmottan : apports théoriques, expériences cliniques Fidèle à son étiquette de centre « expérimental » en toxicomanie, le Centre Marmottan reste à la pointe des évolutions et phénomènes sociétaux variés qui marquent la population française de ces dernières années. Ainsi, les spécialistes du centre sont parmi les premiers à avoir étudié et à offrir des consultations dans des champs nouveaux en toxicomanie et dans le domaine des addictions : Dans le cadre de ces nouvelles consultations, nous nous sommes efforcés de garder une qualité de soins et une approche pluridisciplinaire et multicausale en évitant rigoureusement le piège de la doxogénèse [2][2] Doxogénèse : création de nouvelles pathologies, sans.... Il est important de noter que notre pratique est basée sur des recherches sur les concepts et entités cliniques, recherches effectuées en lien étroit avec la problématique des addictions et qui ont souvent abouti à des publications diverses – articles ou livres – devenues des références dans le domaine. Espt et addiction
La dépendance au smartphone, un mal croissant chez les jeunes Singapour (AFP) - Etes-vous facilement distrait par votre smartphone? Difficile de vous en séparer? Etes-vous constamment en train de le consulter sans raison particulière? Il y a des risques que vous soyez accro et même que vous ayez besoin de l'aide d'un psychologue. A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. Singapour et Hong Kong détiennent le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. L'addiction à l'internet devrait être classée dans les troubles mentaux, estime Adrien Wang, psychiatre au centre médical de Gleneagles.
Etre ou ne pas être : Geek ! Du simple fan de Star Wars, en passant par le joueur en réseau, ou encore par les pirates de l’informatique aussi appelés « hackers », aujourd’hui tout le monde voudrait ou croit être un geek ! Mais qu’est ce qu’un geek ? Y a-t-il une définition claire de celui qui passe du coté obscur de la force ? La « Geek attitude » est-elle devenue une mode ? Manuel pour devenir (ou pas) Geek ! Nerd, Nolife et Geek se promènent sur la toile… On entend toutes sortes d’adjectifs qui fleurissent, parfois même pour s’insulter, et ne sont pas toujours utilisés correctement. Nerd : Contrairement à ce qu’on pense, ce terme n’est pas exclusivement lié à une passion pour l’informatique. Nolife : Ce qui caractérise un Nolife (un «sans vie»), c’est qu’il est obnubilé par le monde virtuel. Geek : C’est un passionné des nouvelles technologies mais pas seulement. La culture Geek En constante évolution, les Geeks ne sont pas toujours d’accord pour ce qui fait ou non partie de cette culture.
L'angoisse du vide numérique Tablette (numérique) et tabac: même combat! Une étude britannique vient en effet confirmer ce que plusieurs adeptes du tout technologique commencent à soupçonner eux-mêmes: les nouveaux outils de communication seraient en train de créer chez plusieurs humains une dépendance équivalente ou supérieure à celle induite par la cigarette et l'alcool. Rien de moins. C'est Intersperience, une boite brit spécialisée dans la recherche comportementale dans le domaine de la consommation qui vient de faire cette découverte après avoir soumis à la question près de 1000 adeptes des technologies âgés de 18 à 65 ans. D'ailleurs, résume l'entreprise, une journée sans iPad, iPhone, ordinateur portable, Facebook, Twitter et compagnie a été qualifiée «du plus grand cauchemar» par un et comme l'équivalent de «se faire couper les deux mains» par un autre. Le phénomène est contemporain.
FIL SANTE JEUNES Dépendance ? — Enseigner avec le numérique Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller « Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. Or sur ce thème, Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris, se veut à la fois vigilante et rassurante. Vigilante, car il existe effectivement des cas de jeunes qui se font happer par le jeu [...]«Il faut bien sûr regarder le nombre d'heures que l'enfant passe à jouer, mais il est difficile de déterminer un seuil exact», poursuit le médecin. Ce sont plutôt les conséquences qu'il faut regarder: «Lorsque l'enfant décroche de la vie familiale ou scolaire, qu'il ne veut plus se lever le matin, qu'il abandonne ses activités sportives… Ce sont autant de signes d'alerte», explique le médecin. » Figaro.fr, 22/01/
Deux ménages sur trois disposent d’internet chez eux | Insee Deux tiers des ménages ont un accès à Internet à leur domicile Un peu plus de 64 % des ménages déclarent avoir un accès à Internet à leur domicile en 2010 contre 56 % en 2008 et seulement 12 % en 2000. Lorsque le ménage a Internet à domicile, son accès est neuf fois sur dix un accès haut débit. Les plus jeunes sont les plus équipés : le taux d’équipement, égal ou supérieur à 75 % jusqu’à 60 ans, tombe sous les 50 % entre 60 et 74 ans et n’est plus que de 8 % à partir de 75 ans (tableau 1). À âge donné, l’équipement en connexion à Internet varie nettement en fonction du diplôme du répondant. Les chômeurs sont moins équipés (73,9 %) que les actifs ayant un emploi (83,4 %). Dans leur quasi-totalité, les ménages internautes accèdent à la toile à partir d’un ordinateur : non portable pour 38 % d’entre eux, portable pour 31 %, l’un ou l’autre pour 29 %. tableau Tableau 1 – Accès et usage d’Internet tableau Tableau 2 – Les raisons pour ne pas avoir Internet Internet utilisé quotidiennement
Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. Par ailleurs, la dépendance aux jeux vidéo est bien analysée par l'ouvrage de Mme Christine Kerdellant et M.
Quels sont les symptômes et les conséquences de la cyberdépendance ? – Cyberdependance.ca Par Dre Marie-Anne Sergerie, Ph.D., psychologue spécialisée en cyberdépendance Il existe plusieurs symptômes et conséquences à la cyberdépendance. Les symptômes physiologiques se traduisent par (Nayebi, 2007) : Syndrome du canal carpienSécheresse des yeuxMaux de tête et migraines chroniquesNégligence de l’hygiène personnelleMaux de dosAlimentation irrégulière, repas sautés et de mauvaise qualitéInsomnies ou modifications dans le cycle du sommeil Les symptômes psychologiques et les conséquences se manifestent comme suit : Références. Nayebi, J.
Internet et cyberdépendance - Développement personnel - Psychologie Aujourd'hui environ 27 millions de Français se connectent à Internet. Le web a fait naître des addictions d'un nouveau genre, de plus en plus fréquentes. Comment prévenir ces dépendances numériques ? La réponse avec le psychologue Jean-Charles Nayebi, auteur de « La cyberdépendance en 60 questions ». Doctissimo : Qu'appelle-t-on cyberdépendance et quel est le profil des individus qui en souffrent ? Jean-Charles Nayebi : A l'origine, la cyberdépendance désigne toute dépendance à l'univers informatique. Doctissimo : En France, parmi les 27 millions d'internautes, combien peuvent être considérés comme cyberdépendants ? Jean-Charles Nayebi : Pour l'instant aucune statistique n'a été établie. Doctissimo : Quels signes doivent alerter ? Jean-Charles Nayebi : La cyberdépendance s'exprime par différents signes spécifiques. Doctissimo : Les jeunes sont-ils les plus susceptibles de devenir cyberdépendants ? Doctissimo : Les deux sexes sont-ils égaux face à la cyberdépendance ? Ecrit par:
Bonjour,
J'ai également utilisé cette image dans mon dossier car je la trouve très pertinente. Elle illustre très bien, selon moi, l'état de dépendance avec ses conséquences dévastatrices : isolement, déchéance économique (possible), abandon de soi.....Une addiction avec les même conséquences que celles avec l'usage de substance.
Cordialement
Isabelle by isabelle_groupe3_psy Apr 6