Dans mon jardin, j'ai le droit de... Cueillir les fruits sur les branches du cerisier de mon voisin qui dépassent au-dessus de la clôtureNON. Vous n'avez absolument pas le droit de cueillir les fruits dans l'arbre du voisin même si ses branches s'épanouissent au-dessus de votre terrain. La seule façon de déguster ces fruits est d'attendre qu'ils tombent à terre dans votre propriété. Couper les branches du voisin qui débordent sur mon terrainNON. Brûler mes mauvaises herbes ou mes feuilles mortesOUI. Griller des saucisses sur mon barbecue quand j'en ai envieOUI. Tondre mon gazon quand je veuxNON. Laisser mon chien gambader comme il veutOUI. Étendre mon linge dehorsOUI. Couper les racines de l'arbre du voisin qui provoquent des fissures dans mon murOUI. Planter ce que je veux où je veuxNON. Faire pousser des plantes en espalier sur le mur qui sépare les deux propriétésOUI. Écouter la radio en me prélassant dans mon hamacOUI. Les conciliateurs de justice Où les trouver ?
8 associations de plantes testées au potager et verger bio Qui n’a jamais entendu parler de l’association de la tomate et de l’œillet d’inde ? Du poireau et de la carotte ? Des trois sœurs ? Cette dernière est probablement un peu moins connue en France. Cette année je vais expérimenter 8 associations de plantes jamais testées dans mon potager, certaines sont bien connues par les jardiniers, d’autres moins. Les trois sœurs – Haricot Maïs Courge Maïs Haricot Courge Cette association est relativement bien connue, davantage outre atlantique car elle était traditionnellement utilisée par les ethnies amérindiennes d’Amérique du Nord et d’Amérique Centrale. Comment procéder en pratique ? Semez en ligne le maïs doux par poquet de 2 ou 3 graines tous les 30 cm. Chou – Mélisse – Cosmos Melisse La mélisse, surnommée le piment des abeilles est une plante mellifère très plaisante au potager. Les cosmos sont des fleurs à la mode dans les jachères fleuries. Capucine – Poirier – Menthe Jeunes capucines qui seront bientôt transplantées près des poiriers Souci
Quelles plantes compagnes choisir ? De l'Abricotier au Chou pommé d'hiver Les plantes compagnes, ou cultures associées, sont utilisées depuis la nuit des temps afin de protéger son potager. Venez découvrir leur potentiel… Associer ses cultures pour en tirer un bénéfice, ou au contraire éviter de faire pousser certaines plantes côte à côte, est une idée assez ancienne. Dès lors que l’homme est devenu sédentaire, il s’est rendu compte que certaines se plaisent plus avec d’autres. Nous pouvons citer en exemple le fameux triptyque américain courge-maïs-haricot. Alors pour y voir plus clair, nous vous faisons part de quelques associations connues. L’abricotier aime : le basilic, la capucine, la tanaisie.n’aime pas : l’avoine, l’érable, le fusain d’Europe, le noisetier, l’orme, la pomme de terre, la tomate. Le basilic protège l’abricotier du mildiou. Les arbres cités favorisent la présence des pucerons verts. L’absinthe L’absinthe est répulsive pour la rouille du groseillier, la piéride du chou, la mouche des semis de haricots, les altises ou encore les nématodes.
Il faut garder un œil sur le liseron Dans nos jardins poussent le liseron des haies, ou Calystegia sepium, qui a une corolle blanche et dont la tige est volubile et grimpante (jusqu’à 3 mètres de haut) et le liseron des champs, ou Convolvulus arvensis, qui a une corolle rose, blanche ou rose striée de blanc et dont la tige est généralement couchée. Mais le jardinier se trouve le plus souvent confronté au liseron des haies, qui se fait remarquer par sa vitalité et ses racines souterraines blanchâtres. Elles se sectionnent facilement lorsque l’on cherche à tirer la plante hors de terre. Ces deux espèces abritent et nourrissent la magnifique chenille du sphinx du liseron (Agrius convolvuli). Trouver un équilibre Le décor étant posé, nous pouvons maintenant élaborer une «politique» de cohabitation qui permette à chacun de trouver son équilibre, à défaut d’une éradication complète de cette charmante plante. Christophe Leuthold
L’association des plantes au potager – L'Harmony des jardins Dans la nature, les plantes poussent dans un méli-mélo d’espèces différentes, elles sont parfois même imbriquées les unes dans les autres, et pourtant elles se portent très bien. Alors pourquoi avons-nous ce réflexe de tout séparer au potager ? Lorsque l’on jardine au naturel, on imite le plus possible la nature. Or l’organisation linéaire traditionnelle de nos potagers nous rapproche plus d’une juxtaposition de monocultures que du melting-pot naturel. Les plantes ont différentes fonctions au sein de l’écosystème, elles ne se résument pas à des unités de productions individuelles et ont des interactions constante entre elles et leur environnement. Osez le mélange de légumes et de fleurs! Ainsi, lorsque vous planifiez votre potager, il est intéressant de savoir associer correctement les légumes et autres plantes qui y poussent. Le mélange des plantes brouille la perception des ravageurs. Cette jeune salade ne craint pas le soleil à l’ombre de ses voisines. Les fleurs au potager :
Les associations de plantes pour les nuls Les associations de plantes au potager : Je mets quoi avec quoi ? Qui aime qui ?. Dès qu’il cherche à dessiner ses plantations, le jardinier est confronté à cette question : je mets quoi à côté des tomates, est-ce que je peux planter de l’ail dans mes fraisiers? Un petit préambule cependant : les associations de culture, c’est chouette, mais il vaut mieux, pour commencer au potager, semer ou planter au bon moment et au bon endroit, qu’associer des plantes ensemble en février ! Des tableaux d’associations, il y en a plein sur internet, par exemple ici ou ailleurs ! Voilà, on a appelé ça le « kibèzeki » du potager, ou qui aime qui si vous préférez ! Bon, si vous préférez lire une liste, la voici, avant de vous expliquer le pourquoi du comment : Allez, c’est parti pour les explications ! Les mêmes conditions culturales, oui ! Première chose : on met difficilement ensemble des plantes qui n’acceptent pas du tout les mêmes conditions de culture – ou alors on sait à quoi s’attendre !
Marc de café, l'or brun du jardinier ! - Blog Alsagarden - Plantes rares, Jardins, Actualités... | Blog Alsagarden - Plantes rares, Jardins, Actualités... Le marc de café est un excellent engrais naturel qui favorise la fertilité du sol, mais pas seulement ! Il possède également un effet répulsif pour certains insectes et ravageurs du jardin. Découvrez dans cet article, l’ensemble des usages qui permet l’utilisation du marc de café au jardin. Comment utiliser le Marc de café au jardin ? Vous pouvez soit l’incorporer superficiellement dans le sol, à proximité des végétaux. Le marc de café pour aider vos semis ! Bien sec, il se mélange aux graines fines pour bien répartir les semis, ce qui évitera des surcharges localisées, de plus grâce à sa couleur sombre, il vous permettra de bien délimiter votre semis. Un effet répulsif contre les nuisibles du jardin ! En le plaçant au pied des végétaux, le marc de café est un bon répulsif contre la mouche de la carotte ou encore celle du poireau, les nématodes des racines et empêche l’installation des pucerons. Le marc de café favorise le compost ! Vous avez aimé cet article ?
Introduction à la phytosociologie Notion d'association végétale Sources : définitions et illustrations extraites du site Internet de l'Université de Bretagne Sud : On peut très facilement remarquer que certaines espèces de plantes se rencontrent régulièrement ensemble dans certains milieux bien définis, que ce milieu détermine la probabilité de rencontrer ces plantes ou encore que l’association végétale décrite est un indicateur des conditions écosystémiques du milieu sur lequel elles poussent. Ainsi, au bord des eaux douces des étangs ou des cours d’eau, où croissent des roseaux (Phragmites) ou des Carex, on aura une bonne chance d’observer l’iris faux acore, le populage, la cardamine des prés, l’eupatoire, la reine-des-prés, le gaillet des marais, le myosotis palustre, le lycope d’Europe, la lysimaque commune, la salicaire, les petites feuilles rondes de l’écuelle d’eau… et bien d’autres. La phytosociologie A l’heure actuelle, il existe plusieurs approches de la phytosociologie :
Cultiver la sauge La sauge est l’une des plantes aromatiques les plus connues du monde, grâce à ses multiples vertus, qui sont très appréciées depuis l’Antiquité. Le mot « sauge » vient du latin et il est directement issu du mot « santé ». Ce nom lui a été donné grâce aux bienfaits exceptionnels que peut apporter cette plante pour notre bien-être général. La sauge est très utilisée par les femmes, qui trouvent en elle une alliée santé idéale. Son huile essentielle est utilisée depuis des siècles pour soulager les douleurs menstruelles. Elle est également très relaxante. Il ne faut pas oublier que la sauge est également un excellent remède naturel contre tous les symptômes liés à la ménopause (insomnie, sueurs nocturnes, nervosité, etc.). Le fait d’avoir de la sauge à la maison pourra grandement vous aider pour lutter contre tous ces maux. Vous allez adorer l’observer pousser, puis vous préparer d’excellentes infusions ou des bains relaxants, qui vous soulageront durant vos périodes menstruelles.
SOS maladies et ravageurs : les reconnaître et les traiter naturellement Arbres et arbustes | 07/04/2014 Au potager, au verger, au jardin… Avec un tout petit peu d’observation et d’expérience, il est souvent possible de trouver des solutions naturelles aux petits et grands maux du jardin. Chenilles (piérides) attaquant un chou-rave - F. Marre -Rustica - Le champ de Pagaille L’époque des traitements chimiques tous azimuts est enfin derrière nous. Aujourd’hui, les jardiniers se font respectueux de l’environnement et ont appris à mieux utiliser les produits phytosanitaires, longtemps employés trop vite et en grande quantité. Prenez votre panoplie de détective et observez votre jardin. Mes carottes se fendent Quelle déception à l’arrachage des carottes quand le jardinier constate que les légumes sont fendus du haut en bas ou que les carottes ont deux jambes au lieu d’être bien cylindriques. Manque d’eau ou caillou ? Au moment du semis, préparez soigneusement le sol en enlevant tous les cailloux. Mes radis sont grignotés Gastéropodes © P. Mes laitues s’affaissent
Some Cool Mandala Gardens Here we have a variety of gardens designed in much the same way as a mandala. Les premiers semis en intérieur 20EmailShare Hier (le 8 février), c’était jour de semis ! En effet, la lune permettait de semer les légumes fruits et j’en ai profité pour faire mes semis d’aubergines, poivrons, piments et physalis. Même si cette année ce ne sont pas les premiers semis (je vous l’avais dit, j’ai semé les fèves en retard), ceux là me tiennent particulièrement à coeur. J’ai toujours hâte de voir ces multiples variétés sortirent de terre ! Dans un cycle normal et avec une culture extérieure, il faudrait attendre au moins le mois de mars pour semer ces légumes. Le semis en image Avant de commencer, j’ai donc ressorti mon matériel à semis, à savoir : Un plateau : bah oui, je suis frileux alors je fais mes semis en intérieur, mais je suis aussi un peu fainéant et je préfère éviter d’avoir à laver toute la maison après avoir semé mes légumes Des godets : j’utilise des gobelets en plastique, ils ont une taille bien adaptée je trouve et sont très peu chers. Ensuite, on met enfin les mains dans la terre !
- Trucs et astuces du jardin écologique 1. Je laisse un coin de jardin au naturel, sur lequel je n’interviens pas. La friche est riche en petite bête. Aider la nature à reprendre ses droits transforme un jardin en refuge pour la biodiversité. 2. 3. J’installe des abris à animaux (pour les oiseaux, les insectes ou les petits mammifères).Je plante une haie champêtre, avec des espèces locales.J’aménage une mare ou un point d’eau dans mon jardin. 4. J’arrose mes plantes de façon modérée et le soir au coucher du soleil.J’utilise du BRF et/ou des paillages pour garder l’humidité du sol.J’installe un récupérateur d’eau de pluie. 5. 6. J’éteins la lumière extérieure la nuit lorsque je n’en ai pas besoin (à la main ou avec des systèmes de minuteries ou de détecteurs de mouvement ). 7. Je plante un carré d’herbes aromatiques.Je plante ou je laisse pousser des plantes sauvages (« mauvaises herbes », arbres fruitiers sauvages…) dans mon jardin et dans mes haies. 8. Je n’utilise aucun engrais dans mon jardin. 9.
Comment mettre en culture un terrain enherbé ? Comment démarrer mon potager sur un terrain enherbé ? Voilà une question que se pose tout jardinier débutant ! Bien souvent, il a déjà appris pas mal de choses sur les cultures. Bref, autant de questions auxquelles nous allons tenter aujourd’hui de répondre en présentant différentes techniques possibles (liste non exhaustive). Quelle que soit la méthode choisie, je vous conseille de commencer par couper l’herbe au plus bas. Pailler L’objectif est alors d’étouffer la végétation spontanée et de l’empêcher ainsi de se développer au printemps suivant. Si possible en fin d’été ou début d’automne (quand le sol est encore relativement chaud), épandez une couche épaisse (au moins 10 cm sur terre légère – 5 cm maximum sur terre lourde) de paille, de vieux foin, d’herbes coupées, de BRF ou autres matériaux végétaux. Vous n’aurez plus alors qu’à écarter le paillage au printemps suivant pour semer ou planter. Avertissement : cette technique peut être problématique sur terre lourde (risque d’asphyxie),