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Zones de chalandise, zones isochrones et zones d'isodistance

Zones de chalandise, zones isochrones et zones d'isodistance
La zone de chalandise d'un établissement commercial est la zone géographique d'influence d'où provient la majorité de la clientèle. Il existe 3 grands types de zone de chalandise : une basée sur les informations fournies par la clientèle, par les cartes de fidélité... une basée sur le temps de parcours (zone isochrone) l'autre basée sur la distance à vol d'oiseau (appelée zone d'isodistance ou zone isométrique, reconnaissable car de forme circulaire) Le premier type a pour qualité de se rapprocher le plus de la réalité. Une zone isochrone est une surface délimitée par une courbe géométrique délimitant les points accessibles par un véhicule – terrestre ou aérien – en un temps donné (par exemple, la zone pouvant être desservie en moins de 30 minutes par un livreur de pizza ou un dépanneur de matériel informatique). La zone de chalandise est souvent décomposée de la sorte : Les zones de chalandise sont essentielles pour : Related:  STMG

Pourquoi faire faire une étude de zone de chalandise ? Plus précise qu'une simple « étude du marché local », l'étude de la zone de chalandise est très prisée par les franchiseurs autant que par les nouveaux franchisés en quête de la meilleure solution d'implantation. Découvrons ensemble pourquoi dans cet article. Définition de la zone de chalandise Une zone de chalandise est la zone géographique dans laquelle évolue un commerce ou d'un point de vente. La majorité de sa clientèle provient de cette zone. Il ne s'agit pas d'un simple cercle tracé sur une carte, car la zone doit prendre en compte les facteurs sociologiques et la concurrence directe et indirecte du secteur d'activité. Une zone de chalandise peut se baser uniquement sur la distance (on parle alors de zone isométrique) ou bien sur le temps nécessaire pour se rendre dans le point de vente en fonction des divers moyens de transport disponibles (zone isochrone). Les avantages des études de zones de chalandise

Infographie : Ce que veulent réellement les consommateurs français aujourd'hui Pouvoir accéder en permanence et à travers n'importe quel point de contact à des offres intéressantes aux meilleurs prix, tel est le désir du consommateur français d'aujourd'hui, qui n'hésite pas à croiser les supports d'informations (boutiques physiques et Internet) pour mieux consommer. Dans cette infographie réalisée par Fullsix, le mot d'ordre du commerce du futur est lancé : il doit être "relationnel". Charge aux enseignes de s'adapter aux souhaits du futur client. Pour y parvenir, retour également sur : - les données-clés du marché français ; - les cinq attentes-clés des clients de la distribution; - les possibilités de connaissance clients qu'offre la big data ; - l'impact réel des usages. Source : Fullsixgroup

L’élaboration du plan de marchéage ou marketing mix 1. Les composantes du plan Le plan de marchéage combine les moyens d’action commerciale susceptibles d’assurer la réussite de la stratégie adoptée. le plan produit (Product) le plan prix (Price) le plan distribution (Place) le plan communication (Promotion) Exemple : Plan mercatique d’IBM PC Part de marché visée : Cadres dirigeants ou professionnels Produit : Technologie analogue très facile d’emploi Prix : Refus de casser les prix Communication; Vente directe auprès d’un grand nombre de clients grâce à la force de vente d’IBM. 2. Le dosage entre ces différents plans se traduit par l’allocation de ressources plus ou moins importantes a chacun d’eux. Cette cohérence doit être assurée à quatre niveaux : Au niveau des actions, il semble illogique de vendre un produit haut de gamme dans un magasin a marge réduite. 3. L’élaboration des différents plans opérationnels composant le plan mercatique nécessite la définition d’objectifs présentant les caractéristiques suivantes :

Zone de chalandise Écrit par B. Bathelot, modifié le 06/10/2021 Glossaires : Distribution / Marché La zone de chalandise d'un point de vente est la zone habituelle ou prévisionnelle (en cas d'ouverture) de provenance de l'essentiel des clients de ce point de vente. Le contour de cette zone est influencé par les distances, les temps d'accès, l'attractivité du point de vente et sa concurrence. Lors d'une étude d'implantation et de potentiel commercial préalable à l'ouverture d'un point de vente, la zone de chalandise est déterminée en fonction des temps de déplacement et à un degré moindre, en fonction des distances. Pour un point de vente existant, la zone de chalandise est déterminée précisément à l'aide des adresses des clients obtenues par les moyens de paiement (chèques), les cartes de fidélité ou par une demande de code postal au passage en caisse. La représentation de la zone de chalandise peut donner lieu à l'utilisation de courbes isochrones ou de courbes isométriques. Source image : Soccoalto

Motivations et comportements d'achats en magasins spécialisés Juil-Aout 2012 Le consommateur bio se décrit lui-même comme assez peu fidèle que ce soit à l’égard des produits et des marques que des différents lieux d’achats. Maintenant bien informé, il est vigilant et réactif à toute modification du rapport qualité/prix. Sa perception de la qualité se construit en premier lieu par les produits en eux-mêmes puis par l’importance du choix dans l’espace de vente et par le prix. ...La satisfaction... ... ... ... ... ... ...Le prix... ...L’information du consommateur... ... ... Il accorde plus d’importance au rôle sociétal de l’achat (base 115 p ersonnes - mai 2012)

10 conseils pour réussir l’analyse S.W.O.T. Comment bien réaliser l’analyse SWOT (Strenghs, Weaknesses, Opportunities, Threats)? Bien connue des marketeurs et incontournable dans tout plan marketing et dans tout dossier d’opportunités, d’innovation ou plan de lancement de produit nouveau, le SWOT est le pivot entre l’analyse et la prise de décision marketing. Voici 10 conseils utiles pour optimiser cette analyse: swot, shutterstock 1- Distinguer l’Externe de l’Interne Les faits externes sont ceux qui expliquent le marché et son environnement. 2- S’appuyer sur des faits, pas sur des intuitions Eviter les « on estime », « il semblerait que » et préférer des faits, comme « le marché est en croissance », le segment a un potentiel de… ». 3- Préciser et chiffrer les données Par exemple: « Le segment est en croissance de +8% », « Le taux de notoriété a augmenté de 2 points dans la période ». 4- Prioriser les faits 5- Etre syntétique, aller à l’essentiel Idéalement, une analyse SWOT tient sur une page, un slide ou un écran. Pour aller plus loin

Je Like - Comment les produits High-tech influencent l'acte d'achat Publié le 16 avril 2014 Peut-on encore se passer du digital dans un processus d'achat ? Franchement non. Et cette infographie réalisée par l'IFOP pour Bonial.fr, un site de recommandations, prouve que l'impact du numérique est omniprésent et dans tous les compartiments... Raphaël Legrand Rubrique réalisée en partenariat avec ETO Rejoignez-nous et recevez chaque semaine le meilleur d'INFLUENCIA. Piton Auteur : Isabelle Piton Le prix est la seule variable du marketing-mix qui n'engendre pas de coût et qui procure en fait des recettes. La décision de prix devra donc reposer sur le trinôme : coût/demande/concurrence et s'adapter à celui-ci tout au long de la vie du produit. La fixation du prix peut-être présentée par le schéma ci-après A - La fixation des prix Le problème de la fixation des prix se pose dans les entreprises dans des circonstances multiples. Lancement d'un produit nouveau, Lancement sur un nouveau canal de distribution, Lancement sur un nouveau marché, Quand le produit existant franchi une étape dans son cycle de vie, Quand la concurrence modifie ses prix ou lorsqu'on veut attaquer la concurrence Quand les conditions économiques générales changent, Quand les conditions de fixation du prix de revient du produit se modifient B - Objectifs de la fixation des prix C - Facteurs et contraintes lors d'une fixation de prix D - Les méthodes de détermination des prix

lsa-conso Le vigi-shopper ou « watcher » C'est le profil qui concerne le plus grand nombre de Français. 35% de consommateurs s'identifient à lui, selon l'étude. Ses caractéristiques ? C’est un consommateur attentif et scrupuleux. Un profil qui influence son comportement d’achat : il vérifie au moyens d’application smartphone, par exemple, les infos à connaître avant d’acheter ; ils consulte les conseils de sa communauté au préalable, là encore grâce aux outils modernes et aux réseaux sociaux. Le slow-shopper ou « careshopper » Il est amoureux des petits producteurs, du bio, des circuits courts… Ce consommateur averti respecte les principes environnementaux et sociaux, sans sombrer toutefois dans le militantisme, même s’il descend du « bobo ». Il adhèrera ainsi à l’agriculture urbaine et locale (cueillette de fruits…) ou à une expérience détachée des intrusions publicitaires. Le social-shopper ou « influenceur » Le plus connecté ! Ses outils privilégiés ? L'emo-shopper ou « wahou addict »

Le consommateur moyen a définitivement disparu "2013, un consommateur caméléon" . A l'occasion de son dernier Media Morning, Kantar Worldpanel a fait le point, la consommation en France. Le contexte de l'année n'a pas été favorable à la consommation : des à-coups dans l'évolution du PIB en volume (-0,2% pour le 1er trimestre, +0,5% pour le 2ème, -0,1% au 3ème) ; une météo chaotique (hiver maussade, printemps le plus froid depuis 1987, bel été) ; hausse du chômage... Seul point positif : le redressement du pouvoir d'achat par unité de consommation à +0,8% au 1er trimestre, +0,3% au 2ème, après une baisse de 1,5% sur 2012. "L'envie de dépenser n'est toujours pas au rendez-vous et la perception de leur pouvoir d'achat par les ménages est globalement plus négative au second trimestre", constate Gaëlle Le Floch, strategic insight director, en poursuivant : les arbitrages se poursuivent dans de nombreux secteurs hors-alimentaires. Au cumul annuel 3 ème trimestre : les catégories qui s'en sortent le mieux sont : Quels enjeux pour demain ?

RPF Le contenu divertissant augmente la valeur perçue d'une marque Les consommateurs sont demandeurs de contenu ludique fourni par une marque et reconnaissent sa valeur. Ils seraient même plus disposés à vouloir en savoir plus sur elle. Et ce, notamment chez les jeunes adultes. Un tiers des Américains reconnaissent la valeur, dans la consommation, du contenu de divertissement fourni par une marque et "brandé" (34%). D'autant plus lorsqu'ils sont de jeunes adultes, âgés de 18 à 34 ans, puisque cette part atteint 52%, révèle une étude de Edelman sur la valeur perçue des marques aux Etats-Unis. Ce contenu doit aussi être aisément accessible : 56% des jeunes adultes affirment vouloir en savoir plus sur une marque qui fournit du contenu gratuit. Des demandes claires De la même façon, 31% des consommateurs souhaitent du contenu vidéo en ligne gratuit contre 39% des jeunes adultes et 20% du contenu auquel il n'aurait eu accès sans la marque contre 31% chez les 18-34 ans. Une histoire de confiance

4 étapes pour remettre vos clients au centre de votre stratégie commerciale Si, aujourd'hui, toutes les entreprises jurent que les clients sont revenus au centre de leur stratégie et de leur organisation, c'est pourtant loin d'être une réalité universelle. EBG avec Velvet Consulting a réalisé un livre blanc sur le sujet, afin d'adopter le changement en quatre étapes. 1. Définir qui sont ses clients C'est évidemment la première étape à suivre afin de révolutionner l'expérience client. Air France a ainsi créé une direction Customer Insights and Analytics, qui recueille l'avis des clients sur le site, sur l'application et même en aéroport grâce aux tablettes dont est équipée une partie du personnel. Les conclusions du livre blanc réalisé par EBG avec Velvet Consulting, Repenser sa stratégie customer centric 2018-19, mettent également en avant la nécessité d'étendre sa conscience du client. Enfin, définir ses clients passe aussi par savoir qui sont ses non-clients, et pourquoi. 2. La pédagogie peut aussi viser des prescripteurs plus que des consommateurs directs.

sans titre Dans le cadre des techniques secrètes pour faire craquer le consommateur, une affirmation remet en cause une grande partie de l’enseignement en économie et en marketing tel qu’il est encore largement pratiqué (et appliqué) de nos jours. Rédigé par Jean-Marie, le 18 Jan 2020, à 9 h 45 min On a longtemps fait le pari, dans les départements marketing et les écoles, que le consommateur exerce ses choix en analysant rationnellement, le mix produit, c’est-à-dire l’offre qu’on lui propose : il n’en est rien ! Non le consommateur n’agit pas rationnellement ! Au fil du temps, les traditionnelles recherches de marché, questionnaires, sondages, groupes de discussion ont montré leur limite. Régulièrement des panels de consommateurs répondent à des enquêtes pour les marques © Ken stocker En 2010, Nestlé lançait à grand renfort de publicité une nouvelle ligne de boisson orientée santé et bien-être que des personnes testées avaient dit vouloir acheter. Le comportement du consommateur « Homo oeconomicus »

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