background preloader

8 mai 1945 : Fin de la guerre en Europe

8 mai 1945 : Fin de la guerre en Europe

Une guerre mondiale ? STRUTHOF, l'ancien camp de concentration de Natzweiler en Alsace | déportés, déportation et résistance Les génocides : une particularité du 20e siècle? Les génocides : une particularité du 20e siècle? Lorsque l'on parle de " génocide ", ne fait-on qu'employer un terme contemporain faisant allusion à cette capacité qu'a toujours eue l'homme à se montrer cruel ? Ou bien y a-t-il quelque chose qui distingue particulièrement les génocides ? De source sûre, il y aurait eu environ 50 génocides dans le monde depuis l'Holocauste, dont les plus horribles - notamment le génocide rwandais de 1994 - auraient été commis depuis la chute du communisme. Cela semblerait suggérer que jeter le discrédit sur un système idéologique en particulier - le régime totalitaire, par exemple - ne suffit guère en guise d'explication.

Affiches Seconde Guerre < Archives nationales - Page d'accueil Affiches du ComitÉ d'histoire de la Seconde Guerre mondiale Le Comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale est né en décembre 1951 de la fusion de la Commission d'histoire de l'Occupation et de la libération de la France, la CHOLF, et du Comité d'histoire de la guerre, créés respectivement en octobre 1944 et en juin 1945 pour préserver la mémoire des années 1939-1945. Rattaché à la Présidence du Conseil et doté d'un important réseau de correspondants en province, ce nouvel organisme, animé par l'historien Henri Michel, était principalement chargé de susciter des témoignages sur divers aspects de la Résistance et de l'Occupation, tout en coordonnant des enquêtes et des publications sur la seconde guerre mondiale. Il avait aussi vocation à recueillir les archives personnelles des acteurs de la période.

Terres de sang - Snyder [carte] images Site Web pour cette image revuenouvelle.be Recherche par imageImages similaires Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. Devoir de mémoire: anatomie du «plus grand mythe démocratique» «La mémoire constitue sans nul doute le grand mythe contemporain des sociétés démocratiques modernes, une forme de conjuration contre la répétition des catastrophes de l’histoire récente dont on commence à voir les limites.» Henry Rousso brise ici le leitmotiv selon lequel se souvenir de son passé permet d’éviter sa répétition. Il paraît en effet difficile de contredire l’auteur puisqu’en 1994-1995, au moment où Jacques Chirac s’apprête à reconnaître la responsabilité de l’État français dans la déportation, le Rwanda et l’ex-Yougoslavie connaissent des situations de génocide. L’ouvrage se présente sous la forme d’un recueil d’articles. Le «je» y est omniprésent, non pas à des fins narcissiques, mais dans une logique d’autocritique. L’anamnèse de la Shoah Pour Henry Rousso, la mémoire demeure essentiellement victimaire car sa conception s’est forgée en grande partie à travers le cas de la Shoah. Plus tard, le monde politique investit le champ de la mémoire. Un historien face à ses travaux

Un village français dans les mémoires de la France sous l’Occupation Entretien croisé Henry Rousso/Pierre Laborie par Sébastien Ledoux édité par Bruno Doguet Sébastien Ledoux : Auteur et coproducteur de la série télévisée, Frédéric Krivine a présenté la diffusion d’Un village français comme la transmission aux Français d’une nouvelle page de la mémoire de l’Occupation, plus apaisée et plus proche de la réalité historique. Il déclarait ainsi dans un entretien que « les Français dans leur majorité ont certainement été beaucoup plus attentistes et accommodants qu’on ne le disait en 45-70, et beaucoup moins pétainistes et passifs qu’on ne l’a dit depuis Ophuls et Paxton(1) ». Pierre Laborie : Si l’on croit possible de qualifier en une ou deux phrases ce que furent pour les Français quatre ans d’humiliation, de désarrois, de déchirements, d’abattements, de deuils, mais aussi d’espoir et de fidélités chevillées, on peut souscrire à la déclaration de Frédéric Krivine. Pierre Laborie : La réponse est oui pour Le Chagrin et la Pitié, indiscutablement.

Culture - Femmes en Résistance : "Beaucoup d'entre elles ne sont pas passées à la postérité" JiveEpic #ZAYN en couverture du prochain numéro de @complex. #MindOfMine Le printemps est arrivé !!! 🌸Bonne semaine. Télérama Jusqu'à demain, c'est le printemps du cinéma, et toutes les séances sont à 4 euros. Porto Latino Vous aussi partagez vos souvenirs des éditions précédentes du #festival avec le hashtag #portolatino#regram #remember #revival #goodtimes 4 h Charlize Theron toujours aussi belle pour J'adore de @dior. 6 h

Victory Program Le V dépend de moi. L'industrie de l'armement américaine a associé le V de la Victoire avec une hausse des cadences permettant de l'atteindre, à grand renfort de communications à l'adresse du public. Annoncé par un discours du président des États-Unis Franklin D. Roosevelt le 6 janvier 1942, le Victory Program (« Programme de la victoire ») est un plan d'économie de guerre destiné à permettre à l'économie américaine de devenir « l'arsenal des Alliés » durant la Seconde Guerre mondiale en produisant des quantités croissantes de matériel de guerre. Le Programme de la victoire résulte d'une volonté antérieure de la Présidence américaine de préparer, dès le 9 juillet 1941, un plan pour les « besoins globaux de production nécessaires pour vaincre nos ennemis potentiels ». Une planification pour abattre l'Allemagne nazie[modifier | modifier le code] Après Pearl Harbor, la conférence Arcadia entérine l'option Germany first pour les Alliés. Fabrication de masse[modifier | modifier le code]

L’EFFORT DE GUERRE ALLIE Dossiers Apocalypse - TV5MONDE Agrandire Rétrecir Avant même leur entrée en guerre, les Etats-Unis s’engagent dans une production intensive de matériel militaire ; en quelques mois, ils deviennent, avec le Canada, « l’arsenal des démocraties ». Le Victory Program : un défi pour l’industrie américaine Lancé en janvier 1942 par le Président Roosevelt, le Victory Program entraîne les Etats-Unis dans une production de matériel militaire jamais égalée. Tandis que des millions d’emplois sont créés, la productivité augmente grâce à l’utilisation systématique de la standardisation. La moitié de l’armement allié est produit pas les Etats-Unis. Les industries convertissent leur production : Ford et Chrysler interrompent leur fabrication d’automobiles pour les particuliers au profit de l’assemblage d’avions, de chars et d’automitrailleuses. L’Angleterre aussi ! Malgré les bombardements allemands, le Royaume-Uni a lui aussi redéployé son industrie dans une production intensive de matériel militaire. La standardisation Le Liberty ship

Le témoignage inédit d'un pilote américain sur le massacre d'Oradour-sur-Glane McKay Smith sait garder des secrets. En tant que juriste pour le Département de la Justice, au sein de la Division pour la sécurité nationale, il conseille les agences de renseignement américain sur la légalité de quelques-uns des dossiers les plus confidentiels du pays. En particulier, la division est chargée de superviser des opérations de surveillance électronique et de contre-terrorisme et, quotidiennement, Smith voit passer des données et des documents classifiés qui ne sortiront pas au grand jour, au mieux, avant plusieurs dizaines d'années. Mais en découvrant un bulletin de renseignement, vieux de soixante-dix ans, et rédigé par un jeune lieutenant des Army Air Corps, le sang de Smith n'a fait qu'un tour. Il y a trois ans, Smith obtenait la copie d'un «rapport de fuite et d'évasion», autrefois top-secret, et dans lequel le Lt. Les historiens spécialistes de cette époque connaissent bien le drame d'Oradour. Lt. Smith suit l'affaire Christukat de près.

Le Ritz sous l’Occupation allemande, un miroir de la société de l’époque L’historienne américaine Tilar Mazzeo a pu accéder à des archives secrètes françaises, allemandes et américaines touchant l’histoire du palace de la place Vendôme durant la Seconde Guerre mondiale. Dans les suites et les salons d’apparat d’opulente splendeur voisinaient les officiers de la Wehrmacht, des collabos, des espions et des privilégiés de la jet-set qui ont été épargnés par le conflit armé. Avec 15 place Vendôme: le Ritz sous l’Occupation, l'historienne américaine Tilar Mazzeo nous offre un livre-document truffé de révélations qui éclaire de façon crue cette période dramatique de la Seconde Guerre mondiale à Paris. Contrairement à certains grands hôtels de la capitale, le Ritz est resté ouvert pendant l’Occupation car les propriétaires, César et Marie-Louise Ritz, leurs associés et les cadres étaient suisses, c’est-à-dire neutres, non engagés dans la guerre. Ce jour de la mi-juin, Otto de Habsbourg, prince héritier du défunt empire austro-hongrois, écrit: Il y a le cas Chanel.

Le reportage qui a ouvert les yeux des Américains sur l’Holocauste | Slate.fr L'extermination systématique des Juifs d'Europe par l'Allemagne nazie a commencé il y a tout juste soixante-douze ans. Le 22 juillet 1942, un premier convoi partait du ghetto de Varsovie en direction des camps de concentration. On ignore combien de Juifs ont été déportés ce jour-là, mais, six mois plus tard, il n’y avait plus que 50.000 habitants dans le ghetto qui en comptait 550.000 à l’origine. Le 22 décembre 1942, The New Republic publiait un reportage de Varian Fry sur les camps de la mort, qui dévoilait l’Holocauste aux yeux de l’Occident et que le journal vient de ressortir de ses archives. Les premières lignes de son reportage en témoignent: «Il y a des choses si horribles que les hommes et les femmes honnêtes les trouvent impossible à croire, si monstrueuses que le monde civilisé recule, incrédule, devant elles. Dans son passage le plus accablant, le reportage de Varian Fry décrit les méthodes de torture et de meurtre utilisées par les nazis. Partagez cet article

Seconde guerre mondiale. Sacrifiés au nom du Führer HORS-SÉRIE 1945 ANNÉE ZÉRO – Le dos au mur, submergées sous le nombre, les autorités nazies appliquent plus que jamais la “guerre totale” chère à Joseph Goebbels. Mobilisant les plus jeunes, elles les envoient sans hésiter à la mort. Stettin [auj. Szczecin, en Pologne], février 1945. En route pour Berlin, l’Armée rouge envahit la Poméranie. Mais les soldats de la Wehrmacht se font rares. Article réservé aux abonnés Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous à Courrier international Abonnez-vousDéjà abonné ? À voir aussi...

Related: