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Le handicap psychique

Le handicap psychique
La notion de handicap psychique défendue par l’Unafam, a été retenue dans la loi du 11 février 2005 dite loi sur le handicap. Elle permet aux personnes malades, et à leur entourage, de sortir d’une longue période ou la maladie et le handicap n’étaient pas reconnus. Le handicap psychique se distingue du handicap mental de la façon suivante : le handicap mental résulte le plus souvent de pathologies identifiables (traumatisme, anomalie génétique, accident cérébral). Le handicap psychique est la conséquence de diverses maladies : les psychoses, et en particulier la schizophrénie le trouble bipolaire les troubles graves de la personnalité (personnalité border line, par exemple) certains troubles névrotiques graves comme les TOC (troubles obsessionnels compulsifs) parfois aussi des pathologies comme les traumatismes crâniens, les pathologies vasculaires cérébrales et les maladies neuro-dégénératives.

Commentaires Spécificité du handicap psychique Le handicap psychique est la conséquence directe des troubles psychiques. La notion de handicap « psychique » est une notion récente mise en avant par l’Unafam pour faire reconnaître le handicap généré par les troubles psychiques et le différencier du handicap mental. Ce terme a été repris par la loi du 11 février 2005, ce qui permis une visibilité des personnes qui en souffrent et de leurs besoins. Il faut en effet distinguer le handicap psychique du handicap mental. Les pathologies à l’origine du handicap psychique Les psychoses décompensées et particulièrement les schizophréniesLes troubles dépressifs graves Les troubles anxieux majeurs dans le cadre de personnalités dysfonctionnelles comme les états-limites, personnalité borderline Les troubles névrotiques graves comme les troubles obsessionnels envahissants, les phobies invalidantes voire les conversions hystériques et les troubles hypocondriaques en particulier post traumatiques. La déficience psychique

Le mot du Président | Isatis UN PEU PERDU ? Troubles mentaux et représentations de la santé mentale : premiers résultats de l'enquête Santé mentale en population générale - Études et résultats - Ministère des Affaires sociales et de la Santé publié le01.10.04 mise à jour18.08.10 Vanessa BELLAMY - Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) - Avec la collaboration de Jean-Luc ROELANDT et Aude CARIA - Centre collaborateur OMS (Lille, France) L’enquête Santé mentale en population générale (SMPG), réalisée par le Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé (CCOMS)et la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) auprès de 36 000 personnes âgées de 18 ans et plus en France métropolitaine, s’est déroulée entre 1999 et 2003 en s’appuyant sur un outil de repérage, le questionnaire Mini, et la classification internationale des maladies (Cim 10). Outre l’évaluation de la prévalence des principaux troubles mentaux, la SMPG interroge les personnes sur leurs représentations de la maladie mentale, ces deux aspects faisant ici l’objet de premiers résultats.

Définition du handicap moteur Le handicap moteur se caractérise par une aptitude limitée à se déplacer, à exécuter des tâches manuelles ou à mouvoir certaines parties du corps. Des réalités multiples De l'affaiblissement de l'endurance physique à la paralysie, le handicap moteur est caractérisé par différentes déficiences motrices. Celles qui touchent les personnes jeunes constituent un ensemble hétérogène que l'on peut classer en 4 catégories selon la nature de l'atteinte : déficiences motrices d'origine cérébrale ; déficiences motrices d'origine médullaire ; déficiences motrices d'origine neuromusculaire ; déficiences motrices d'origine ostéo-articulaire. D'origine cérébrale Ces déficiences sont dues à des lésions très précoces des structures du cerveau qui se traduisent par une IMC (infirmité motrice cérébrale), ou à des atteintes plus tardives suite à un traumatisme crânien, un accident vasculaire cérébral ou une tumeur cérébrale. D'origine médullaire D'origine neuromusculaire D'origine ostéo-articulaire

Handicap moteur - Définition - Santé-Médecine Définition Le handicap moteur, parfois appelé déficience motrice, désigne un ensemble de troubles qui entraînent une perte totale ou partielle de la motricité. Ces troubles peuvent être secondaires à une malformation congénitale, à une anomalie génétique, à un traumatisme ou liés au vieillissement. En cas d'accident, une lésion de la moëlle épinière peut conduire à la paralysie. On parle de paraplégie si les deux membres inférieurs (jambes) sont paralysés, de tétraplégie si la paralysie concerne les jambes et les bras. Publi-information Définition handicap - Moteur - Auditif - Visuel - Mental Vous souhaitez réaliser des travaux – travaux accessibilité handicap ? Handicap Info a sélectionné pour vous un réseau d’artisans qualifiés pour vous accompagner dans tous vos projets. ( Amélioration, Décoration et Rénovation de votre habitat, mise aux normes à l’Accessibilité,….). Pour les contacter, cliquez ici ! Vous recherchez un bien à louer ou à acheter ? Handicap Info a sélectionné pour vous des professionnels de l’immobilier à votre écoute. Vous souhaitez prendre contact avec les autres partenaires Handicap Info : Opticiens, Assurance,.. Le handicap met parfois mal à l’aise, il dérange… Pourtant, il fait partie de la vie et c’est à nous tous de faire en sorte que les personnes handicapées soient mieux intégrées dans la vie quotidienne. Il a été défini par la loi pour l’égalité des droits et des chances comme une altération durable ou définitive de la santé mentale, physique, psychologique, cognitive ou sensorielle. La définition légale du HANDICAP en France C : ne fait pas

Definitions ecrit 2 center> Activité physique : Il s’agit de tout mouvement corporel produit par le muscle squelettique qui entraîne une dépense énergétique supérieure à la dépense de repos. Apprendre : Acquérir un ensemble de connaissances par un travail intellectuel ou par l’expérience. Apprentissage : « Changement de l’état interne du sujet qui résulte de l’apprentissage et qui peut-être inféré par l’analyse de la performance » (Magill, 1985) « Il y a apprentissage lorsqu’un organisme, placé plusieurs fois dans la même situation modifie son comportement de façon systématique et durable ». « L’apprentissage est le processus neurologique interne supposé intervenir chaque fois que se manifeste dans les performances un changement qui n’est dû ni à la croissance, ni à la fatigue ». « L’apprentissage moteur est considéré comme un processus interne. « Changement dans le comportement d’un organisme résultant d’une interaction avec le milieu et se traduisant par un accroissement de son répertoire ». Aptitude :

Formation Escalade - Bruno MARTIN Le risque est, à priori, une composante importante de l'activité escalade. Il faut cependant différencier plusieurs "sorte" de risque. Selon la théorie homéostatique du risque (Wilde - 1988), le choix d'un comportement dans une situation risquée est subordonné à la confrontation de 2 représentations : le risque PREFERENTIEL et le risque PERCU : Le risque préférentiel :c'est le niveau de risque qu'un élève considère, inconsciemment, pouvoir prendre pour atteindre le but qu'il s'est fixé. Le risque perçu :il renvoie à une évaluation personnelle de la dangerosité de la situation actuelle. Le risque objectif :il renvoie à un jugement précis et objectif du risque dans une situation donnée. du matériel du niveau du grimpeur et de l'assureur de la difficulté de la tâche de l'aménagement matériel etc...Le niveau de risque objectif est le seul sur lequel nous pouvons avoir une réelle influence, les 2 autres types de risque étant quant à eux dépendants du "caractère" de chacun.

Les agénésies et amputations Dr. Jean-Michel Bruandet Médecin-chef du CRRF Marc Sautelet, Villeneuve-d'Ascq, APF Qu'est-ce qu'une amputation, une agénésie ? Une amputation correspond à une absence de tout ou partie d'un membre. Une agénésie de membre(s), couramment appelée amputation « congénitale », est un défaut de développement survenu lors du stade embryonnaire: un enfant agénésique présente des malformations avec absence congénitale (visible à la naissance) d'une partie squelettique tant aux membres inférieurs qu'aux membres supérieurs. Quelles en sont les causes ? Les agénésies Les malformations surviennent soit sans cause retrouvée, soit dans le cadre d'une pathologie embryonnaire (embryopathie) : rubéole pendant la grossesse, intoxication médicamenteuse (thalidomide...), etc. Les amputations acquises On doit distinguer les amputations après accident et celles faisant suite à une maladie. Amputation par accident Amputation pour maladie Plusieurs affections peuvent entraîner une amputation. Après amputation congénitale

L’AGÉNÉSIE - Assedea Chaque année , en France plus de 360 enfants naissent avec une malformation d’un ou plusieurs membres supérieur ou inférieur : bras , avant bras , main , pied, tibia, péroné, etc .. Les types de malformations rencontrées sont les suivantes : • Agénésie ou amputation congénitale : Absence de formation d’un membre au cours du développement embryonnaire • Dysmélie : Malformation, d’un ou plusieurs membres, due à un trouble de l’embryogenèse. Elles concernent un ou plusieurs membres supérieurs ou inférieurs. Les causes de ces malformations sont encore assez mal connues. Elles sont très rarement génétiques. Apprendre que l’on attend un enfant « incomplet » est un drame. Ces enfants, adolescents, ou adultes présentent de formidables capacités d’adaptation de une très impressionnante détermination à s’intégrer dans notre société. S’il s’agit d’une malformation des membres inférieurs, tout sera mis en oeuvre pour que l’enfant puisse marcher à l’âge habituel.

LES NOUVEAUX PROGRAMMES D'E.P.S ET L'EVALUATION PAR COMPETENCES Les nouveaux programmes insistent sur la notion de parcours de formation constitué de quatre champs d’apprentissage, où s’articulent la construction des compétences spécifiques aux APSA avec celles du socle commun. Ces champs d’apprentissage permettent ainsi à l’élève de construire des compétences intégrant différentes dimensions (motrice, méthodologiques, sociales) Quelles sont les évolutions dans ces programmes par rapport aux précédents ? Quels changements sur nos pratiques ces nouveaux textes vont-ils impliquer ? Au niveau du projet pédagogique EPSAu niveau des programmations Au niveau de la continuité et des attendus en fin de cycles Au niveau de l’évaluation des compétences. Les objectifs du stage sont : Contenus : Les 4 champs d'apprentissage des nouveaux programmesProjet pédagogique d'EPS et programmationExemple de cycle et progressionEvaluation par compétences Objectifs de production : A l’issue de la formation, les participants auront produit : Code : PN021197 / Prix : 340 €

Scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers La notion de "scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers (EBEP)" est récente. Elle recouvre une population d'élèves très diversifiée : handicaps physiques, sensoriels, mentaux ; grandes difficultés d'apprentissage ou d'adaptation ; troubles des apprentissages ; enfants malades ; enfants en situation familiale ou sociale difficile ; mineurs en milieu carcéral ; élèves nouvellement arrivés en France ; enfants du voyage… L'accueil et la scolarisation des EBEP en établissement scolaire revêtent des formes diverses et évolutives pour mieux s'adapter à la situation. Certains thèmes et structures sont développés dans des fiches spécifiques : 1 – Difficultés scolaires À l'école primaire, lorsque l'accompagnement pédagogique dans le cadre de la classe ordinaire ne permet pas de résoudre les difficultés scolaires, il peut être fait appel au réseau d'aides spécialisées aux élèves en difficulté (RASED). 2 – Situations médicales 3.

La scolarisation des élèves en situation de handicap La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation de la citoyenneté des personnes handicapées a permis des avancées majeures dans la politique de scolarisation des élèves en situation de handicap. Le service public d’éducation doit veiller à l’inclusion scolaire de tous les enfants, sans aucune distinction. Une approche nouvelle est consacrée : quels que soient les besoins particuliers de l’élève, c’est à l’école de s’assurer que l’environnement est adapté à sa scolarité. Depuis 2006, le nombre d’élèves en situation de handicap scolarisés en milieu ordinaire a plus que doublé. Le ministère chargé de l’Éducation nationale a fait des efforts sans précédent pour améliorer la scolarisation en milieu ordinaire des élèves en situation de handicap. Désormais, grâce à l’amélioration de la scolarisation et la professionnalisation des accompagnants, les parcours des enfants en situation de handicap se diversifient et s’allongent à l’École. Enseignement à distance

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