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Un village auto-géré depuis 1971 !

Un village auto-géré depuis 1971 !
Des élus qui écoutent les citoyens, des citoyens qui participent vraiment à la décision, des référendums qui tranchent quand aucune solution nette n’émerge ? Mais si, c’est possible. Ça s’appelle la démocratie. Et ça marche très bien, comme à Vandoncourt, commune de 800 habitants près de la frontière suisse qui expérimente depuis plus de quarante ans la démocratie participative. Les 800 habitants de Vandoncourt, dans le Doubs, n’ont pas attendu que la démocratie participative soit à la mode pour s’impliquer dans la vie de leur village. Le débat en cours sur l’implantation d’un parc éolien est un bon exemple de la culture démocratique qui règne dans la commune. Une opposition qui n’incommode pas le maire, Patrice Vernier : « Je me suis engagé auprès des habitants en leur disant que dès que nous aurons tous les éléments en main, nous organiserons une réunion publique contradictoire ». Aux sources de la démocratie participative Chacun a son mot à dire Autogestion en actes Related:  Voter & décider ensembleProjets - expérimentations - Associations - Groupes

Etat de la démocratie en France « La droite a gagné les élections. La gauche a gagné les élections. Quand est-ce que ce sera la France qui gagnera les élections ? » [Coluche] Nous avons vu dans un billet précédent Icône de liens externes (qui a beaucoup été repris sur le web) que le vieillissement de l’Assemblée Nationale depuis 1981 avait été massif, ce qui posait un problème de représentativité. Je reviens donc sur ce sujet, en étudiant aujourd’hui ce qui est un des le plus gros problèmes de notre système politique : le manque total de représentativité des pensées politiques. Représentons en effet le résultat moyen des 3 dernières élections nationales (Européennes 2009, Régionales 2010, Cantonales 2011) : On constate ainsi que sur 100 français adultes : 15 ne se sont pas inscrits sur les listes électorales 48 s'abstiennent, 37 sont allés voter, 8 ont voté pour l’UMP, “parti majoritaire” 9 ont voté PS, “parti d’opposition”. On peut ainsi représenter le “rouleau compresseur” démocratique de nos institutions dévoyées :

Espagne : Marinaleda, un village 100% en autogestion Au coeur de l’Andalousie, le village de Marinaleda fait figure d’exemple pour sa gestion et son administration basées sur l’économie sociale et solidaire. Ce village, fondé à l’issue de la dictature franquiste, n’a jamais cessé d’oeuvrer pour le bien-être de ses habitants. Visite au coeur d’un paradis terrestre en autogestion, où il fait bon vivre. Marinaleda est une commune de la province de Séville située dans la comarque de Sierra sud de Séville, dans le bassin de Genil, en Andalousie. Sur une superficie de 24,8 km2 vit une population de 2778 habitants. Son économie repose essentiellement sur l’agriculture. Expérience dirigée par Juan Manuel Sánchez Gordillo, maire de la commune depuis 1979, la lutte ouvrière et paysanne organisée a permis d’atteindre un haut niveau de développement et quasiment le plein emploi pour tous les habitants. Le développement d’un modèle économique alternatif au capitalisme a donné des résultats remarquables, y compris depuis le début de la crise en 2008.

Élections sénatoriales françaises Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les dernières élections ont eu lieu le 25 septembre 2011, et les prochaines auront lieu en septembre 2014. Histoire[modifier | modifier le code] IIIe République[modifier | modifier le code] Ve République[modifier | modifier le code] En 2000, le Parlement vote une loi visant un passage au scrutin de liste proportionnel dans les départements à 3 sénateurs et plus, et une augmentation du nombre de délégués pour les grandes communes, mais cette dernière mesure est censurée par le Conseil constitutionnel, car le Sénat doit représenter les collectivités territoriales[1]. En 2003, la durée du mandat passe de neuf ans à six ans. En 2005, le mandat de tous les sénateurs est prolongé d’une année, pour que les élections sénatoriales se fassent juste après les élections municipales[3]. En 2011, l’âge minimum passe de 30 à 24 ans[4]. Mode de scrutin actuel[modifier | modifier le code] Répartition départementale depuis 2008 Électeurs[modifier | modifier le code]

5 bonnes raisons de ne pas voter ce dimanche Par Baptiste Créteur. 1. Voter, c’est accepter l’idée du scrutin Spencer notait déjà que le jeu démocratique rend toute contestation impossible. L’électeur du vainqueur ne peut en vouloir qu’à lui-même, l’électeur du perdant aurait été d’accord si son candidat avait gagné, et l’abstentionniste a laissé les deux premiers décider à sa place et ne peut donc pas se plaindre. En plaçant un bulletin dans l’urne, chaque votant augmente la légitimité des élus, qui se mesure au nombre de suffrages exprimés hors votes blancs et nuls. Les candidats authentiquement libéraux sont rares ; ne perdez pas de temps à voter pour les autres. 2. Les explications du scrutin foisonneront les jours suivant les résultats, et les habituels hommes politiques et commentateurs se feront devins en lisant l’état d’esprit des Français, la situation économique et l’âge du capitaine dans les chiffres du scrutin. Pourtant, voter ne change rien, sinon l’identité des voleurs. 3. 4. 5. D’abord, libérez-vous des idées fausses.

S'installer dans un écovillage, une idée folle ? On les appelle écovillages, écolieux, écohameaux. Parfois, on les orthographie éco-villages, éco-lieux et éco-hameaux. Quels que soient le terme utilisé et l’orthographe, on désigne la même chose : une agglomération rurale ou urbaine qui vise l’autosuffisance. Un écovillage se caractérise par un mode de vie prenant en compte les dimensions environnementale, socio-économique et culturelle. Robert Gilman, spécialiste du sujet définit l’écovillage de la manière suivante : « Un écovillage est un établissement humain intentionnel, urbain ou rural réalisé à échelle humaine disposant de toutes les fonctions nécessaires à la vie, dans lequel les activités s’intègrent sans dommage à l’environnement naturel tout en soutenant le développement harmonieux des habitants. Ce mode de vie écologique, solidaire et responsable se traduit de différentes manières : Les écovillages ne se limitent donc pas à l’écohabitat. Les écovillages peuvent être très différents. > suite : L’histoire des écovillages

Qu'est-ce qu'une Scop ? Les Scop, Sociétés coopératives, désignent les entreprises à statut Scop (Société coopérative et participative) et à statut Scic (Société coopérative d’intérêt collectif). Soumises à l’impératif de profitabilité comme toute entreprise, elles bénéficient d’une gouvernance démocratique et d’une répartition des résultats prioritairement affectée à la pérennité des emplois et du projet d’entreprise. Les deux formes juridiques de Sociétés coopératives : La Scic Dans une Scic, les mécanismes coopératifs et participatifs sont identiques à ceux de la Scop. Pour mieux comprendre ce que sont les Scop, les Scic et même les CAE, découvrez le premier film d'animation sur les Sociétés coopératives :

Comment les élections peuvent être « biaisées » Oui tant que le « comptage républicain » ne sera pas appliqué il y aura des déformations… avec les 3 comptages (population adulte totale, par rapport aux inscrits et seulement les exprimés) le 25 Mai a montré par rapport à population adulte totale : 4,81 %, oui un demi de vote, 1/2 (0,50 %) de français, en effet...pour le P.S. Cela change selon les élections mais est rarement-au dessus des 15 %. Chiffre qui correspond à ceux de marginaux qui osent faire croire qu’ils gouvernent ? Qui ne survivent que sur des chiffres « trompe l’œil » !!! Comment en sommes-nous donc arrivés là ? Comment des minoritaires « réels » (le FNUMPS) osent gouverner CONTRE la claire majorité du pays ? Ici – le vote F.N. reste de si peu d’impact « numérique » sur l’entière société… Ce qui fait bien un FN à 1 vote sur 10 adultes de plus de 18 ans. Et avec les chiffres officiels de l’intérieur donnés à la presse PS+ alliés = 2 649 202…et pas plus- divisez par 46 millions c’est 5,76 % Ce qui permet : Etc ! (Continued)

Hjortshøj : un écovillage qui multiplie les expériences | 2 à 2 cycles Attirés ici par l’expérience de l’écovillage pour l’assainissement alternatif, nous découvrons l’esprit de l’écovillage : mode de vie écologique qui s’illustre dans la construction mais aussi par la mixité sociale et de génération, l’autosuffisance alimentaire et énergétique. Pierre, un français vivant dans l’écovillage, nous fait la visite et nous montre le village dans son ensemble. Organisé en petites entités d’une dizaine de familles chacunes, le lieu s’est construit au fil des années. Chacun des groupes a défini son projet d’habitat (bâtiments à basse consommation, matériaux écologiques, autoconstruction, assainissement écologique, gestion des déchets…). Des projets peuvent être portés par chacun des habitants : chaufferie collective à copeaux de bois, jardin collectif, verger, élevage de vaches, cochons, chèvres et poules. C’est surtout un mode de vie en collectif. L’accueil est chaleureux. J'aime : J'aime chargement…

L’État français est-il en guerre contre les Français ? La loi de programmation militaire française étend les pouvoirs des Armées à la « la prévention de la criminalité ». Ce faisant, elle abroge, sur le modèle de ce qu’ont fait les États-Unis après le 11-Septembre, la distinction classique entre défense et sécurité intérieure, entre armée et police. Du coup, elle soumet les citoyens français à un régime de surveillance autrefois réservé à des agents d’une puissance étrangère. L’espionnage massif de ses citoyens par les services secrets d’un pays est aujourd’hui devenu la norme. À la faveur de la « lutte contre le terrorisme », la notion de guerre s’est introduite dans le Code pénal de l’ensemble des pays occidentaux. La dernière loi française de programmation militaire, qui vient d’être promulguée le 19 décembre 2013 [1], s’inscrit dans cette tendance de fusion du droit pénal et du droit de la guerre. Une loi militaire comme « prévention de la criminalité » Une loi martiale numérique Jean-Claude Paye

Wezer - Paris - Internet/logiciels Un petit coin des Corbières - Ecovillages Il était une fois un domaine dans une étroite vallée qui avait eu à l’époque une vocation agricole. Troupeaux de brebis, vignes et arbres fruitiers étaient les ressources locales. Le monde rural ayant beaucoup évolué, les paysans ont déserté les lieux. Il y a 21 ans, un groupe d’Européens recherchait un lieu pour réaliser une autre façon de vivre. Le projet s’est orienté vers plus d’autonomie, des nouveaux sont venus, des bâtiments et des terrains ont été vendus, d’autres maisons ont été construites selon les rêves de chacun, intégrant des énergies renouvelables, transformant l’ancien domaine en une sorte de hameau arboré, fleuri par la main de l’Homme qui a su harmoniser sa création avec la végétation spontanée. Vivre dans ce lieu modifie le lien à la Terre. Les habitants les plus anciens vieillissent et souhaitent transmettre leur savoir à des plus jeunes, préparer la relève pour continuer cette formidable énergie commune créée.

Le vote sans la démocratie (et inversement) Deux auteurs stimulants, le Flamand David Van Reybrouck, qui avait signé Congo, une histoire, et l’Américain David Graeber, qui a publié Dette, 5 000 ans d’histoire (voir nos articles ici et là) s’intéressent, dans deux livres plus mineurs que leurs précédents, aux limites des processus électoraux. Le premier signe aux éditions Actes Sud un ouvrage au titre choc, Contre les élections. Il part de son expérience belge et de l’absence de gouvernement de ce pays pendant un an et demi, dont il estime qu’elle est la manifestation du caractère primitif et obsolète des processus électoraux, pour valoriser d’autres formes de représentation et de désignation du pouvoir législatif, en particulier le tirage au sort. Avec sa plume toujours alerte et sa puissance descriptive, David Van Reybrouck reprend surtout à son compte des élaborations théoriques ou des pratiques expérimentées ici ou là. Bulletins, ballottes et billets Les limites de la règle majoritaire Lire aussi Source : www.mediapart.fr

Chercheurs US: les Etats-Unis ne sont plus une démocratie Société (mis à jour 16:32 27.04.2015) URL courte Ce verdict est celui de Martin Gilens, de l’université de Princeton, et Benjamin Page, de l’université Northwestern, au terme d’une étude intitulée "Qui dirige l’Amérique?". Selon eux, le système politique du pays s'est transformé ces dix dernières années en oligarchie, où le pouvoir est concentré entre les mains d'une élite. Les chercheurs ont compilé les données relatives à plus de 1.800 décisions politiques prises entre 1981 et 2002. "Les Américains ont accès à de nombreux avantages du système démocratique, comme des élections régulières, la liberté de parole… Cependant, à notre avis, si le processus de conception de la politique se trouve sous le contrôle d’un cercle étroit de businessmen, alors la prétention de l’Amérique à une société démocratique est menacée", estiment les chercheurs.

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