L’inégalité scolaire, chantier majeur PISA l’avait montré : en France, les difficultés sociales pèsent sur les résultats scolaires de façon inquiétante, et les inégalités s’accroissent. Les décrocheurs représentent le grand échec des politiques éducatives. Que faire ? Refonder l’éducation prioritaire. Réduire les inégalités sociales et territoriales. La question des moyens Que faire des décrocheurs (« jeune qui quitte un système de formation initiale sans avoir obtenu de diplôme de niveau 5 (BEP ou CAP) ou de niveau supérieur (baccalauréat) » selon la définition du ministère) ?
Accord cadre entre le ministère de l'Éducation nationale et le ministère de la Justice et des Libertés - MENE1001062X Le ministère de l'Éducation nationale, Représenté par le directeur général de l'enseignement scolaire, et Le ministère de la Justice et des Libertés, Représenté par le directeur de la protection judiciaire de la jeunesse. Préambule La direction générale de l'enseignement scolaire (DGESCO) élabore la politique éducative et pédagogique ainsi que les programmes d'enseignement des écoles, des collèges, des lycées et des lycées professionnels. Dans ce cadre, elle assure différentes missions, notamment : - en liaison avec la direction générale pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle et la direction générale des ressources humaines, elle définit la politique de recrutement des personnels et les orientations générales de la politique de formation initiale et continue des enseignants des premier et second degrés ; - elle définit la politique relative à l'éducation prioritaire. Ainsi, elle : Le présent accord cadre précise les modalités de cette collaboration. I. II. III.
Organisation et mise en œuvre des articles <abbr lang="fr" xml:lang="fr" title="Législatif">L.</abbr> 313-7 et <abbr lang="fr" xml:lang="fr" title="Législatif">L.</abbr> 313-8 du code de l'Éducation - MENE1101811C L'instruction interministérielle du 22 avril 2009 a défini les principes de l'action de l'État en matière de prévention du décrochage scolaire et d'accompagnement des jeunes sortant prématurément du système de formation initiale. Notamment, elle vous a engagé, en vous appuyant au besoin sur les expérimentations soutenues par le fonds d'expérimentations pour la jeunesse, à renforcer les actions de repérage des jeunes décrocheurs de la formation initiale et à mettre en place des coordinations locales permettant d'organiser leur prise en charge plus rapide et mieux coordonnée. Parallèlement, les réformes engagées, au sein du système éducatif, en vue de répondre aux besoins individuels de chaque élève à tous les niveaux de la scolarité, se poursuivent et permettent de réduire les risques de décrochage ou d'abandon en cours de scolarité et de mobiliser la communauté éducative pour combattre l'absentéisme. - Les niveaux de qualification concernés - des centres de formation d'apprentis ; . etc.
Accord historique conclu sur l'évolution du métier d'enseignant du second degré Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale, se félicite de l’accord historique conclu sur l’évolution du métier d’enseignant du second degré. Cet accord intervient au terme de plusieurs mois de discussions avec les organisations syndicales représentatives. Dès la concertation pour l'avenir de l'École en juillet 2012, il a été établi que la refondation de l'École, construite dans l'intérêt de l'élève, exigeait de rénover les pratiques pédagogiques et donc de redéfinir les métiers de l'éducation. L'ensemble des organisations syndicales, qui représentent les enseignants, a été étroitement associé à l'élaboration de ces évolutions majeures. L'intégralité des missions des enseignants du second degré sera désormais reconnue et traduite dans un texte réglementaire qui remplacera les décrets de 1950 et dont l'application sera effective à la rentrée 2015. Ce texte prévoit notamment que :
Scolarisation des élèves handicapés - Les unités localisées pour l'inclusion scolaire (ULIS) Les élèves scolarisés au titre des ULIS Les élèves scolarisés au titre des ULIS présentent des troubles des fonctions cognitives ou mentales, des troubles spécifiques du langage et des apprentissages, des troubles envahissants du développement (dont l'autisme), des troubles des fonctions motrices, des troubles de la fonction auditive, des troubles de la fonction visuelle ou des troubles multiples associés (pluri-handicap ou maladies invalidantes). Ce sont les commissions des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) qui décident de l'orientation d'un élève vers une ULIS qui lui offre la possibilité de poursuivre en inclusion des apprentissages adaptés à ses potentialités et besoins et d'acquérir des compétences sociales et scolaires, même lorsque ses acquis sont très réduits. Les ULIS sont des dispositifs permettant la mise en oeuvre des projets personnalisés de scolarisation (PPS). Mise en œuvre du PPS Texte de référence
Prévention du décrochage scolaire - MENE0900412J Le Comité interministériel des villes et du développement social urbain (C.I.V.) du 20 juin 2008 a fait de la prévention du décrochage scolaire et de l'accompagnement des élèves sortant sans qualification du système scolaire une de ses priorités majeures. En réponse à cette préconisation, la circulaire interministérielle du 18 décembre 2008, conjointement signée par le ministre de l'Éducation nationale et la secrétaire d'État chargée de la politique de la Ville, a proposé, pour les quartiers les plus en difficulté, des actions concrètes reposant sur une obligation de résultats avant la fin de cette année scolaire. I - Améliorer le repérage des décrocheurs de la formation initiale La prévention du décrochage scolaire implique la mobilisation de tous les établissements de formation initiale auxquels il revient, en premier lieu, de mettre en place les mesures internes de prévention, d'accompagnement individualisé et de repérage des élèves concernés.
Alain Boissinot : « Il devient à la fois possible et nécessaire, grâce au numérique, d’enseigner autrement » Alain Boissinot est ancien recteur des académies de Bordeaux et Versailles, le métier qu’il a préféré, dit-il. L’actuel ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, l’a nommé récemment président du Conseil supérieur des programmes. Vous trouverez sur le site du ministère le compte rendu de l’installation du Conseil, la liste de ses membres, la lettre de mission, les premières commandes passées par le ministre et des schémas explicatifs de son fonctionnement et notamment le calendrier de ses travaux, ci-dessous. On le voit, les travaux du CSP sont progressifs, très progressifs, même s’il travaille d’emblée sur l’intégralité de l’école du socle, de la maternelle au collège. Invité à évoquer la stratégie du CSP à Bordeaux à l’occasion des « Boussoles du numérique », Alain Boissinot, trop occupé par le lancement des travaux, a dû renoncer. M. M. Alain Boissinot : Tout à fait. M. Alain Boissinot : Et dans un deuxième temps, viendra le lycée mais, pour le moment, on a déjà fort à faire…
MENE1504950C La présente circulaire abroge et remplace la circulaire n° 2009-087 du 17 juillet 2009 relative à la scolarisation des élèves en situation de handicap à l'école primaire ; actualisation de l'organisation des classes pour l'inclusion scolaire (Clis) et abroge la circulaire n° 2010-088 du 18 juin 2010 relative au dispositif collectif au sein d'un établissement du second degré à l'exception du point 4.3 La loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées dispose que le parcours de formation des élèves en situation de handicap se déroule prioritairement en milieu scolaire ordinaire. La loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école de la République a introduit dans le code de l'éducation le concept d'école inclusive et engage tous les acteurs dans une nouvelle conception de la scolarisation des élèves en situation de handicap. 1. Public visé 2. 3.
Certification - Lutte contre le décrochage Publics concernés : personnels d'enseignement et d'éducation de l'enseignement public, titulaires et contractuels employés par contrat à durée indéterminée, maîtres contractuels et maîtres délégués employés par contrat à durée indéterminée des établissements d'enseignement privés sous contrat. Objet : création et conditions d'obtention du certificat de professionnalisation en matière de lutte contre le décrochage scolaire. Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur à la rentrée scolaire 2017. Références : le texte peut être consulté sur le site Légifrance ( Article 1 - Il est institué un certificat de professionnalisation en matière de lutte contre le décrochage scolaire. Cette formation comporte des modules de formation théorique, d'approfondissement et de mise en situation professionnelle. Article 6 - Le présent décret est applicable dans les îles Wallis et Futuna. Article 7 - Le présent décret entre en vigueur à compter de la rentrée scolaire 2017.
Le rapport du Collège de France (1985) Le rapport du Collège de France (1985) Note utilisateur: Détails Catégorie : Diaphoraï Publié le 4 janvier 2003 Texte de P. Lu 865 fois Ce texte, réclamé par le Président de la République d'alors (F. La question des contenus et des fins de l'enseignement ne peut se satisfaire de réponses générales mais vagues, et propres à faire l'unanimité à trop bon compte : nul ne saurait, en effet, contester que tout enseignement doit former des esprits ouverts, dotés des dispositions et des savoirs nécessaires pour acquérir sans cesse de nouveaux savoirs et s'adapter à des situations toujours renouvelées. Il faut aussi prendre acte des transformations du système d'enseignement lui-même, en évitant d'adopter, pour les évoquer, le langage apocalyptique de la crise ou, pis, le ton de la condamnation prophétique qui cherche ses boucs émissaires dans le corps enseignant ou ses organes représentatifs. Ce texte ne veut être ni un plan ni un projet de réforme.
Guide d'aide à la conception de modules de formation pour une prise en compte des élèves intellectuellement précoces - MENE0900994C La réussite d'un enfant intellectuellement précoce ou manifestant des aptitudes particulières nécessite parfois des aménagements particuliers de son parcours scolaire tels que les prévoit le code de l'Éducation dans son article L.321-4. La circulaire du 17 octobre 2007, relative au parcours scolaire des élèves intellectuellement précoces ou manifestant des aptitudes particulières à l'école et au collège, rappelle pour sa part la nécessité d'un effort important en matière d'information et de formation en direction des personnels du premier et du second degrés. Le guide en annexe de la présente circulaire, est conçu comme une aide aux formateurs, notamment pour définir les programmes de formation. Sans caractère prescriptif, il propose des pistes de travail précises qu'il est possible de mettre en œuvre dans un cadre local, au plus près des besoins repérés. Annexe Élèves intellectuellement précoces - Guide d'aide à la conception de modules de formation Introduction : pourquoi un guide ? 1. 2.
CAP 1,2 ou 3 ans - MENE1937738C Le certificat d'aptitude professionnelle (CAP) est préparé en deux ans par les élèves ayant validé l'ensemble de leur scolarité au collège. Par dérogation, il peut être préparé en un ou trois ans en fonction des profils et des besoins particuliers des élèves. Les parcours d'un an et de trois ans sont des parcours adaptés qui résultent obligatoirement d'une décision de positionnement prise par le recteur ou par le directeur académique des services de l'Éducation nationale (Dasen) par délégation du recteur, ou par le vice-recteur dans les collectivités d'outre-mer, sur proposition de l'équipe pédagogique et après dialogue avec l'élève ou sa famille (s'il est mineur). Les règles ci-après concernent les seuls élèves sous statut scolaire des établissements d'enseignement publics ou privés sous contrat. I. Le diplôme du CAP se prépare en deux ans en application des dispositions de l'article D. 337-6 du Code de l'éducation. II. Dans la majorité des cas, il s'agit de : III. A. B. 1. 2. 3. 4. C.