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La cyberdépendance, ennemie du sommeil ?

La cyberdépendance, ennemie du sommeil ?
Chaque soir, Fabrice, 34 ans, s’adonne à ce qui est devenu un rituel : il se connecte fébrilement, répond à ses courriels, en adresse d’autres, surfe sur ses réseaux sociaux, visite ses nombreux sites préférés. Ses yeux sautent d’une image à l’autre des heures durant. Et comme à chaque connexion, le temps semble s’être arrêté. Internet ne manque pas d’entraîner des cyberdépendances chez ses utilisateurs. Les signes d’alerte sont multiples : sensation récurrente de manque hors connexion, soulagement à la connexion, usage incontrôlé et prolongé d’Internet… Une passion dévorante pour le net peut véritablement naître chez l’internaute, jusqu’à en perturber son sommeil. Selon une étude récente, en effet, différents troubles du sommeil sont susceptibles de se manifester chez les cyberdépendants : troubles de l’endormissement, réveils nocturnes, insomnies ou encore diminution du temps de sommeil. Comment les spécialistes expliquent-ils l’émergence de ces troubles ?

Les risques de l’hyper-connectivité – Geneviève Krebs Pour le ministère du travail « les risques psychosociaux recouvrent des risques professionnels d’origine et de nature variées, qui mettent en jeu l’intégrité physique et la santé mentale des salariés et ont, par conséquent, un impact sur le bon fonctionnement des organisations ». Toute addiction est à surveiller. L’addiction virtuelle : un nouveau risque d’épuisement professionnel et personnel L’usage d’Internet au bureau n’est pas toujours règlementé dans toutes les entreprises. Avec l’arrivée de plus en plus fréquente, de nouvelles technologies, d’applications séduisantes et interactives, nous constatons d’autres formes de troubles psychologiques : la cyberdépendance ou la cyberaddiction. C’est lors du colloque de l’American Psychologic Association, à Toronto, en 1996, que ce terme a été utilisé pour la première fois par la psychologue américaine Kimberly Young. Internet répond à un besoin fondamental. Les risques de cette addiction Test d’auto-évaluation : suis-je cyberdépendant ?

20160205_Pourquoi une application devient-elle addictive? Crédit photo : iStock Plusieurs utilisateurs d’applications populaires en sont dépendants. Comment ces applications réussissent-elles à développer cette « emprise » sur eux au point qu’elles deviennent incontournables dans la vie des mobinautes? Selon des experts en marketing et des psychologues, une application finit par créer une addiction selon la fréquence et le temps d’utilisation quotidien. Sur le plan conceptuel, des caractéristiques communes se retrouvent sur ces applications. Offrir une valeur accrocheuse : répondre à un besoin ou à un désir reconnu comme le divertissement ( les applications de jeux comme FlappyBird par exemple), la socialisation / rencontre (Tindrer, par exemple).Inciter à la répétition: des fonctionnalités interpellent à la fois le conscient et le subconscient des utilisateurs, les encourageant à s’engager activement avec l’application. Écoutez Zoubeir Jazi

Notes sur la sitographie des sites web (20+) Cyberdépendance : un enjeu en ligne de mire Vingt-cinq millions de Français jouent aux jeux vidéo. Et selon un rapport sur la cyberdépendance, rédigé en 2008 par deux députés UMP, entre 600 000 et 800 000 personnes (adultes ou jeunes) seraient victimes d’une «conduite addictive». Fiable ? Préoccupant ? Assez pour que le phénomène fasse l’objet d’une conférence-débat à la Sorbonne mardi soir, organisé par l’Union régionale des associations familiales (Uraf) et des rectorats d’Ile-de-France, en présence d’un spécialiste de la question, le psychiatre et médecin chef à l’hôpital Marmottan, Marc Valleur. Dépendance et pas addiction. «Le problème de la dépendance aux jeux en ligne est certes préoccupant, explique Olivier Gérard, de l’Union nationale des associations familiales, mais moins que celui de l’addiction aux drogues ou à l’alcool.» Les critères de cette dépendance sont relativement flous : «Contrairement à ce que l’on pourrait penser intuitivement, le temps passé à jouer n’est pas un critère en soi. Victor Matet

Addiction à Internet - Il a vécu 6 mois sans le net Un jour, Thierry Crouzet a coupé Internet. Victime d’un burn-out, d’une overdose numérique. Blogueur influent, geek connecté jour et nuit sur les réseaux sociaux, expert des nouvelles technologies, il a quitté la toile pendant six mois, pour se sevrer. Propos recueillis par Margaux Rambert La nuit du 14 février 2011, vous faites une crise d’angoisse et finissez à l’hôpital. Thierry Crouzet : Allongé sur mon lit d’hôpital, j’ai tout de suite pris mon téléphone pour regarder mes mails et ce qui se passait sur les réseaux sociaux. Votre conclusion, c’est que vous étiez victime d’un burn-out numérique… T.C : Oui. Plus aucun accès à Internet pendant six mois… Pourquoi ce choix d’une déconnexion totale ? T.C : Je ne savais pas ce qui posait problème. Avant cette prise de conscience, vous sentiez-vous accro au net ? T.C : Non, ou alors comme d’autres sont accros à leur travail. Qu’est-ce qui vous rendait dépendant au net ? T.C : Au départ, je suis arrivé sur le net pour défendre des idées.

Cyberdépendance: «Le véritable danger, c'est l'isolement» La cyberdépendance est-elle la nouvelle menace venue du Web? C'est ce que semble indiquer un rapport parlementaire rendu public ce mercredi. Elisabeth Rossé est psychologue au centre médical Marmottan, où elle prend en charge des cyberaddicts. Elle explique le phénomène pour 20minutes.fr. Qui sont les cyberdépendants? Tout dépend du type d'addiction. Comment sait-on qu'on est cyberdépendant? Quels sont les risques? Comment les adolescents deviennent-ils accros aux MMORPG? Certains sont-ils plus vulnérables que les autres? Que faut-il faire? Le mot de la fin? Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :

Journée sans téléphone mobile : et si on décrochait ? Pour l’expert en comportement Thierry Le Fur, il est indispensable de trouver « les conditions d’un usage adapté ». Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Marlène Duretz Une journée sans téléphone mobile ? Depuis 2001, Phil Marso, instigateur de la journée mondiale sans téléphone mobile, encourage à réfléchir sur le « mobilou » chaque 6 février, le jour de la saint Gaston – et sans déplaire à Nino Ferrer et à son « téléphon qui son’/Et y a jamais person’ qui y répond ». Autant demander l’impensable et tenir à l’impossible une majorité de détenteurs de ce doudou connecté, que 60 % des Français consultent dans la première heure suivant leur réveil et que 30 % dégainent entre dix à vingt-cinq fois par jour, et 13 % cinquante fois et plus. En considérant que les enfants sont, dès l’âge de 2 ans, derrière les écrans, « nous serons en moyenne connectés plus de cent mille heures, à l’échelle d’une vie, comptabilise Thierry Le Fur. A quoi reconnaît-on une addiction numérique ?

Notes sur la sitographie des sources informelles Notes sur la sitographie des flux RSS Cyberdependance.ca - Quand l'utilisation d'Internet devient un problème

Bonsoir ,
Cet article démontre rapidement et de façon explicite les effets négatifs d'une consommation excessive d'écran le soir . On perd rapidement la notion du temps et des priorités . On grignote des heures de repos , notre corps accumule une dette de sommeil ce qui génère des changements de comportement dus à une fatigue omniprésente tout au long de la journée . Jour après jour on glisse vers l' addiction .
Cordialement Jean-yves by poyac_groupeb_psy Mar 5

Bonsoir.
Pour compléter ton commentaire, nous réalisons en lisant cet article qu'entre le moment où nous allumons notre ordinateur et celui où nous l'éteignons, l'espace temps est difficilement quantifiable; nous prenons conscience, après coup, de l'écart qui existe entre le temps "intérieurement vécu" et le temps chronométrique. Il y a une forme d’abandon, de lâcher prise face aux contraintes horaires, abandon qui, s'il est excessif, contribue à définir l'addiction.
Bien à vous. by fanny_groupee_psy Mar 4

Bonsoir Sylvie,
Merci pour ton commentaire! Oui, en effet, on en revient toujours au même point: décrocher de l´ordinateur et aller tout simplement se coucher...
Bonne soirée!
Cordialement,
Constance by bru_groupea_psy Feb 15

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