Au service de la stratégie social media | agence nobilito 04 Mar LinkedIn Publishing au service de votre stratégie social media Posted at 10:34h in social, strategie by nobilito LinkedIn est la référence pour les réseaux sociaux professionnels. En France, on compte plus de 16 millions de personnes inscrites (soit près de la moitié de la population active) dont 3,7 millions d’utilisateurs mensuels actifs. Il est donc primordial en tant qu’en entreprise et en tant que professionnel d’y être présent et reconnu. Mais comment parvenir à émerger sur ce réseau social et l’intégrer pleinement dans sa stratégie de social media ? Pourquoi utiliser LinkedIn Publishing dans votre stratégie social media ? Linkedin propose une fonctionnalité de gestion de contenu pour faire rayonner les marques au travers des prises de paroles experts de leurs premiers ambassadeurs : leurs salariés. À l’origine, l’agrégateur de contenus était dédié aux influenceurs reconnus (Richard Branson, Barack Obama ou encore Arianna Huffington). Les bénéfices de LinkedIn Publishing
Les jeunes et la presse : enquête L'école Sup de Com s'est intéressée aux pratiques des jeunes en matière de presse. Quels sont les supports utilisés par les jeunes pour s'informer ? Internet a-t-il surpassé la presse écrite ? 457 jeunes ont participé à cette étude. Comprendre les nouveaux comportements des jeunes face à la presse, tel était l'objectif de l'enquête menée par Sup de Com en janvier et février 2014. 457 jeunes de 15 à 25 ans ont souhaité donné leur avis. Plus d'un tiers des jeunes lit la presse quotidiennement On entend souvent que les jeunes ne s'intéressent pas à l'actualité. La presse gratuite, Internet ou papier, est celle qui a le plus d'adeptes. 37% des jeunes ne lisent que celle-ci. Comment suivent-ils l'actualité ? Si la majorité des jeunes disposent aujourd'hui d'un ordinateur personnel et d'un smartphone, le format papier reste pourtant privilégié par les 15-25 ans. 36.3% d'entre eux choisissent ce support en priorité. Enfin, quel type de presse préfèrent les jeunes ?
"Cyberharcèlement, bien plus qu’un mal virtuel" : entretien avec Anaïs Condomines Elle-même victime de cyberharcèlement, Anaïs Condomines avait toute la légitimité pour co-écrire avec Emmanuelle Friedmann son premier ouvrage Cyberharcèlement, bien plus qu’un mal virtuel (Ed. Pygmalion 18,90 €). Dans ce livre riche en témoignages, les autrices font un triste état des lieux : que cela soit dans le cadre professionnel, amical ou même amoureux, ce phénomène est devenu, comme elles l’expliquent « le miroir de notre époque ». Anaïs Condomines et Emmanuelle Friedmann mettent des mots (et des chiffres) sur ce nouveau mal. Nous nous sommes entretenus avec l’une des autrices de cet ouvrage, Anaïs Condomines. LES NUMÉRIQUES - Selon vous, qui sont les premières victimes de cyberharcèlement ? ANAÏS CONDOMINES - Au début, on pourrait penser que seuls les gens influents ou très en vue sont victimes de cyberharcèlement, mais en réalité ça peut être absolument tout le monde. Est-ce qu’il y a une éducation au web à faire ? Mais les vraies réponses se situent plus haut encore.
Les réseaux sociaux ont changé la vie des expatriés Aujourd’hui, d’un simple clic, les expatriés peuvent trouver tous les bons plans dont ils ont besoin sur les réseaux sociaux. Agathe, 30 ans, qui vit à l’étranger depuis l’âge de 7 ans, se souvient que cela n’a pas toujours été le cas. « Quand j’étais au collège à Djibouti, en 2000, il n’y avait même pas de téléphone », raconte-t-elle. L’unique opérateur local, Djibouti Télécom, venait de s’implanter, en 1999. « Je me souviens que mes parents allaient aux soirées organisées par l’ambassade pour rencontrer d’autres expatriés et échanger des conseils pour trouver un médecin ou un coiffeur », ajoute la jeune Franco-Canadienne, expatriée au Mali depuis trois ans, qui a souhaité garder l’anonymat. Sur le seul réseau Facebook, 92 millions d’expatriés sont organisés par pays ou par communauté. Les Français y ont leur groupe dans presque tous les pays du monde, du Pérou à l’Indonésie en passant par la Nouvelle-Zélande. « Ils ne remplacent pas la rencontre humaine » Parler sans tabou
Addiction aux réseaux sociaux : des anciens employés de Google et de Facebook s'inquiètent #JourneeMondialeSansFacebook Le 28 février marque la "journée mondiale sans Facebook". A cette occasion, nous vous proposons de relire cet article initialement publié sur le site de Sciences et Avenir le 5 février 2018. Quelle est la première chose que vous faites le matin après vous être réveillé ? "Facebook détruit le tissu social" Ces anciens de la Tech qui désormais la critiquent, qui sont-ils ? ENFANTS. La santé des GAFA au beau fixe Roger McName, ancien conseiller de Mark Zuckerberg lors des débuts de Facebook, a dit au New York Times qu'il était horrifié.
La Cyberdépendance: Cas de l’addiction au réseau social Facebook Résumé La démocratisation de l’internet et la forte pénétration des réseaux sociaux dans la vie de tous les jours des internautes a montré un comportement d’addiction au réseau social Facebook. Malgré l’importance de ce phénomène, très peu de recherches en marketing se sont intéressées à son étude. La présente recherche a pour objectif de mesurer l’addiction des internautes aux réseaux sociaux et d’en déterminer les antécédents. La revue de la littérature relative à l’internet a mis en relief que l’estime de soi et la personnalité sont des antécédents psychologiques de l’addiction. Keywords Cyberdépendance Internet Addiction
Addiction aux réseaux sociaux : quels dangers ? Avec Facebook ou Instagram toujours à portée de main, la consultation compulsive des réseaux sociaux est-elle une addiction ? A quel moment ce comportement virtuel devient-il un problème ? Existe-t-il un danger à trop liker, tweeter, commenter ? Les explications de Michael Stora, psychologue et psychanalyste. Poster une photo de son repas, commenter la publication d'un ami, "tweeter" sa dernière réflexion philosophique... Etre dépendant du regard de l'autre A quoi correspond alors le fait de consulter de façon obsessionnelle les réseaux sociaux, partout, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit ? Les dangers des réseaux sociaux L'usage des réseaux sociaux devient réellement problématique quand il y a une rupture de tous liens sociaux, quand les personnes délaissent le réel au profit des réseaux sociaux. Mais quel danger courent les internautes qui consultent et publient de manière compulsive sur les réseaux sociaux ? Guérir par les réseaux sociaux ? Sources : >> A lire aussi :
Peut-on être accro aux réseaux sociaux ? Trois. C’est le nombre moyen de réseaux auxquels nous sommes inscrits depuis que nous fréquentons les plateformes sociales sur Internet selon une étude Médiamétrie. Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram, Vine… Tout comme on ne compte plus le nombre de sites sur lesquels on s’inscrit, on ne compte plus réellement le temps passé à mettre son profil à jour, retweeter ses amis ou encore partager des photos de ses dernières vacances. 5 minutes dépensées par-ci par-là qui, mises bout-à-bout, nous font passer pas moins de deux heures par jour derrière notre écran d’ordinateur, de téléphone portable ou de tablette, d’après le dernier rapport de l’agence Wearesocial. Mais alors, serions-nous tous accro aux réseaux sociaux sans le savoir ? Pour aller plus loin Quel pays passe le plus de temps sur les réseaux sociaux ? Le rapport 2015 de l’agence Wearesocial sur les pratiques numériques révèle que le temps mondial moyen passé sur les réseaux sociaux est d’un peu plus de 2h30 par jour. Trois.
La mauvaise influence des réseaux sociaux sur les jeunes SENENEWS.COM- L’accès facile aux portables, smart phone, Android, iPhone mais aussi à la connexion avec les wifi et les forfaits internet a vraiment révolutionné le monde et changé le comportement des individus surtout les jeunes. Sélectionné pour vous : Traitée de « dévergondée » après ses photos sexy, Queen Biz sort du silence (photos) Les jeunes d’aujourd’hui sont ceux qu’on appelle les enfants de la net-génération. Ils ont grandi avec l’internet au bout des doigts. Ils maîtrisent quasiment tout sur internet et sont toujours ´´online´´ sur les réseaux sociaux qui se multiplient d’année en année. Les influences négatives sont au rendez-vous Néanmoins, il y’a des influences considérables qui sont méconnues ou bien très souvent négligées par les jeunes. Réseaux sociaux ou baisse de niveau intellectuel? Les jeunes d’aujourd’hui préfèrent passer leur temps sur les réseaux sociaux plutôt qu’à étudier. Une photo publiée fait en un clin d’œil le tour du monde Envie d’imiter les autres
l'internet a hélas conquis notre vécu, comment se libérer?
une question qui n'a pas encore trouver de réponse satisfaisante!!! by mourou_groupe2_psy Mar 27
Je suis d'accord avec toi sur ce point. Je pense que la prévention peut nous être très utile pour en prendre conscience, et, nous éviter de dériver au delà de nos limites. by rouanet_groupe3_psy Apr 9
L'addiction au numérique est très insidieuse ... Sommes nous tous suceptibles de devenir addict ???? by patoupat1 Apr 8
Cette Vidéo porte sur les dangers de l'usage du numérique. Elle montre jusqu'où peuvent aller nos limites et quand faut il s'arrêter. Qu'est ce une cyberdépendance ? Nous ne sommes pas tous dépendants, il faut faire des pauses... by sandrine_groupe5_psy Apr 7