2D… 3D… imprimez !: Impression 3D: Les outils Les outils indispensables pour l’impression 3D (ou prototypage rapide) Voici une liste d’outils et de services utiles à la création de modèles pour l’impression 3D. Cette liste n’est pas exhaustive, car j’ai volontairement laissé de côté les options chères, aux fonctionalités trop limitées ou qui sont trop compliquées. Si vous désirez suggérer un ajout ou une correction, n’hésitez pas à m’écrire en utilisant la page de contact. 1a. Le prix des logiciels dans ce domaine est un cas à lui tout seul. OpenSCAD : Logiciel de dessin 3D inhabituel : les volumes sont programmés au lieu d’être dessinés . Blender : Très performant, mais je n’ai jamais réussi à dessiner plus qu’une sphère… (libre,gratuit, pour Windows, Linux et MacOS) Sketchup : simple d’utilisation. à utiliser avec un plugin d’export de STL (logiciel commercial, version gratuite aux fonctions limitées, pour Windows et MacOS) Creo Elements/Direct Modeling Personal Edition (ouf!) 123D d'Autodesk. 1b. 2. 3a. 3b. 3c. 3c.
Imprimer un circuit comme on imprime une photo, c'est possible ! « Korben Korben Imprimer un circuit comme on imprime une photo, c’est possible ! Je trouve ça absolument génial ! Il s'agit d'une imprimante en financement participatif sur Kickstarter qui permet d'imprimer des circuits imprimés (PCB). Au lieu de faire un transfert photographique du dessin puis de jouer au petit chimiste pour révéler les pistes comme on l'a tous appris en cours de techno, l'imprimante EX1 dépose 1 couche de nitrate d'argent et 1 couche d'acide ascorbique grâce à ses 2 têtes d'impression sur le support de votre choix. Papier, bois, plastique, tissu... tout accroche avec l'EX1 qui fonctionne de manière semblable à une imprimante jet d'encre. Les produits réagissent alors pour former des particules d'argent qui traceront le circuit de vos rêves. À vous ensuite de souder ou coller (grâce à une colle conductrice) les composants de votre choix. Voici un résultat d'impression sur du papier : ou sur du tissu synthétique : Excellent non ? J'adore ! Vous avez aimé cet article ?
L’imprimante 3D, ce gadget qui change le monde Imprimante 3D de la marque Makerbot Le salon des techniques de l'information et de la communication (Cebit) se déroule cette semaine à Hanovre en mettant à l'honneur l'économie du partage. On entend beaucoup parler de l'émergence de cette économie, mais ce partage croissant de connaissances, de ressources, de contacts, d'échanges ou d'emprunt d'objets peut-il changer le monde ? Quels sont les nouveaux espaces d'innovation ? Sont-ils portés par l'ambition de bâtir un monde plus viable ? Bienvenue dans l'industrie du bricolage Dans Makers, la nouvelle révolution industrielle, l'américain Chris Anderson estime que l'impression 3D et la multiplication des possibilités données à chacun de bidouiller par lui-même et en réseau, de manière libre et ouverte, dessinent les contours d'un nouveau modèle économique de fabrication. Oui mais voilà : quand on y regarde de plus près, il est important de distinguer les vecteurs de cette révolution annoncée. Une impression pas nette En plastique...
Brilliant Robot Scraps Can Form Selves Into Anything | Wired Business 4D Printing: Cube Self-Folding Strand from Skylar Tibbits on Vimeo. LONG BEACH, California — There are 3-D printers that build things up, adding one sliver of plastic at a time, and 3-D mills that tear things down, grinding away one small chunk at a time. But Skylar Tibbits today offered a very provocative alternative: technology for 3-D printing where the chunks start separated and intelligently arrange themselves into basically any object. MIT’s Skylar Tibbits showing a self-folding strand on stage at the TED conference Tuesday. Tibbits’ latest technology for so-called “4-D printing,” unveiled during a talk at the TED conference today in Long Beach, California, uses water to activate and power strands of material that fold themselves into desired shapes. The big idea is to create objects that can change after they are printed, making them self-adapting. “What we’re saying here is, you design something, you print it, it evolves,” Tibbits says in an interview.
RepRapWiki TEDxEWB Talk: Adrian Bowyer at Imperial College, London, introduces RepRap RepRap is humanity's first general-purpose self-replicating manufacturing machine. RepRap takes the form of a free desktop 3D printer capable of printing plastic objects. Since many parts of RepRap are made from plastic and RepRap prints those parts, RepRap self-replicates by making a kit of itself - a kit that anyone can assemble given time and materials. It also means that - if you've got a RepRap - you can print lots of useful stuff, and you can print another RepRap for a friend... RepRap is about making self-replicating machines, and making them freely available for the benefit of everyone. Reprap.org is a community project, which means you are welcome to edit most pages on this site, or better yet, create new pages of your own. RepRap was the first of the low-cost 3D printers, and the RepRap Project started the open-source 3D printer revolution. RepRap was voted the most significant 3D-printed object in 2017.
Meet the DIY Makers Taking on the 3D Printing Revolution | Creativity on GOOD Though it’s been used by industrial designers to create prototypes for decades, the process of rapid prototyping has only recently begun to benefit the masses, and Shapeways has been leading the way since 2007. As a platform for designing and actualizing 3D printed items, Shapeways has facilitated access to 3D printing technology so that anyone can develop and print their own designs. In the video above, Shapeways CEO Peter Weijmarshausen describes how the concept of 3D printing is revolutionizing the market for custom-designed products, and we meet creatives who are applying the technology to their various disciplines. Gil Akos of creative coding group Modelab describes the potential for printing using a wide variety of materials, even biological ones that can be applied to medical science.
L'imprimante 4D : quand les objets se construisent eux-mêmes Un chercheur du MIT et une start-up israélienne mettent au point des matériaux capables de changer de forme dans le temps. Et si les objets se fabriquaient eux-mêmes ? Fini l'enfer de l'étagère Ikea, les vis qui manquent, les chevilles qui disparaissent, les plans incompréhensibles. Les composants intelligents de Skylar Tibbits adoptent une forme prédéfinie dès qu'ils entrent au contact de l'eau. Une telle révolution est-elle possible ? C'est-à-dire ? Pour l'instant, voici ce que peut réaliser de lui-même un tube en polymère plongé dans un bassin. L'impression 4D en est donc clairement au stade expérimental.
Techno-politique des imprimantes 3D | Le blog de Yannick Rumpala Le texte qui suit est aussi paru sur le site nonfiction.fr dans la rubrique « Actualité des idées ». Les imprimantes 3D sont de plus en plus fréquemment mises parmi les « signaux faibles » de mutations en cours, voire sont annoncées comme un des éléments d’une nouvelle « révolution industrielle »[1]. Ces récents développements techniques, qui permettent d’imprimer des objets couche par couche (donc en trois dimensions), pourraient effectivement avoir des effets importants, au-delà même des processus de fabrication. Derrière les implications technologiques et économiques envisageables peuvent aussi venir d’autres questions : qui va pouvoir se saisir de ces potentialités technologiques, de quelle manière et pour en faire quoi ? Les versions les plus accessibles des imprimantes 3D semblent ouvrir des possibilités d’autoproduction difficilement envisageables auparavant, en profitant de dynamiques déjà engagées dans le domaine du « numérique ». [5] Cf. [7] Cf. [9] Cf. Like this:
A 3-D Printing Pen Wows Kickstarter Really all I want to say is in this video: But if you’re not a video-friendly environment, at the moment, that’s the Kickstarter pitch from a couple of guys at a Boston company called Wobble Works, and they’ve made what they say is the world’s first “3-D printing pen,” 3Doodler. It’s around the 20-second mark of that video where the magic of such a device becomes apparent. Drawing has entered the third dimension. 3-D printing has always been about empowering smaller artisans, about taking what is traditionally the realm of major manufacturers, and bringing some of that power closer to the creators. The 3Doodler is far cheaper and easier to use, and though less capable in some ways, it has the curious effect of leapfrogging the technology that it’s descended from. 3-D printers are gaining in cultural mindshare, yet I still have to explain to some people what is meant by such a device (“printing” simply evokes an ironclad image of ink and paper, for many).
20 commandements pour une société autofabriquée Pour accompagner la révolution des FabLabs, permettant à chacun de produire des objets grâce à des imprimantes 3D et autres CAO, un rapport américain recommande 20 mesures au gouvernement pour se préparer à un tournant de l'histoire industrielle. Un certain nombre de forces convergentes vont faire passer la fabrication personnelle, ou autofabrication, du statut de technologie marginale utilisée par les seuls pionniers et passionnés à un outil quotidien pour le consommateur et l’entreprise lambda.Dans quelques années, on trouvera des technologies de fabrication dans les petites entreprises et établissements scolaires.Dans dix ou vingt ans, tous les foyers et bureaux posséderont leur machine d’autofabrication.Dans une génération, on sera bien en peine d’expliquer à ses petits-enfants comment on a pu vivre sans son autofabricateur, et qu’on devait commander des biens préfabriqués en ligne et attendre qu’ils nous arrivent dans notre boîte au lettre livrés par la Poste. Recommandations
Le Fablab, un laboratoire numérique qui cherche un public populaire - Journal Numérique - Articles locaux Par la rédaction pour La Voix du Nord, Publié le 28/03/2013 - Mis à jour le 28/03/2013 à 02:17 La caverne d'Ali Baba version XXIe siècle, à quoi peut-elle ressembler ? Avec le Fablab, il devient possible de l'imaginer. Imprimante 3D, fraiseuse numérique, découpe vinyle... roubaix@lavoixdunord.fr PHOTO « LA VOIX » Le Fablab, un laboratoire où l'art côtoie l'utile et la création taquine le numérique, a un objectif principal : démocratiser les machines telles que découpe-laser, fraiseuse numérique, découpe vinyle et imprimante 3D, trop peu connues du grand public. « Il faut sortir les machines, les amener vers l'extérieur et non les garder ici, au sein des locaux à la QSP », insiste Thierry Mbaye. Pour faire connaître le Fablab, quoi de plus simple que de penser à organiser des ateliers dans les centres sociaux ou les établissements scolaires ? Une résidence d'artistes, à l'école des Beaux-Arts de Tourcoing, avait permis de redessiner l'assise publique, par exemple. www.meuhlab.org/contact
Fab Lab, la pharmacopée anti-crise Ce jeudi, l'université de Cergy-Pontoise inaugure Fac Lab, le premier fab lab en France porté par une université. Il sera ouvert au public. Pour ses porteurs, ce type de lieu est une réponse à la crise que nous traversons. Et pas qu'économique. Imprimante 3D MakerBot au FacLab de Gennevilliers -- OpheliaNoor/Owni “C’est un beau roman, c’est une belle histoire… “ Les fab labs (fabrication laboratory), ces mini-usines collaboratives de prototypage rapide à commande numérique, fournissent souvent un storytelling à clouer le bec aux Cassandre des temps modernes, à base de réappropriation de la technique et de partage des connaissances. Le site de l'université de Cergy à Gennevilliers accueille le FacLab -- OpheliaNoor/Owni L’idée a germé voilà un an et demi dans la tête d’un duo atypique dans le milieu universitaire, Emmanuelle Roux et Laurent Ricard. Genèse accélérée J’avais d’abord un projet de fab lab en Vendée. Finalement, avant la Vendée, ce sera l’université de Cergy.
"On ira dans un fablab comme chez un commerçant" LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Propos recueillis par Frédéric Joignot Le "labmanageur" Jean-Michel Molenaar, 30 ans, a monté deux fablabs ("laboratoires de fabrication") aux Pays-Bas. Il a participé au lancement du fablab de Grenoble, avec l'aide du Centre de culture scientifique technique et industrielle de la ville. Comment créer un fablab ? Sur le site du Massachusetts Institute of Technology (MIT), à Cambridge, on trouve une charte qui précise la mission des ateliers ainsi que la liste des machines indispensables. Combien coûte un fablab ? Il faut 60 000 euros, ce qui explique qu'ils s'adossent souvent à des mairies, des associations ou des institutions.