Sonia Delaunay Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Delaunay. Sonia Delaunay Sonia Delaunay photographie de Lothar Wolleh Sonia Delaunay, née Sophie Stern ou bien Sara Illinichtna Stern[note 1] née le 14 novembre 1885 à Gradzihsk en Ukraine et morte le 5 décembre 1979 à Paris, est une artiste peintre, d'origine ukrainienne[note 2]. Adoptée par un oncle maternel Henri Terk dont elle prend le nom, elle étudie assez peu les beaux-arts : le dessin à Karlsruhe pendant deux ans, puis à Paris à l'Académie de la Palette dans le Quartier du Montparnasse. De plus en plus orientée vers l'art abstrait au fil des années, elle crée en 1946 le Salon des réalités nouvelles uniquement pour promouvoir l'abstraction. Elle laisse derrière elle une œuvre abondante qui comprend aussi des tissus imprimés, des livres d'artistes, des robes de haute couture dont la célèbre robe de Nancy Cunard. Les avis sont partagés sur l'appréciation de son œuvre textile.
Révolution éco-technologique dans la mode éthique : le tissu dépolluant Pourquoi se contenter de réduire l’ empreinte carbone des vêtements lors de la phase de production alors qu’il est tout à fait possible de faire beaucoup plus pour qu’ils ménagent la planète ? L’information est difficile à croire tant elle est surprenante mais il semblerait qu’une incroyable innovation dans le secteur de la mode éthique permette aux habits… de purifier l’air pollué. C’est le Centre pour le stylisme durable, branche « verte » du London College of Fashion , et l’Université de Sheffield (Grande-Bretagne) qui sont à l’origine du projet « Vêtements catalytiques », lequel consiste à appliquer une nanotechnologie déjà existante – les photocatalyseurs – à l’industrie textile. Déjà utilisés dans plusieurs produits commercialisés – des peintures écolos par exemple -, les photocatalyseurs sont des éléments qui, à l’aide de la lumière, déclenchent et accélèrent une réaction sur les agents polluants. Crédit photo : flickr - thegreatgonzo, Tony Kennick
Un Delaunay peut en cacher une autre | Sans Compromis Longtemps associée à Robert, son mari artiste, Sonia Delaunay qui a inondé le monde de la mode et des arts appliqués de ses tons primaires, est enfin reconnue. Le musée d’Art moderne de la Ville de Paris lui consacre une exposition. Manteau créé vers 1924, par Sonia Delaunay pour l’actrice américaine Gloria Swanson – Photo : Collection particulière / Pracusa telerama.fr, 18/10/2014 Paris, 19, boulevard Malesherbes, 1924. A côté de l’appartement se trouve un atelier où une équipe de couturières réalise les projets de décoration intérieure et d’accessoires de mode de l’artiste. Dans son art comme dans sa vie, Sonia Delaunay n’a pas de frontières. Robert + Sonia = amour coloré A Paris passent beaucoup d’artistes russes. Sonia Delaunay dans son atelier du boulevard Malesherbes – Photo : Estate Germaine Krull, Museum Folkwang, Essen / BNF Charles naît en janvier 1911, dans leur atelier de la rue des Grands-Augustins. Lignes épurées, orientalisme évacué 1967 : première rétrospective J'aime :
La fibre de lait, nouvel ingrédient de la mode éthique Les robes fashions de la marque Mademoiselle Chi Chi sont confectionnées à partir de fibre de lait Loin des préjugés, il devient de plus en plus possible de concilier mode et respect de l’environnement. Les vêtements éthiques s’invitent désormais sur les podiums des capitales de la mode et les stylistes trouvent de nouveaux moyens pour apporter leur patte verte, entre robes capables de purifier l’air et accessoires de luxe conçus à partir de lances d’incendie recyclées. Il existe aussi, on le sait, tout un florilège de tissus écologiques, mais s’il était une matière encore plus eco-friendly que n’importe quel coton bio, chanvre ou bambou? L’idée peut paraître surprenante mais ne date pas d’hier… Fabriqués à base de fibres issues de caséine, la protéine du lait, ces tissus ont vu le jour dans les années 1930. La fibre de lait semble toutefois revenir en grâce. « Nous voyons la fibre de lait comme une alternative au coton. Ses robes en fibre de lait sont légères et agréables au toucher.
Zaha Hadid et le Mobil Art de Chanel s'exposent à l'Institut du Monde Arabe Après Hong Kong, Tokyo et New-York, le Mobil Art de Chanel, OVNI de plus de 600m2 signé par l’architecte Anglo-Iranienne Zaha Hadid, atterri enfin à Paris…et oh bonheur c’est une escale définitive ! Offerte par Chanel à l’Institut du Monde Arabe, la structure qui accueillait initialement une exposition consacrée au célèbre petit sac matelassé de Chanel, sera désormais un lieu dédié aux artistes d’art contemporain des pays Arabes. Inauguré le 28 avril, la structure accueillera jusqu’au 30 octobre 2011 une première exposition consacrée tout naturellement à celle qui l’a conçue, l’architecte Zaha Hadid. Récompensée par le Pritzker Prize (l’équivalent du Prix Nobel de l’architecture) en 2006, il s’agit ici de la première rétrospective de Zaha Hadid en France. Exposition, scénographie, architecture, l’Institut du Monde Arabe propose une expérience totale aux visiteurs. A découvrir rapidement ! Du mardi au vendredi de 10h à 18h et jusqu’à 19 h les week-end et jours fériés ? TARIFS? BILLETTERIE?
Coton, chanvre, bambou… Quel est le textile le plus écologique? Le chanvre reste le textile écologique par excellence. Il est toutefois de plus en plus souvent mélangé au coton et à la soie pour des raisons esthétiques La première matière qui vient à l’esprit lorsque l’on parle de tissus bio est généralement le chanvre. Cette plante possède en effet des vertus écologiques incontestables. Problème : il est difficile de fabriquer des vêtements « décents » élaborés exclusivement à partir de chanvre. Il en résulte inévitablement une baisse de la valeur environnementale du textile, en particulier lorsque le chanvre est mêlé au coton, beaucoup moins écolo. Bien que tout aussi demandeur d’eau que le coton, le bambou a lui aussi la cote auprès des fabricants de mode éthique. Bien que leur usage demeure marginal à l’échelle planétaire, les orties servent également à la confection de tissus écologiques. Crédits photos : flickr - Dave O / Uncleweed
Des écailles de poissons pour remplacer le plastique Erik de Laurens a trouvé une bonne alternative au plastique : il confectionne des objets entièrement conçus à partir d'écailles de poissons Pléthore de produits naturels ont des caractéristiques insoupçonnées ou qui ont été oubliées avec le temps et le développement industriel. L’une des plus célèbres inventions de ce dernier est d’ailleurs devenue un véritable fléau : le plastique. Pratique et résistant – à tel point que, lorsqu’il n’est pas biodégradable, il met des centaines d’années à complètement disparaître -, il est surtout néfaste pour l’environnement (et parfois même pour la santé). Une réalité qui a fini par amener certains pays comme l’Italie à interdire la vente de sacs non-biodégradables et de nombreux Etats à prendre de nouvelles mesures pour encourager le recyclage. Diplômé du Royal College of Art (Grande-Bretagne), Erik de Laurens semble avoir mis le doigt sur une idée de génie. Crédits photos : Knick Flanigan, webflunkie / Joost J.
Pour l'amour du denim français Bien que j’ai toujours porté des jeans, je ne me suis vraiment intéressé au denim que ces dernières années. Je suis loin d’être un expert et mes connaissances en la matière sont encore très limitées mais, au moins, je sais maintenant ce que j’aime et pourquoi, et je peux identifier un jean de qualité. Il faut bien démarrer quelque part, non ? J’ai eu l’occasion de travailler avec un grand nombre de marques qui font de très beaux jeans, et qui sont devenues mes références en la matière. Il s’agit d’une affaire de famille, tout comme Lafont Paris (dont je vous parlais en début de semaine), qui officie depuis plus de 120 ans dans le village de Florac -j’adore la photo du premier magasin ci-dessous. Son fils Jean Alphonse apprend le métier à Nîmes, où il découvre ce qu’on appelle alors la toile de Nîmes, un tissu fait de coton et tissé avec un fil blanc et un fil indigo, que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de denim. Aujourd’hui, Tuff’s propose deux collections. Mot de la fin ?
Jeans Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l'article concernant la toile de coton qui sert à fabriquer les blue-jeans, voir denim. Origines[modifier | modifier le code] Le brevet est accordé en mai 1873[4]. Jacob Davis supervise cette activité de confection de vêtement de travail au sein de l'entreprise Levi Strauss & Co. Bien qu'une partie de la production soit en d'autres tissus (coutil ou duck canvas), ce sont les modèles en denim de chez Amoskeag, notamment grâce à leur couture en double X, qui assurent une réputation de solidité de la marque dans la dernière décennie du XIXe siècle. Ce qui garantit le succès de la collaboration Davis-Levi Strauss, c'est, outre le choix du denim (tissu exclusif à partir de 1860) et le renforcement par des rivets, le fait d'avoir privilégié le pantalon, et non, comme la concurrence, la salopette. Évolution et chronologie[modifier | modifier le code] Agencement des poches et des rivets en cuivre caractéristiques du jean