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Chevalerie de chevalier

Chevalerie de chevalier
Institution militaire féodale qui rassemblait les combattants à cheval, puis les nobles, et à laquelle on accédait par la cérémonie de l'adoubement ; corps des chevaliers, cavalerie noble. La chevalerie est apparue en Occident, à la fin du xe siècle, comme une catégorie sociale rassemblant les spécialistes du combat à cheval. Les contours juridiques de la chevalerie se sont précisés peu à peu ; son prestige s'est accru, au point qu'elle s'est confondue, à des époques diverses selon les pays, avec la noblesse. Elle forme alors une caste héréditaire qui obéit aux prescriptions d'une morale spécifique que véhicule la littérature courtoise et épique. Origines de la chevalerie Les ordres antiques En Grèce, et à Athènes en particulier, les hippeis – terme que l'on peut traduire indifféremment par cavaliers ou chevaliers – sont des citoyens assez riches pour pouvoir entretenir et équiper, à leurs frais, un cheval de guerre. Les cavaliers carolingiens La constitution d'un ordre Le chevalier L'écuyer

http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/chevalerie/33215

Chevalier (Moyen Âge) « Chevalier (Moyen Âge) » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior Armure du chevalier et de sa monture Attention, à ne pas confondre ! Chevalerie du Moyen Âge Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot chevalerie est un dérivé du mot cheval, lui-même du bas latin caballus, « mauvais cheval » (à distinguer du latin classique equus), dont les mots « cavalerie » et « cavalier » sont aussi dérivés. Le terme sous-entend une forte distinction entre les chevaliers, combattants professionnels d'élite montés à cheval, et les paysans et les bourgeois, souvent considérés comme médiocres combattants, qui fournissaient la masse de l'infanterie, et, plus tard, de l'artillerie. Historique[modifier | modifier le code] Parallèlement, le titre de chevalier se banalisait, étant acquis, moyennant finances, par les bourgeois enrichis des villes devenues prospères, et ne devenait plus guère qu’un terme honorifique. Cependant, à la même époque apparaissaient les ordres de chevalerie au rôle essentiellement politique.

La légende du roi Arthur Dans le roman de Cligès, Chrétien de Troyes fait un éloge appuyé de la cour d'Arthur en inventant un personnage, le jeune Alexandre, fils de l’empereur de Grèce, qui demande à son père de le laisser aller en Occident au service d’Arthur "en terre étrangère pour voir le roi et les barons dont le renom de courtoisie et de prouesse est si grand" [vv. 138-141]. Le jeune homme ne veut pas devenir chevalier dans son pays, mais auprès d’Arthur afin de faire partie de la plus célèbre chevalerie du monde. Ainsi des chevaliers venus de tous pays, attirés par la largesse du souverain et la gloire de sa cour, se rassemblent autour d'Arthur, à la recherche d’un idéal chevaleresque inégalé.

Histoire de la littérature française des origines à nos jours La chevalerie est une caste supérieure de guerriers au code moral très strict, et se donnant pour mission de protéger la veuve et l’orphelin. Au cours du XIe siècle, dans tout l’Occident chrétien, se développe une nouvelle classe sociale, celle des chevaliers. En fait, pour être juste, on devrait dire la caste des chevaliers, car les chevaliers n’ont jamais fait partie de la grande classification qui va de soi au Moyen Âge parce qu’au départ, ils sont recrutés dans toutes les classes. Ils sont d’abord et avant tout des spécialistes de la guerre, rassemblés autour des maîtres du pouvoir, les aidant à défendre le territoire et à maintenir la paix. La guerre au XIIe siècle n’est pas seulement une lutte opposant deux peuples, comme c’est souvent le cas aujourd’hui.

Légendes médiévales Dans la littérature du Moyen-Age apparait petit à petit le mythe de la Quête du Saint-Graal, et les légendes des chevaliers de la table ronde, de Merlin l'enchanteur et du roi Arthur. Arthurien Chrétien de Troyes immortalisera le cycle du héros arthurien. mythe ou réalité?: L'idéal chevaleresque Après avoir survolé l'histoire de la chevalerie, nous allons maintenant tenter de définir l'idéal chevaleresque du XIIe siècle en nous basant sur les œuvres de Chrétien de Troyes. Motet du codex de Montpellier, bel exemple de fin'amor Pourquoi Chrétien de Troyes? Si nous avons choisi ses romans comme socle pour notre étude, ce n'est pas un hasard. N’était pas Chevalier qui veut ! N’était pas chevalier qui veut ! Par contre, les personnes de petite naissance pouvaient aspirer à la chevalerie même s’il était peu fréquentqu’un paysan soit adoubé. La majorité des Chevaliers étaient nobles, ou fils de Chevalier. Pour devenir chevalier, un personnage se doit d’être au service d’un seigneur, d’un noble, d’un ordre ou d’une cause juste. Le chevalier doit toujours placer l’honneur, la bravoure et l’abnégation de soi avant toutes autres valeurs et doit adhérer à un code de chevalerie Tout chevalier avait droit de sacrer autant d’hommes qu’il le désirait.

Comment devenait-on chevalier au Moyen Âge ? Le chevalier au Moyen Âge est souvent d'ascendance noble, mais il arrive qu'il soit également chevalier paysan. Dans ce cas précis, il ne partage pas la maison de son seigneur, mais il vit alors avec d'autres chevaliers. Pour l'un comme pour l'autre, on ne naît pas chevalier, on le devient.

Les chevaliers…

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