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Picasso and Dance. Parade, 1917

Picasso and Dance. Parade, 1917

Danser sa vie - Dossier pédagogique Robert Morris, Site, 1963 Performance au Surplus Dance Theater, Stage 73, New York, 1963 Danseurs : Carolee Schneemann et Robert Morris Film 16 mm, noir et blanc, sonore, 18’30” L’exposition : une approche inédite de l’art moderne et contemporainL’art du corps en mouvement Les artistes plasticiens ont souvent réalisé des décors, fonds de scène, rideaux ou costumes, pour des chorégraphes. Les danseurs et danseuses ont servi de modèles aux peintres et aux sculpteurs, aboutissant à de magnifiques portraits. En parallèle à l’exposition, venant enrichir son versant contemporain, une programmation de Spectacles vivants est proposée, couvrant une large palette d’approches du corps en mouvement (Meg Stuart, Maria La Ribot, Olga de Soto, Myriam Gourfink, Herman Diephuis…), ainsi qu’une nouvelle édition de la manifestation Vidéodanse, un programme de conférences et des cycles cinématographiques : Prospectif Cinéma et Vidéo et après. Isadora Duncan (1877-1927) Antoine Bourdelle (1861-1929) Anonyme.

L'instrumenterie objets et instruments en musique Il était une fois l’Instrumenterie…. Il y a fort fort longtemps les casseroles servaient à cuire la potée, les fers à repasser et les chaises à s’asseoir…. Mais ça c’était avant!!! Avant que la compagnie des Petits Détournements ne s’amuse avec cette création originale à détourner des objets du quotidien et instruments de musique abandonnés et délaissés pour permettre à tout un chacun de les laisser chanter et nous enchanter. Avec les sculptures musicales on crée des sonorités surprenantes : en appuyant sur une louche on découvre le son du bouteillophone, en actionnant le soufflet on entend chanter le piano…Chacun y va de son coup de patte tantôt batteur des Pink Floyd tantôt joueur de musette , l’Instrumenterie offre à tous la possibilité d’explorer ses talents musicaux, de trouver le bon rythme, d’écouter son voisin, de valser avec le solfège, de créer un tube de l’été avec des tuyaux… De la musique pour tous les âges…. toutes les tailles…. toutes les mains et les oreilles

L’art et la danse, quelle explosion de joie ! | Canal Académies Ce n’est pas une exposition, mais une explosion de joies et de talents, que nous présente le Centre Georges Pompidou sur le thème de l’art et la danse de 1900 à nos jours. Dans sa présentation, Alfred Pacquement la situe dans une nouvelle approche de la création artistique du XX e siècle, non plus chronologique mais « transversale ». Après Le mouvement des images, qui nous laissait percevoir une relecture de l’art moderne à travers le prisme du cinéma, et Les Traces du sacré, ou la beauté des œuvres ne laissait pas toujours suivre le fil conducteur du sacré, Danser sa vie apparaît comme un véritable feu d’artifice. Le premier mouvement éclate comme une sonnerie de trompette, avec La Danse d’Henri Matisse, les trois panneaux de 1931-1933, ceux de la Danse dite de Paris, qui ne répondaient pas exactement aux dimensions imposées par l’accrochage voulu par les mesures de la fondation Barnes. De leur coté les chorégraphes ont suivi l’évolution de l’art contemporain. Jacques-Louis BINET

Jacques mixe une "Phonochose" avec des objets de la vie de tous les jours - Les Inrocks : magazine et actualité culturelle en continu Jacques, un prénom et un visage à retenir dans la musique française de 2016. Cette vidéo de Jacques défonce avec une marge déconcertante tout ce que vous pourre voir ou écouter aujourd'hui. En milieu de semaine dernière, le musicien a mis en ligne une séquence d'images et de sons qui rend parfaitement compte de son travail de composition. Signé sur la label Pains Surprises, Jacques propose une musique électronique structurée par l'utilisation d'objets du quotidien comme une balle de ping-pong, un stylo quatre couleurs, un Polaroid ou un globe terrestre. Vous pouvez le voir concrétiser son inspiration avec les objets qui l'entourent dans la très cool "Phonochose" qui suit, réalisée par Théophile Boutin. Et pour découvrir l'artiste plus en profondeur, vous pouvez lire l'entretien qu'il nous avait accordé l'été dernier dans lequel il expliquait les origines de sa passion. «Je n’ai pas de formation, j’en parle dans ma conférence TED (disponible ci-dessous – ndlr).

Les ballets russes Les Ballets russes sont une compagnie d’opéra et de danse, créée par Serge de Diaghilev en 1907, installée entre Paris, Monte-Carlo et Londres. En 1916, Jean Cocteau, un cinéaste et dramaturge français, proche de Picasso, qui travaille avec Diaghilev, introduit le directeur de compagnie auprès du peintre. Le but est de les faire collaborer sur son nouveau projet : monter le spectacle « Parade », avec une musique composée par le pianiste Erik Satie. Initiée par Cocteau, « Parade » est conçue autour du livret du ballet Le Dieu bleu, de Michel Fokine, danseur et chorégraphe russe. « Parade » met en scène la thématique de la fête foraine, plus particulièrement l’histoire d’une troupe de cirque itinérant dans laquelle trois artistes exécutent un aperçu de leur spectacle.

L’Orchestre des Objets Trouvés joue sa symphonie du quotidien à l’Olympia Reportage : J-L.Serra / N.Loncarevic / S.Fouquet / N.Gallet La musique peut naître de n'importe quoi Il y a de la poésie dans cet Orchestre des Objets Trouvés. Pendant 20 ans, le groupe britannique créé en 1991 à Brighton, s’est spécialisé dans les percussions. Un Orchestre Symphonique 100% récup' Aujourd’hui les fondateurs du groupe, Luke Cresswell et Steve McNicholas, vont plus loin avec la création d'un Orchestre symphonique 100% récup' ! Dans la section cordes, les scies deviennent violons, le caisson de lit mute en harpe, des canalisations coiffées d’un ballon de baudruche se transforment en étonnants "squonkaphones", et que dire de ce magnifique marimba composé de 24 bouteilles aux sons tous différents ! Au total 60 musiciens et comédiens composent cet orchestre anarchique qui devrait séduire à la fois les amoureux de musique et les amateurs de théâtre gestuel. L'Orchestre des Objets trouvés est à l'Olympia jusqu'au 20 mars.

The Nelsonian The Nelsonian is a 32-piece One-Man Band contraption, that Albert Nelson (1884-1964) designed, built and played. Nelson began building the device in 1915, because the Cello player in his band would often fail to show up. This led him to invent a device, that would allow him to play the Violin and Cello at the same time. His work on the machine concluded in 1957, when he added the 32nd and final instrument. The Nelsonian was a featured exhibit at Ripley's Believe it Or Not Odditorium during the 1933 World Fair in Chicago, Illinois. Albert Nelson was born November 14, 1884. As an adult, Albert learned photography from his brother and started his own studio in Wheaton, Minnesota. Albert left and moved to Buffalo, Minnesota and started another photography studio. In February 1962 Ida died. The Nelsonian is on permanent display in the Wright County Heritage Center, located at Buffalo, Minnesota. The Nelsonian traveled to the 1933 World’s Fair in Chicago. The Machine[edit] References[edit]

Nelsonian, The (32-piece one-man band) - Buffalo, MN - U.S. National Register of Historic Places on Waymarking.com Nelsonian, The (32-piece one-man band) - Buffalo, MN Posted by: FSU*Noles Quick Description: This is The Nelsonian, a 32-piece one-man band that is listed on the National Register of Historic Places as Object #79003918. Location: Minnesota, United States Date Posted: 5/21/2008 9:03:50 AM Waymark Code: WM3VEN Views: 34 Long Description:The Nelsonian, also known as the “Mighty Nelsonian” is an imposing 32-piece one-man band machine invented and constructed by Albert Nelson. Visit Instructions:Please give the date and brief account of your visit. Recent Visits/Logs: Historique - Les petits détournements La compagnie de cirque Les Petits Détournements est née en septembre 2008. Elle propose des spectacles autour de la jonglerie, de la manipulation d’objets, des acrobaties, de la magie, de la voltige aérienne et de la musique en live. A l’origine créee par Gaël Lefeuvre et Francis Thévenin, elle compte aujourd’hui jusqu’à 6 artistes évoluant sur les différents spectacles de celle-ci. Les artistes travaillant au sein de cette compagnie sont tous issus ou passés par l’école de cirque « Arc en Cirque » à Chambéry (formation professionnelle aux métiers des arts du cirque). > Détourner les objets, les musiques et les univers : Détourner les objets de la vie quotidienne, pour les sortir de leurs usages habituels et pour les utiliser de façon extraordinaire. > Détourner la musique ensuite : La compagnie puise son inspiration musicale dans la musique traditionnelle de tous les pays. > Détourner les univers enfin :

Sébastopol, l'homme orchestre - Chercheurs de sons Je sais, je sais, je vous préviens bien tardivement, la Fête de la Musique a lieu aujourd'hui même et ça vous laisse peu de temps pour venir à Arles. Mais en vous dépêchant, vous arriverez juste à temps pour voir et entendre Sébastopol, l'homme orchestre, invité de la Médiathèque d'Arles. Ce n'est pas souvent qu'on a la chance de découvrir un one man band de cette pointure, alors, pour tous ceux qui seraient par là, petit état des festivités à venir : à 17h, première prestation dans la rue de la République devant le Museon Arlaten, suivie à partir de 18h d'un concert-rencontre à la Médiathèque, Place Félix Rey. Pour ceux qui ne le connaîtraient pas déjà, Sébastopol est un homme-orchestre qui s'inscrit dans la grande tradition des one man band américains. Il s'est intéressé en particulier au travail de collectage effectué par Alan Lomax fils pour les archives sonores de la Bibliothèque du Congrès dans les années 50 auprès de différentes communautés.

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