Pourquoi le modèle économique du logiciel libre est mûr Alors qu'il fête aujourd'hui son 25ème anniversaire, le logiciel libre est devenu un véritable marché, avec un chiffre d'affaires de 3 milliards d'euros en France. Il s'appuie désormais sur un modèle économique solide, façonné par les noms de l'industrie IT, depuis IBM jusqu'à Google et, maintenant, en passant par Microsoft. Dossier réalisé en collaboration avec En ce mois de février 2011, le logiciel libre fête son 25ème anniversaire. Et depuis l'apparition du terme « open source » en 1998, les deux notions sont elles aussi utilisées comme des synonymes, alors que l'open source est avant tout un projet technologique. Ces différentes concurrences font que le logiciel libre n'était toujours pas considéré comme un marché au début des années 2000. En 2004, on voit ainsi naître en France l'Association des Sociétés de Services en Logiciels Libres (ASS2L), qui devient dès 2007 la Fédération Nationale de l'Industrie du Logiciel Libre. Ce phénomène pourrait être appelé « la cohabitation »...
L'économie du logiciel libre On réduit souvent le logiciel libre à son caractère gratuit, c'est beaucoup plus que cela. L'essor du logiciel libre permet le développement de nouveaux modèles économiques. Comme nous le rappelle la FSF, rien n'interdit de vendre un logiciel libre mais les libertés fondamentales du logiciel libre inscrites dans leurs licences rendent caduque toute tentative de spéculation sur ces produits. Pour autant le développement des logiciels libres a un coût : de nombreux développeurs s'impliquent de manière bénévole mais leur temps limité, c'est donc une denrée rare et précieuse. Financer le développement d'un logiciel libre avec de l'argent public constitue un investissement très intéressant. La promotion du logiciel libre sur un territoire permet d'encourager l'émergence d'un tissu économique basé sur les services. L'April a publié un livre blanc sur Les modèles économiques du Logiciel Libre. Voir aussi Y a t-il une économie du libre ?
"Le support, modèle économique du logiciel libre ?" 11 open source business models Critics are always claiming open source lacks a business model. (Let's Make a Deal is back on TV, on CBS, starring Wayne Brady as Monty Hall. Cross-promotion is a great old business model, don't you think?) In fact it's proprietary software that is lacking in imagination. They have only one business model: EULA Ware -- Give me money. This has the virtue of simplicity. Telling people to pay you and go away worked for an amazingly long time. Open source companies, on the other hand, they have to use their imagination. Support Ware -- Pay us money and we'll support the software. The great thing about open source is you don't have to use just one business model. Or maybe you don't see your business model here. This is what freedom is about. Then you can tell them to go away.
Un business model pour le logiciel libre? Non, plein Il y a quelques jours, un article du New York Times sur MySQL émettait des doutes sur la possibilité d'un modèle économique pour l'open source. L'article citait Red Hat comme «un cas rare». Outre que l'illusion que puisse naître (ou aurait pu naître, l'auteur concluant qu'une fenêtre a été manquée il y a quelques années) un géant du logiciel libre équivalent à des Microsoft ou Google est en soi discutable, et qu'on peut douter que des logiciels libres puissent ni doivent naître d'autres empires économiques, il m'a semblé avoir croisé, au fil des ans, des entreprises – certes pas gigantesques – et des personnes qui vivent uniquement ou principalement d'open source. Le papier du quotidien américain arrive un peu après la bataille, si on se souvient qu'en mai dernier, le très capitaliste hebdomadaire anglais The Economist écrivait: «Le débat a été remporté. PS comme l'auront remarqué certains lecteurs, ce blog a été un peu délaissé ces derniers temps, suite à un souci de santé.
Livre blanc sur les modèles économiques du logiciel libre L'April a publié en décembre 2007 un livre blanc des modèles économiques du Logiciel Libre, réalisé par des entreprises membres de l'association. Représentatifs de tout l'écosystème, éditeurs, consultants, SSLL, sociétés de service, industriels et utilisateurs s'y sont réunis pour recenser et expliquer les modèles économiques du Logiciel Libre. Ils expliquent pourquoi ces modèles, où édition et service se mêlent dans des modèles hybrides, répondent mieux aux attentes des entreprises. Enfin ils esquissent les évolutions possibles de ces modèles. Livre blanc sur les modèles économiques du logiciel libre Ce livre blanc est diffusé selon les termes de la Licence GNU Free Documentation License, version 1.2 ou ultérieure publiée par la Free Software Foundation. La rédaction de ce livre blanc a été coordonnée par Jean-Noël de Galzain de la société Wallix. La traduction en anglais a été réalisée par le groupe de travail Traductions, notamment par José Fournier et Marc Chauvet.
Le modèle économique du libre n’est-il qu’une chimère? Suite à mon article sur les 10 raisons de choisir Linux…ou pas, on m’a reproché le point “Linux est gratuit (du moins majoritairement)”. En effet, il balaie les efforts que font nombre de libristes pour justifier que libre ne signifie pas gratuit et surtout il enterre ceux fait pour encourager les dons pour soutenir les projets libres. Je profite donc de cette occasion pour exprimer mon sentiment au sujet du modèle économique du logiciel Libre. Commençons pas le commencement, bien que je ne sois en rien un expert en la matière, plus j’y réfléchis et plus je constate la précarité du modèle économique du libre. Je m’explique. Si de grands groupes open-sources comme Mozilla sont capables de bien vivre et ont un bilan financier solide, soyons honnête, la majorité des petits acteurs du libre n’en tirent qu’un seul bénéfice : la gloire (ahah je me gausse!!). Free is not free… but we are not stupides Donnez, donnez, donnez, donnez moiiiiiiiiii! Malheureusement, le français ne donne pas.
The 10 oldest, significant open-source programs Today, open-source software is everywhere but many peple still think of it as being relatively new. It's not. Open-source software actually goes back decades. Before beginning our journey in the way-back machine though we should go over our terminology. Both concepts were actually used long before proprietary software showed up. For my list, I also decided to skip numerous small programs, such as those in the NASA COSMIC software collection. So, with no further adieu, from the most recent to the oldest, here's my list of older significant open-source projects. 1) Linux: August 25, 1991 There were thousands of open-source programs before Linus Torvalds wrote "I'm doing a (free) operating system (just a hobby, won't be big and professional like gnu) for 386(486) AT clones." to the Minix Usenet group and unknowingly started the operating system juggernaut that became Linux. Gallery: The 20 most significant events in Linux's 20-year history 2) Python: February 20, 1991 6) GNU Emacs: 1984
FTA - The concepts of Free Software and Open Standards | FTA - Free Technology Academy Introduction to Free Software Authors: Jesús M. González-Barahona, Joaquín Seoane Pascual, Gregorio RoblesCoordinators: Jordi Mas Hernández, David Megías JiménezLicenses: GNU Free Documentation License, Creative Commons Attribute ShareAlike LicenseInformation: 291 Pages; 3.2Mb Free software is increasing its presence in mainstream media and in debates among IT professionals, but it is still unknown for many people. And even those who are familiar with it lack specific knowledge in some important areas. What is free software? Evolution of this book The FTA has reused existing course materials from the Universitat Oberta de Catalunya and that had been developed together with LibreSoft staff from the Universidad Rey Juan Carlos. Translations This material can be found in the following languages: Note that the materials in different languages might have minor differences between the different version. Feedback and comments
Liberté pour les utilisateurs, pas pour les logiciels, par Benjamin Mako Hill Un article fort intéressant de Benjamin Mako Hill (que nous traduisons souvent) qui apporte un éclairage nouveau à la différence importante entre « logiciel libre » et « open source ». C’est bien la question de la liberté des utilisateurs qui est fondamentale ici. À mesure que la technologie avance et que de plus en plus de domaines expérimentent « le Libre », elle rejoint tout simplement la liberté des citoyens… Remarque : C’est d’ailleurs pourquoi nous regrettons « l’abus d’open source » dans les premiers États Généraux de l’Open Source qui se déroulent actuellement à Paris (cf ce tweet ironique). Liberté pour les utilisateurs, pas pour les logiciels Freedom for Users, Not for Software Benjamin Mako Hill - 23 octobre 2011 - Blog personnel(Traduction : Munto, VifArgent, aKa, KarmaSama, Lycoris, aaron, PeupleLa, bruno + anonymous) Stallman est informaticien. À la fin des années 90, un groupe de passionnés de logiciels libres a suggéré un nouveau terme : « open source ».