Réchauffement climatique : l'humanité est dans une posture "suicidaire"
Les scientifiques et délégations des pays membres doivent désormais débattre et adopter, en vue de sa publication le 12 avril, un "résumé pour décideurs". Avec pour objectif les futurs accords de Paris en 2015. Mais que peut-on en espérer devant ce qui semble être une indifférence globale au problème. Quand ce n'est pas sa négation pure et simple. Sud Ouest. Pierre Rabhi. Vous pensez quil nest pas trop tard pour intervenir sur lenvironnement, pour retrouver cet équilibre nécessaire entre activité humaine et respect de la nature ? Le destin humain a toujours oscillé ainsi entre « il nest jamais trop tard » et « il est trop tard ». C'est notre destinée tragique. La société sest construite sur lillusion que les ressources naturelles sont infinies... C'est exact. Nous nous portons atteinte à nous-mêmes à travers la nature car nous avons oublié que la nature, cest nous. Le Giec énumère un certain nombre de mesures à prendre pour ralentir limpact des gaz à effets de serre.
La NASA résume 60 ans d'évolution climatique en 15 secondes
Sur les 20 millions de titres à l’écoute que compte Spotify, près de quatre millions d’entre eux n’ont jamais été écoutés par les utilisateurs. Pour éviter que ces morceaux tombent dans l’oubli, le site Forgotify propose de les découvrir. Le site se résume très bien grâce à la phrase présente sur sa page d’accueil : « 4 millions de chansons sur Spotify n’ont jamais été jouées. Cette initiative est d’autant plus intéressante qu’elle survient quelques mois après une étude de Spotify sur son propre service, montrant justement que près d’un morceau sur 5 n’avait jamais été écouté.
Le réchauffement climatique vu de l'espace
L'humanité doit se préparer à un monde différent, bercé par un climat plus chaud. Les données transmises par les satellites jouent un rôle capital dans l'étude scientifique du réchauffement climatique : la qualité et la quantité de données produites depuis l'espace ne cesse d'augmenter. Si le débat se recentre aujourd'hui sur la part de responsabilité des activités humaines dans le réchauffement de la planète, c'est bien que celui-ci ne fait pratiquement plus de doute et qu'il pourrait bien être pire que prévu. Pour en discuter, le CNES a donc invité le climatologue Jean Jouzelet Yann Kerr, directeur du Centre d’Études Spatiales de la Biosphère, rendez-vous le 20 mai à 19h30 au Café du Pont-Neuf à Paris. Le satellite SMOS participe à la prévention des cyclones. Le réchauffement climatique ne fait plus de doute, ses premiers effets peuvent difficilement être remis en question. Puisque nous sommes tous concernés, le sujet mérite qu'on prenne de la hauteur, tout en restant terre à terre.
Climate change report: 'The worst is yet to come' – as it happened | Environment
The Australian environment minister, Greg Hunt, has told the Guardian the IPCC report "reinforces the government's support for the science and the need to take action to combat climate change." "Australia is committed to addressing the challenges through direct and practical policy measures. This includes reducing emissions by five percent from 2000 levels by 2020. Central to achieving this is the creation of the Emissions Reduction Fund," said Hunt. "The five percent target represents serious action and is comparable with the action being taken by other countries when compared using 2005 as the benchmark starting point." Hunt also maintained the government's argument that Australia's carbon tax does not work and needs to be repealed.The federal government has twice now had a bill to repeal Australia's carbon tax blocked in the Senate. Shadow Minister for Climate Change Mark Butler said the government is making the wrong choices.
Changement climatique: une stratégie à revoir
Les émissions de CO2 par les producteurs d'électricité continuent d'augmenter alors que la production d'électricité d'origine renouvelable progresse. La principale raison pour laquelle les pouvoirs publics versent d'importantes subventions aux énergies renouvelables est pourtant que l'augmentation des énergies renouvelables devrait mécaniquement entraîner la diminution des émissions polluantes. Alors, comment expliquer ce paradoxe? Quelles politiques publiques faut-il mettre en œuvre pour réduire les émissions de CO2 à moindre coût pour la collectivité ? L'augmentation simultanée des MWh renouvelables et des tonnes de CO2 par MWh Au cours des années récentes, le parc de production électrique à partir de ressources renouvelables installé en Europe a littéralement explosé : le parc éolien est passé de 13 GW en 2000 à 106 GW en 2012, et le parc photovoltaïque de moins de 1 GW à 62 GW sur la même période. Le prix du gaz, le prix du charbon et les coûts environnementaux
Cinq choses à savoir sur l'alarmant rapport du Giec
Plus de sécheresses et moins d’eau : Plus le climat se réchauffera, plus le nombre d’humains frappés par une pénurie d’eau sera élevé, exposent les chercheurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec). Dans la plupart des régions subtropicales, les cours d’eau, les lacs et les mers ainsi que les nappes phréatiques verront leur niveau diminuer. Moins de nourriture : Le réchauffement climatique est déjà en œuvre et ses effets palpables sur les récoltes. Plus de maladies : Jusqu’au milieu du siècle, les fléaux sanitaires devraient progresser, surtout dans les pays en développement. Des humains qui bougent ou se battent : Lorsque les populations viendront à manquer de ressources ou seront touchées par des phénomènes climatiques extrêmes… elles se déplaceront, souligne le Giec. « La migration peut aussi être une stratégie d’adaptation efficace », précise le texte pour décideurs – la version condensée du rapport. Une économie en berne :
Nouveau rapport alarmant du GIEC sur le réchauffement climatique
Le deuxième volet du nouveau rapport du groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat assombrit encore un peu plus les perspectives de la planète au XXIe siècle. Sécheresses, inondations, maladies, migrations, pénuries alimentaires, risques de conflit, etc. : le deuxième volet du cinquième rapport du groupe intergouvernemental d'experts de l'ONU sur l'évolution du climat (GIEC), publié lundi 31 mars, recense les impacts déjà observables du changement climatique. Selon ce texte du GIEC, résultat d'un immense travail de lecture et de compilation de douze mille publications scientifiques, le changement climatique a eu ces dernières décennies des impacts « sur tous les continents et dans les océans », essentiellement sur les systèmes naturels. Dans de nombreuses régions, le changement dans les régimes de précipitations et la fonte des neiges et des glaciers ont modifié les systèmes hydrauliques, « affectant les ressources en eau en quantité et en qualité ».
Boycotter l'industrie pétrolière, « ennemi numéro un de la survie de notre civilisation »
Les émissions de gaz à effet de serre augmentent à un rythme sans précédent, affirme le rapport du GIEC publié le 13 avril. L’urgence est telle que l’Onu pointe la responsabilité de l’industrie pétrolière et gazière. L’ancien prix Nobel de la Paix, l’archevêque sud-africain Desmond Tutu, appelle même à boycotter les industries fossiles, en s’inspirant du boycott contre l’Apartheid. Des fonds d’investissement commencent à se retirer des compagnies pétrolières, sur fond de mobilisations aux États-Unis contre la construction de pipelines ou en Europe contre l’exploitation des hydrocarbures de schiste. La France suivra t-elle le mouvement ? Le constat dressé par les deux derniers rapports récemment publiés [1] par le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) sont sans appel. 90 entreprises principalement responsables Christiana Figueres a donc décidé d’interpeler directement ceux qui peuvent être jugés comme les principaux responsables du réchauffement.