La com, un monstre doux Bonjour à toutes et à tous ! Bonjour Marie-Christine ! 10 ans ... un tour du monde ... à la voile ... 10 ans ... Je vous "envie" ... 10 ans ... sans "travailler", vous êtes sans doute bien dotée ... - "richement" dotée ? Je vous "envie" ... et je ne suis sans doute pas seul ... Et puis, je ne vous "envie" pas, car moi aussi, "là-bas", j’y ai été, et ai connu le dépaysement, quelques années, en Afrique de l’Est... mais sur terre. De sorte que je ne peux pas procéder au même naif "embellissement" que vous, bien au contraire : je comprends trop bien ce que ressentent les gens en France - la même chose que ce que ressentent les gens en Afrique de l’Est... Alors si, pour certains humains, la tendance à ignorer tout ceci est un fait, ou un choix, que ceux-ci daignent bien laisser aux autres le choix de ne pas accepter qu’on leur enlève, petit à petit, le droit de vivre et d’espérer pour eux et leurs proches la justice ... Voilà peut-être ce que M. Cordialement Ludo
Des chercheurs découvrent un point de basculement dans l’adoption d’idées Un point de basculement sociologique ou tipping point en anglais est le moment à partir duquel le comportement ou une conviction d’un groupe de personnes finit par être adopté par plus de la moitié de la population. Des chercheurs à l’Institut Polytechnique de Rensselaer aux Etats-Unis ont découvert que le point critique de basculement pour l’adoption d’idées se situait à 10%. Cela veut dire que quand plus de 10% de la population est convaincu qu’une idée est la bonne, l’adoption par la majorité de la société (+ de 50%) se fait en un temps record. Deux bons exemples sont les renversements des gouvernements tunisien et egyptien. Dans le cas contraire, lorsque moins de 10% adopte un comportement ou une idée, l’adoption de masse par au moins 50% de la société ne se fera jamais ou bien seulement après des siècles et des siècles…
Expérience de Rosenhan L'étude de Rosenhan est composée de deux parties. La première implique la participation d'associés en bonne santé mentale, les « pseudo-patients », qui simulent des hallucinations auditives brèves dans le but d'être admis dans douze hôpitaux psychiatriques des États-Unis, répartis dans cinq États différents du pays. Ils ont tous été admis et reconnus souffrant de désordres psychiatriques. La seconde partie consiste à demander au personnel d'un hôpital psychiatrique d'identifier de faux patients dans un groupe qui n'en comporte pas. Les pseudo-patients[modifier | modifier le code] Rosenhan et sept associés en bonne santé mentale, appelés les « pseudo-patients », ont tenté de se faire admettre dans un hôpital psychiatrique en appelant pour prendre un rendez-vous, et en feignant des hallucinations auditives. Chaque pseudo-patient prenait ouvertement de nombreuses notes sur le comportement du personnel et sur les autres patients. — David Rosenhan, The Trap, BBC Maurice K.
« On m’a dit que… il paraîtrait que, si j’en crois la rumeur sur France Culture » … « On m’a dit que… il paraîtrait que, si j’en crois la rumeur sur France Culture » … Retour sur un rendez-vous radiophonique en date du 7 Septembre 2011. Par Hervé, publié en commentaire R-News le 17 décembre 2012 Bruit de fond et causeries au coin du feu à France Culture pour l’anniversaire décennal des attentats du 11 septembre 2001. Se référer aux faits objectifs survenus le jour fatidique du 11 septembre 2001 ? Ecoutons la rumeur de France Culture et buvons comme du petit lait « les histoires nées des cendres des attentats du 11-Septembre » par le biais de « la sociologie des croyances urbaines ». Mieux vaut dès lors et dès le début de l’émission, affirmer une rationalité limitée et capituler en rase campagne afin de mieux axer sa réflexion personnelle sur cette étrange histoire apparue en 1987. Une fois de plus l’auditeur distrait par autant de digressions, aura fini par comprendre qu’on aura voulu l’accompagner en lui tenant gentiment la main. En lien avec cet article :
Expérience de Stanford L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés de manière ostensiblement aléatoire. Les problèmes éthiques soulevés par cette expérience la rapprochent de l'expérience de Milgram, menée en 1963 à l'Université Yale par Stanley Milgram.
Expérience de Milgram Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne. L’expérience de Milgram est une étude de psychologie sociale menée par Stanley Milgram en 1963. Elle a pour but d’étudier le comportement humain face à l’autorité et la soumission à celle-ci, et consiste à tester la capacité des individus à obéir, même si cela implique d’infliger des souffrances à autrui. L'expérience a suscité de nombreux commentaires dans l’opinion publique, ainsi que dans le milieu de la psychologie et de la philosophie des sciences, et a inspiré de nombreuses œuvres de fiction ou de télévision. Déroulement de l'expérience[modifier | modifier le code] La majorité des variantes de l'expérience a lieu dans les locaux de l'université Yale (New Haven, Connecticut). un élève (learner), qui s'efforce de mémoriser des listes de mots et reçoit une décharge électrique en cas d'erreur ;un enseignant (teacher), qui dicte les mots à l'élève et vérifie les réponses.
Naissance de la première Amip (Association pour le Maintien de l'Information Progressiste) Je fais de la pub pour une petite association dont je suis membre depuis peu, parce qu’elle vient d’être créée à Lille en s’inspirant du modèle des Amap, sous la houlette de mon ami Gilles Balbastre, coréalisateur du film « Les nouveaux chiens de garde ». Son premier projet est, justement, de prolonger ce film, dont le succès a dépassé les espérances, par un documentaire « Nous avons des armes » (d’où son sigle : Nada). Son tournage dépend de contributions de citoyens préfinançant de l’information « bio », « sans aucune trace de libéralisme ni de publicité, sans collusions ni connivences, fabriquée par des journalistes professionnels élevés en liberté, entièrement nourris à l’investigation, attentifs à la maturation complète de leurs enquêtes ». Voici d’abord le site, qui vient juste de démarrer : Vous trouverez à la fin de quoi souscrire ou préacheter un DVD. La suite contient des extraits du site. Nada, 1ère Amip de l’histoire de l’humanité Par Gilles Balbastre
Effet Pygmalion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En pédagogie, l'effet Pygmalion (parfois nommé effet Rosenthal & Jacobson) est une prophétie autoréalisatrice qui désigne l'influence d'hypothèses sur l'évolution scolaire d'un élève et sur les aptitudes de celui-ci. Le problème est d'importance, car si les enfants des milieux défavorisés réussissent moins bien à l'école que les enfants des milieux favorisés, la cause pourrait ne pas être uniquement liée aux carences de ces enfants et de leurs milieux. L'effet Pygmalion est principalement étudié dans le cadre des effets positifs. L'effet inverse est appelé effet Golem : il se traduit par une performance moindre et des objectifs moins élevés sous l'effet d'un potentiel jugé limité par une autorité (parent, professeur, ...)[1]. Origine du nom[modifier | modifier le code] Expérience de Rosenthal & Jacobson[modifier | modifier le code] Rosenthal a découvert l'effet Pygmalion en réalisant l'expérience suivante : Une classe aux États-Unis
Sociologie des organisations Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sociologie des organisations peut se définir comme une branche de la sociologie qui étudie comment les acteurs construisent et coordonnent des activités organisées. Elle peut aussi se définir comme une science sociale qui étudie des entités particulières nommées organisations, ainsi que leurs modes de gouvernance et interactions avec leur environnement, et qui applique les méthodes sociologiques à l'étude de ces entités. Elle est à l'intersection de plusieurs disciplines, dont l'économie des organisations, le management et la théorie des organisations. Sens et enjeux[modifier | modifier le code] Sens du terme organisation en sociologie[modifier | modifier le code] Le terme organisation peut avoir trois sens distincts en sociologie : L'étude des organisations répond alors à une triple exigence : Enjeux[modifier | modifier le code] Les métaphores retenues par Morgan permettent de voir l'organisation : Trois auteurs vont se démarquer.
Le NAIRU, qu'est-ce que c'est ? | Vivre le chômage Vous avez perdu votre emploi ? Avant toute considération individuelle, vous devez impérativement savoir que le chômage est un outil économique précieux et qu'il est, de ce fait, voulu et même planifié. Que le chômage de masse soit un fléau présenté comme un "vilain dragon contre lequel on fait tout" ou, au contraire, comme un choix politique, il n'en demeure pas moins que vous, qui en êtes l'innocente victime qu'on cherche à culpabiliser et qu'on stigmatise en toute occasion, ne devez en aucun cas ignorer le concept du NAIRU, sa face cachée par excellence. Quel animal se cache derrière ce nom barbare ?NAIRU = Non Accelerating Inflation Rate of Unemployment.En français, «taux de chômage non accélérateur d'inflation».Un taux qui repose sur deux piliers fondamentaux : la pression sur le marché de l'emploi par le chômage (qui favorise le gel sinon la baisse des salaires, ainsi que la précarisation et la dérèglementation du travail), et la soi-disant lutte contre l'inflation.
Théorie du développement moral de Kohlberg Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lawrence Kohlberg est un psychologue américain ayant développé à partir de sa thèse de doctorat The Development of Modes of Thinking and Choices in Years 10 to 16 de l'Université de Chicago[1] (1958) un modèle du développement moral par stades, inspiré par le modèle du développement cognitif par paliers d'acquisition de Jean Piaget. Kohlberg développera cette théorie toute sa vie durant, elle sera l'objet de nombreuses discussions en psychologie morale (constituant pendant plus de 30 ans le paradigme de la discipline). Méthode[modifier | modifier le code] Pour déterminer le stade maximal de développement moral atteint par un enfant, Kohlberg pose des dilemmes moraux, dont le but est d'amener le sujet à son maximum de réflexion éthique. « La femme de Heinz est très malade. Ce qui importe pour déterminer le stade moral atteint ce n'est pas la réponse donnée mais le type de justification. Stades préconventionnels[modifier | modifier le code]
Cette perle permet d'en savoir plus sur l'étude américaine dont le film de Gansel est inspiré. L'expérience est une preuve que le retour d'un régime autocratique n'est pas une chose impossible, puisque le professeur Ron Jones a réussi a manipuler une centaine d'élèves en l'espace d'une semaine scolaire. Cet atelier expérimental permet de nous éclairer sur la manière dont Hitler a, lui aussi, réussi à manipuler la totalité du peuple allemand. by cpl_dronfard Mar 11