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Le tournoi medieval à Argenteuil

Le tournoi medieval à Argenteuil
Comment le devenait-on ? Tout jeune, les futurs chevaliers sont envoyés dans un château renommé pour y servir comme page, puis comme écuyer, au service d'un chevalier. C'est leur école de guerre. Dans la salle d'arme du château, ils s'entraînent au combat à l'épée et à la lance surtout. Ils apprennent ensuite à monter à cheval. En plus de l'art de la guerre ils apprennent les bonnes manières, ce que l'on appelle à l'époque la courtoisie. Au Moyen Âge, les tournois étaient des fêtes qui avaient pour but de divertir le peuple et les nobles gens, mais aussi et surtout de permettre aux chevaliers de s'entraîner à la guerre autant à cheval qu'à pied. Il existait en réalité trois sortes de tournoi. - Le premier est le « pas d'arme ». - Le deuxième est la « joute ». - Le dernier, s'appelait le « tournoi ». Le « pas d'arme » était un tournoi où s'affrontaient les chevaliers à pied, en duel, dans un enclos appelé la Lice. Place des dames et de la courtoisie La courtoisie dans les tournois

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armes et armures medievals IMAGE Au 17ème Siècle - Références et Liens Livres de Références " Beaux Arts Magasine " " XVIIe siècle " Collection Littéraire Lagarde & Michard des Éditions Bordas " Dictionnaire Historique " de Dominique Vallaud " Histoire de France " des Éditions Larousse 1954 " Les Contes de Fées " de Charles Perrault " Les Fables " de Jean de La Fontaine " Les Reines de France au temps des Bourbons - Les Femmes du Roi-Soleil " de Simone Bertière " Les Rois de France " des Éditions Atlas " Les Rois de France " de Jean-Philippe Guinle " Mazarin - Le pouvoir et l'argent " de Georges Bordonove " Pierre Bayle - Sa vie, ses idées, son influence, son oeuvre " de Albert Cazes (Éds Dujarric & Cie Paris 1905) " Histoire de la Vie et des Ouvrages de Pierre Corneille " de M. J. Taschereau " Oeuvres de Jean Racine " de Paul Mesnard " Mémoires contenant quelques particularités sur la vie et les oeuvres de Jean Racine " de Louis Racine " L'Insoumise du Roi-Soleil " de Jean-Michel Riou Recherche personnalisée

Les chateaux forts Les tournois de chevaliers Le tournoi constitue l'un des divertissements collectifs les plus répandus au Moyen Age. Le tournoi est apparut au Xème siècles. Le tournoi sont des combats entre plusieurs chevaliers. Les chevaliers y participent pour montrer sa bravoure, son courage au combat. Il existait trois sorte de tournoi : - Le premier est le « pas d'arme ». - Le deuxième est la « joute ». - Le dernier, s'appelait le « tournoi ». 1) Le pas d'arme : Le « pas d'arme » était un tournoi où s'affrontaient des chevaliers à pied dans un enclos appelé la Lice. 2) La joute : La « joute » était pratiqué à cheval où les chevaliers s'élançaient l'un contre l'autre avec leur monture pour désarçonner (mettre bas de la selle) leur adversaire. 3) Les tournois : Le « tournoi » consistait en un affrontement entre deux camps, tout au long de la journée et au fil de plusieurs épreuves dont notamment une mêlée. Les tournois sont à peu près aussi violent qu'une bataille ( une guerre ). Tout les coups sont permis

Les joutes au moyen age La joute L'épreuve la plus spectaculaire était la joute, au cours de laquelle deux adversaires s'affrontaient directement, à pied et à cheval. Le chevalier défiait son rival en touchant de la pointe de l'épée le bouclier suspendu à son pavillon. Les joutes donnaient l'occasion d'admirer de superbes tenues. Descendu dans la lice, le chevalier parait son armure resplendissante, manifestant ses sentiments envers sa dame, à qui l'on dédiait le combat : le chevalier portait au bras, sur la lance, ou autour du cou, un voile ou un mouchoir aux couleurs de celle-ci. Puis la joute commençait. Les joutes sont une symbolisation du moyen age, tant par son coté chevaleresque et courtois que par son coté violent. Le vainqueur recevait non seulement le prix mis en compétition, mais aussi les armes, les chevaux et la personne même du vaincu : celui-ci était considéré comme prisonnier et recouvrait la liberté sous une rançon. Histoire de la joute équestre Les premières joutes. L'équipements Armure joute.

VIDEOS Chronologie du XVIIème Henri IV épouse en deuxième noce, la Florentine Marie de Médicis. Naissance à Madrid d'Anne d'Autriche, Infante d'Espagne, fille du Roi d'Espagne, Phillipe III. Naissance de Louis XIII, premier fils d'Henri IV et de Marie de Médicis. Naissance de peintre Philippe de Champaigne. Naissance de Michel Le Tellier. Après 18 ans de résidence forcée au château d'Usson par Henri IV, la Reine Margot, fille d'Henri II et de Catherine de Médicis et 1ère épouse d'Henri IV, revient sur Paris. L'Union Jack devient le drapeau du Royaume Uni. Richelieu est nommé Évêque de Luçon par Henri IV. Richelieu est sacré Évêque, il n'a pas encore 23 ans. Naissance de Gaston, Duc d'Anjou, frère de Louis XIII. Samuel Champlain fonde la ville du Québec. Naissance d'Henriette de France, soeur de Louis XIII, future Reine d'Angleterre. Galilée découvre les 4 satellites de Jupiter. Sacre à Saint Denis de Marie de Médicis, Reine de France, épouse d'Henri IV. Sacre de Louis XIII à Reims.

Les chateaux forts Histoire - Cinquième Les châteaux au Moyen-Age Pourquoi appelle-t-on les châteaux du Moyen Age des "châteaux forts" ? Le nom de "château fort" est apparu lorsque les châteaux ont cessé d'être utilisés comme des moyens de défense. Dès lors, du point de vue des heureux locataires d'un château "moderne", il était nécessaire d'ajouter un épithète au mot château pour désigner ceux, plus solides et moins élégants du Moyen Age : le mot "fort" était tout désigné ! A quoi sert un château ? Pendant le Moyen Age, l'insécurité règne. En temps normal, le château fort sert à loger le seigneur, sa famille, ses chevaliers vassaux, ses hommes d'armes et ses serviteurs. En temps de guerre, le château peut abriter les gens qui vivent autour du château comme les familles des hommes d'armes ou des serviteurs, les paysans des alentours, qui fuient les envahisseurs. Les mots du château : > Passez la souris sur le dessin de ce château fort, afin de lire les noms des différents éléments qui le composent. Retour

La légende du roi Arthur Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. C'est vers 1150 que la Table ronde est mentionnée pour la première fois dans Le Roman de Brut, œuvre d'un moine anglo-normand, Robert Wace (v. 1110-v.1170). Le symbole de l’idéal chevaleresque Peut-on voir dans l’institution de cette Table ronde une allusion d’origine celtique à une ancienne coutume voulant que les guerriers siègent autour de leur chef ? Elle est, en effet, appelée Table ronde parce qu'elle signe la rotondité du monde et le cours des planètes et des éléments du firmament dans lequel on peut voir les étoiles et les autres astres. La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230

Légendes CHEVALERIE Contes du XVIIème Contes célèbres du XVIIème siècle Contes de Charles Perrault Contes tirés de son oeuvre : " Les contes des fées " publié en 1697 Cendrillon La Barbe Bleue La Belle au Bois Dormant Le Chat Botté Le Petit Chaperon Rouge Le Petit Poucet Les Fées Peau d'Âne Contes de Madame Leprince de Beaumont Les contes sont tirés d'après " Le Magasin des Enfants " 1715 Aurore et Aimée Belotte et Laidronette Conte des Trois Souhaits Joliette La Belle et la Bête La Curiosité La Veuve et ses deux Filles Le Prince Charmant Le Prince Chéri Le Prince Désir Le Prince Fatal et le Prince Fortuné Le Prince Spirituel Le Prince Tity Contes de Jean de La Fontaine Les contes sont illustrés par Charles Eisen (1762) et Jean-Baptiste Oudry (1755) Contes de Madame d'Aulnoy retour haut de page @import url(//www.google.com/cse/api/branding.css); Recherche personnalisée

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