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Légendes médiévales: Gauvain

Légendes médiévales: Gauvain
Gauvain et Gareth cherchant Lancelot Mort le roi Artu © BNF XVe Fils légitime du roi Lot d'Orcanie et de la reine Morgause son épouse, Gauvain est le neveu du roi Arthur et malgré la rudesse de son caractère, il fut l'un des plus fidèles compagnons d'Arthur. Dans les romans français il n'occupe pas une place prépondérante et laissant le premier rôle à Perceval ou à Lancelot alors que dans la tradition anglaise il très souvent le héros principal comme dans "Sire Gauvain et le chevalier vert". Dans ce récit, les chevaliers de la Table Ronde célèbrent la nouvelle année en compagnie du roi Arthur et de la reine Guenièvre; un chevalier vert s'annonce et porte insulte au roi Arthur. Gauvain s'offre à laver l'offense et le chevalier lui propose un marché : que Gauvain le décapite et ils se retrouveront dans un an jour pour jour afin de s'affronter. Les deux jours suivants, Bertilak quitte le château de bon matin avec ses chiens tandis que son épouse se rend dans la chambre de Gauvain.

Yvain et Laudine - courelle2 Yvain chevalier au service du roi Arthur, est tombé amoureux de Laudine, dont il vient de tuer le mari. Alors que Laudine ne pense qu’à venger la mort de son époux, elle est convaincue par sa servante qu’Y vain est désormais le seul chevalier capable de la défendre et accepte de le rencontrer. Messire Yvain joignit ses mains, s’agenouilla et parla en véritable ami. — Dame je ne crierai pas merci, mais je vous remercierai de tout ce que vous ferez de moi, car rien qui vienne de vous ne saurait me déplaire. — Rien, sire ? — Grand merci à vous dame : vous ne m’entendrez jamais dire autre chose. — Je n’ai jamais vu cela : vous vous mettez du tout au tout et volontiers en mon pouvoir, et cela sans quand je vous contraigne. — Dame, il n’est pas sans mentir, une force comparable à celle qui me commande de faire votre entière volonté. — Malgré vous ? — Pardon, madame : quand votre seigneur m’attaqua, eus-je tort de me défendre ? — Et qui le cœur, bel ami ? — Vos yeux, madame. — Et les yeux qui ?

Armorial des Chevaliers de la Table Ronde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page donne les armoiries imaginaires (figures et blasonnements) des chevaliers de la Table ronde. A[modifier | modifier le code] B[modifier | modifier le code] C[modifier | modifier le code] D[modifier | modifier le code] E[modifier | modifier le code] F[modifier | modifier le code] G[modifier | modifier le code] H[modifier | modifier le code] K[modifier | modifier le code] L[modifier | modifier le code] M[modifier | modifier le code] N[modifier | modifier le code] O[modifier | modifier le code] P[modifier | modifier le code] R[modifier | modifier le code] S[modifier | modifier le code] T[modifier | modifier le code] U[modifier | modifier le code] V[modifier | modifier le code] Y[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

amour courtois Séquence 5ème littérature médiévale : Yvain : la courtoisie Avant la lecture des extraits du roman, nous avons analysé deux textes explicatifs sur la courtoisie: 1) Dictionnaire encyclopédique Quillet courtois: Recherché, gracieux dans ses paroles et ses manières. Syn: affable Litt.: l'amour courtois doit être distingué de la " courtoisie " au sens large qu'on peut évoquer de quelques traits généraux: noblesse des sentiments, conduite généreuse, politesse dans le langage et les manières. L'amour courtois ou fine amor se définit plus précisément comme une religion de l'amour. C'est une idéologie mystique qui place l'amour au-dessus des lois sociales et religieuses. 2) Introduction à l'édition d'Yvain par Albert Pauphilet Chrétien de Troyes est un des hommes célèbres du XIIe siècle.

littérature et amour courtois ancien français court cour princière Étymologiquement, le terme « courtois » fait référence à la cour (de l’ancien français cort). En vieux français, le mot corteis prend le sens d'« honnête », « loyal ». Par ailleurs, ce qui est courtois s'oppose à ce qui est « vilain », c'est-à-dire le monde rude et grossier du paysan. Enfin, la notion de courtoisie renvoie à un ensemble de valeurs, de règles de savoir-vivre et surtout à une conception bien particulière de l'amour, car nul ne peut être parfaitement courtois sans aimer. L'amour courtois L’amour courtois est une conception de l'amour d'un homme pour une femme qui est née au xiie s., dans le midi de la France, avec les troubadours occitans, et qui s'est éteinte dans la seconde moitié du xiiie s. Amour courtois et fin’amor La fin'amor (« amour parfait ») désigne plus précisément une religion de l'amour. Une conception de l'amour issue du modèle féodal : la dame suzeraine La relation amoureuse est régie par un véritable code du « savoir aimer ». La littérature courtoise La tenso

La légende du roi Arthur Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. C'est vers 1150 que la Table ronde est mentionnée pour la première fois dans Le Roman de Brut, œuvre d'un moine anglo-normand, Robert Wace (v. 1110-v.1170). Le symbole de l’idéal chevaleresque Peut-on voir dans l’institution de cette Table ronde une allusion d’origine celtique à une ancienne coutume voulant que les guerriers siègent autour de leur chef ? Elle est, en effet, appelée Table ronde parce qu'elle signe la rotondité du monde et le cours des planètes et des éléments du firmament dans lequel on peut voir les étoiles et les autres astres. La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230

Yvain ou le Chevalier au lion « Yvain ou le Chevalier au lion » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior Yvain le chevalier au lion est l'un des Chevaliers de la table ronde, chargés par le légendaire roi Arthur de la quête du Graal. La légende arthurienne nous est connue par les romans écrits au XIIe siècle par le français Chrétien de Troyes. Yvain combattant le dragon avec l'aide de son lion. Présentation générale[modifier] Au début de son histoire,son but est de venger son cousin Calogrenant d'un chevalier noir qui humilie ce dernier tout en lui volant son cheval. Origines familiales[modifier] Yvain était le fils de La fée Morgane et du roi Urien, il est aussi le cousin de Calogrenant, lui même chevalier de la table ronde. Ses principaux exploits[modifier] Ses qualités ses défauts[modifier] Un de ses traits de caractère est qu'il préfère l'aventure à l'amour. Vikiliens pour compléter sur la légende arthurienne[modifier]

armes et armures medievals vidéos Le tournoi medieval à Argenteuil Comment le devenait-on ? Tout jeune, les futurs chevaliers sont envoyés dans un château renommé pour y servir comme page, puis comme écuyer, au service d'un chevalier. C'est leur école de guerre. Au Moyen Âge, les tournois étaient des fêtes qui avaient pour but de divertir le peuple et les nobles gens, mais aussi et surtout de permettre aux chevaliers de s'entraîner à la guerre autant à cheval qu'à pied. Il existait en réalité trois sortes de tournoi. - Le premier est le « pas d'arme ». - Le deuxième est la « joute ». - Le dernier, s'appelait le « tournoi ». Le « pas d'arme » était un tournoi où s'affrontaient les chevaliers à pied, en duel, dans un enclos appelé la Lice. Le « tournoi » consistait en un affrontement entre deux camps, tout au long de la journée et au fil de plusieurs épreuves dont notamment une mêlée. Place des dames et de la courtoisie Les combattants étaient parfois appelés champions. La courtoisie dans les tournois Droits et devoirs d'un chevalier :

CHEVALERIE La chevalerie apparaît au xie siècle comme une catégorie de la société féodale rassemblant les spécialistes du combat cavalier, devenu le seul réellement efficace. C'est par le rite de la remise des armes, l'adoubement, que le jeune homme ayant achevé son éducation militaire, est fait chevalier, apte à coopérer loyalement à la défense du peuple et au maintien de la paix. En France, la chevalerie devint rapidement une caste héréditaire et, sous l'influence de l'Église et des croisades, peu à peu se sacralisa. Au cours du xiie siècle, les qualités fondamentales du bon chevalier, vaillance, loyauté, largesse et courtoisie, furent reconnues comme les vertus par excellence de la noblesse. La morale de la chevalerie, véhiculée par les œuvres maîtresses de la littérature médiévale en langue vulgaire (morale virile : le mot chevalier n'a pas de féminin), s'imposa à l'ensemble de l'aristocratie européenne qui voyait dans ses valeurs spécifiques les critères de sa supériorité sociale.

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