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Contenus ouverts ou libres 

Contenus ouverts ou libres 
Page mise à jour le 14 octobre 2016 Sur internet, de nombreux contenus (photos, vidéos, textes, logiciels) sont diffusés de façon dite « ouverte » voire « libre ». Ces conditions de mise à disposition manifestent la volonté de leur auteur d’accorder une autorisation sur leur utilisation. Présentation Il n’est pas rare de trouver sur internet des contenus présentés comme « libres[1] » ou « ouverts », qu’il s’agisse de logiciels (logiciels libres, logiciels « open source ») ou d’autres contenus (photos, vidéos, textes, articles). D’une part, il existe de nombreux produits logiciels proposés en open source utilisés dans la sphère éducative. D’autre part, il peut être intéressant pour des élèves et leur enseignant d’utiliser des œuvres mises à disposition de façon ouverte dans le cadre de l’activité scolaire. Le contenu libre La notion de contenu libre peut faire référence à différents types d’objets tels qu’un document, un texte, une image ou encore une vidéo. La licence Illustration Astuce Textes Related:  Projet TICE HNX

Wikipédia, l'encyclopédie libre Réutiliser des contenus produits par des tiers | Internet responsable Nombre de travaux d’enseignants et d’élèves font appel à des ressources existantes, que ce soit simplement pour se documenter, pour illustrer un propos, commenter, argumenter, porter la contradiction ou encore pour proposer une version modifiée d’un travail librement mis à disposition. C’est ainsi que des raisons diverses conduisent à emprunter à des œuvres appartenant à d’autres personnes. Internet démultiplie ces possibilités en donnant accès à une masse d’informations et de connaissances sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Les précautions à prendre S’il est facile de se procurer des contenus textuels, vidéo, sonores de nos jours, il est en revanche plus délicat, et souvent illégal, de les reproduire pour diffusion sur un site internet, voire extranet ou intranet, même dans un cadre pédagogique. Lire la suite Qu’est-ce que le droit de citation ? Que sont le plagiat, la caricature, le pastiche ?

Educavox.fr Téléchargement et diffusion en flux d’œuvres en ligne | Internet responsable Page mise à jour le 17 octobre 2016 Quelle que soit la méthode utilisée pour accéder à des contenus sur internet, les droits des auteurs doivent être respectés. Aussi, toute personne qui, de bonne ou de mauvaise foi, ne respecte pas la protection des œuvres, prévue par la loi, s’expose à des sanctions. Présentation Le web regorge de ressources pouvant être utilisées à des fins pédagogiques. Le téléchargement et le streamingstreamingLe streaming ou « diffusion en flux » (terme français) désigne un mode de diffusion audio ou vidéo sur Internet, par lequel les données sont diffusées sur le poste de l’utilisateur au fur et à mesure qu’elles sont envoyées par le serveur. Depuis quelques années, de nombreuses techniques d’accès aux contenus se sont développées, recourant à des protocoles variés, tels que FTP, un des plus anciens (1971) et qui permet le transfert de données entre un serveur et des ordinateurs clients, ou bitTorrent qui est un protocole de téléchargement « pair à pair »[1]. Astuce

Ions perchlorate : travaux et recommandations de l’Anses | Anses A l’occasion d’une campagne nationale de mesures réalisée en 2011 par le Laboratoire d’hydrologie de l’Anses,des ions perchlorate ont été détectés dans les eaux destinées à la consommation humaine (EDCH) dans plusieurs régions françaises. Ces ions inhibent l’étape d’incorporation de l’iode dans la thyroïde, l’une des premières étapes de la synthèse des hormones thyroïdiennes. A la demande du ministère chargé de la santé, l’Anses a mené une évaluation du risque sanitaire relatif à la présence des ions perchlorate dans l’EDCH et les laits infantiles utilisés pour l’alimentation des nourrissons de 0 à 6 mois, qui représentent la population la plus sensible. Chez l’Homme, les ions perchlorate inhibent l’étape d’incorporation de l’iode dans la thyroïde interférant ainsi sur la synthèse des hormones thyroïdiennes. Dans cet avis, l’Anses propose une valeur toxicologique de référence (VTR 0,7 µg/kg pc/j) et une valeur guide dans l’eau de boisson (15 µg/L). Résultats Recommandations de l’Anses

Mentions légales et espace web | Internet responsable Page mise à jour le 12 octobre 2016 Si les personnes qui éditent un site web ou un blog à titre non professionnel peuvent le faire sans dévoiler aux internautes leur identité ou sous pseudonyme, il en va tout autrement pour les sites considérés comme « professionnels », qui doivent comporter des mentions légales. Présentation Il existe en pratique six obligations en termes de mentions légales. Mention « site web ». Il est obligatoire d’indiquer sur le site les informations suivantes : si l’éditeur du site est une personne physique, les informations sont ses nom, prénoms, domicile et numéro de téléphone. Et dans les deux cas, il convient de préciser : Lorsque l’éditeur est une personne immatriculée, elle doit préciser un certain nombre d’informations relatives à son immatriculation (numéro RCS, lieu du siège social…). Ces informations sont obligatoires. Elles doivent être d’un accès facile et permanent sur un « standard ouvert »[2]. Mention « données à caractère personnel ». Illustration Astuce

MENE1119475A NOR : MENE1119475Aarrêté du 12-7-2011 - J.O. du 20-9-2011MEN - DGESCO A3-1 Vu code de l'éducation ; arrêté du 27-1-2010 modifié ; avis du CSE du 9-6-2011 Article 1 - Le programme de l'enseignement spécifique et de spécialité de physique-chimie en classe terminale de la série scientifique est fixé conformément à l'annexe du présent arrêté. Article 2 - Les dispositions du présent arrêté entrent en application à la rentrée de l'année scolaire 2012-2013. Article 3 - L'arrêté du 20 juillet 2001 fixant le programme de l'enseignement de physique-chimie en classe terminale de la série scientifique est abrogé à compter de la rentrée de l'année scolaire 2012-2013. Article 4 - Le directeur général de l'enseignement scolaire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 12 juillet 2011 AnnexeProgramme

Open data | Internet responsable Page mise à jour le 11 juillet 2017 L’open data est la mise à disposition d’informations ou de données brutes, en accès « libre », ainsi que leur réutilisation et leur transmission, sans restriction tenant à un droit de propriété intellectuelle[1]. Leur réutilisation n’est pas obligatoirement gratuite[2]. Présentation Depuis quelques années, l’État opère une stratégie d’ouverture des données publiques. Il existe un cadre juridique spécifique dans le secteur public pour l’ouverture des données publiques. Néanmoins, depuis quelques années, on observe une modification dans la politique d’open data du secteur public. Le CRPA établit trois principes : Les données publiques se définissent comme les données brutes ou enrichies contenues dans les documents administratifs, qu’il s’agisse de données économiques, géographiques, sociales, commerciales, touristiques, etc. Néanmoins, l’ouverture de l’accès aux données subit quelques limites, notamment : Seul l’intéressé pourrait y avoir accès en l’état.

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