Internet, mobile... les 10 commandements du nouveau commerce Un samedi de décembre, Amazon eut l'idée perverse de demander à ses clients d'aller dans les magasins, juste pour repérer et scanner les produits de leur choix. S'ils étaient en vente sur son site internet, Amazon leur ferait une réduction de 5% sur la commande en ligne... Fureur des commerçants traditionnels : le géant du virtuel utilise maintenant leurs boutiques comme salles d'exposition ! Et c'est d'autant plus rageant, explique Alexandre Bompard, PDG de la Fnac, qu'Amazon ne paie pas d'impôts en France et a des coûts bien plus faibles que la marque française. La bataille n'est pas égale entre les nouveaux et les anciens. Personne n'a la réponse, mais les idées commencent à fuser. 1. Payer en cash ou avec sa carte à puce ? 2. Internet nous a habitués à évaluer les informations, traquer les meilleurs prix, chercher des avis... 3. "Désolé, nous n'avons plus ce modèle de table, repassez dans quinze jours !" 4. 24 heures sur 24 tu achèteras 5. "Smartphone accepté." 6. 7. 8. 9. 10.
Vers une consommation sur mesure Le dernier observatoire des tendances émergeantes d'Ipsos, Trend Observer 2010-2011 (*), dresse un constat intéressant sur l'évolution des modes de consommation des Français depuis la crise économique. Mieux consommer, c'est moins consommer, uniquement en fonction de ses besoins. Les Français semblent être entré dans l'ère de la consommation ajustée. En effet, 71% d'entre eux se sentent coupables à l'idée de gaspiller des produits achetés. Trouver le bon équilibre semble être la clé du problème. À savoir ajuster le prix, les produits et l'espace aux besoins. Ensuite, ajuster les produits à cette tendance de la personnalisation. Enfin, ajuster l'espace grâce à la géolocalisation et aux téléphones intelligents. Dans cette course à l'optimisation, Rémy Oudghiri, directeur du département corporate & tendances Ipsos public Affairs, met en garde contre «le risque de disparition du flou et de l'imprévu».
Le consommateur du futur : [R]évolution Sainsbury’s et Unilever ont réalisé avec le Forum for the Future une étude particulièrement intéressante sur l’évolution des consommateurs : consumer futures 2020. L’objectif est relativement classique pour des entreprises : anticiper les besoins des futurs clients pour développer les produits et services adaptés. Après une lecture critique de ce document, nous pouvons faire ressortir 3 qualités principales des produits et services seront proposées. Le rapport commence sur le constat que le futur, et notamment le comportement des consommateurs, sera radicalement différent notamment par l’arrivée des TIC nomades qui permettent une mise en réseau et un accès à l’information partout, tout le temps. Fait le toi-même / Fait le pour moiProspérité forte / faible Quelques extraits de ce rapport : Pour s’adapter aux quatre scénarios, les modèles d'affaires ont besoin d'être beaucoup plus souples que d'aujourd'hui. Travaillez sur votre chaîne de valeur pour trouver de nouvelles solutions.
Le néo-consommateur : une espèce en voie d’apparition ou le consommateur 2.0 Le consommateur d’aujourd’hui aspire à consommer différemment. Il a d’autres envies, d’autres ambitions pour lui-même et est en train d’adopter de nouvelles habitudes de consommation. En effet, si la crise économique de 2008 est à l’origine de l’émergence du néo-consommateur, celui-ci est cependant le fruit de mutations plus profondes qui ont donné naissance à de nouvelles tendances de consommation. 1. L’attention des consommateurs a toujours été focalisée sur leur pouvoir d’achat. Cette crise de 2008 a tout d’abord entrainé une perte de repère de la part des consommateurs, qui se sont alors réfugiés dans les valeurs sûres : la recherche de prix bas, ou tournés vers de nouveaux médias pour consommer. 1.1 Une perte des repères de la part des consommateurs D’après une étude du CREDOC [1], en 2008, le niveau du moral des Français est à un niveau extrêmement bas, à cause du contexte économique certes, mais également à cause de la perception erronée de la baisse de leur pouvoir d’achat. 2.
Quel consommateur pour 2020? - e-marketing.fr Mieux connaître le consommateur d’aujourd’hui pour anticiper ses besoins de demain:à l’occasion de son cinquième Consumer’s Morning, Kantar Worldpanel a dressé un portrait du consommateur de 2020.Aujourd’hui, la France compte 26,6 millions de foyers (source INSEE) et environ 250000 de plus, chaque année. Cela recoupe une nouvelle réalité: réduction du nombre de personnes au foyer (deux au lieu de trois) ; augmentation des familles monoparentales (19% des familles) ; vieillissement de la population (un Français sur deux a plus de 50 ans) ; augmentation du niveau d’études (40% a un niveau post-Bac contre 30% pour la génération précédente) ; situation financière difficile (2500 euros de revenus net mensuel par foyer, baisse du budget alimentaire chez les ménages, qui s'élève désormais à 75 euros par semaine). Qu'en sera-t-il demain? Les chiffres prévoient une augmentation de 2300000 ménages entre 2010 et 2020. Qu'attendent les seniors?
Les comportements d'achat du nouveau consommateur, un défi pour les marques Les fondements de cette nouvelle ère ? Un consommateur malin, éduqué, dont le parcours d’achat commence souvent en ligne, pour finir dans un magasin physique. Un consommateur qui, avant d’accéder au produit, synchronisera sa réflexion sur du multi-device : PC, Mobile, Tablette, médias classiques, articles de presse, bouche à oreille… avis consommateurs. Un nuage de sources qu’il maîtrise, lui rendant clair cette dimension multicanal, et….opaque pour le marqueteur.Ainsi, en dépit de ces faits, le consommateur s’est retrouvé en périphérie des réflexions marketing des marques, dont les efforts se sont concentrés sur les stratégies produits «push» on-line. Nouveaux comportements d’achat =Multiplicité de points de contact Internet a bel et bien révolutionné les habitudes des internautes : ces derniers utilisent le Web pour se renseigner, comparer les prix, lire les avis sur les forums de consommateurs, et, passée l’euphorie, trouver le point de vente le plus proche.
Le futur de l’expérience retail : 74, 42 et 51 – Les chiffres de Connected Store Pour les chiffres de cette semaine, nous vous proposons un livre blanc qui date un peu dont nous n’avons pas encore parlé mais qui reste malgré tout, très en lien avec les tendances de 2013. Publié en mai 2012 par Motorola Solutions, ce livre blanc intitulé “What’s driving tomorrow’s retail experience ?” s’intéresse, comme son nom l’indique, à ce dont le futur de l’expérience retail sera fait. Pour information, l’étude a été menée sur 250 enseignes américaines et cherche à appréhender l’impact du retail omni-canal sur leurs évolutions durant les cinq prochaines années. 74% des retailers interrogés estiment que le fait de développer une expérience client plus engageante en magasin sera crucial dans les années à venir.Ces retailers pensent que 42% des ventes proviendront des canaux online, mobile et social.A la question “Quels sont les leviers principaux pour l’investissement en technologies dans votre société ?”51% répondent l’amélioration su service client. Articles similaires:
L'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013 Le commerce actuel est omniprésent, résultant de la multiplication des points d'achat mais aussi de l'évolution des comportements des consommateurs. Afin de continuer à comprendre ces changements, Ipsos a réalisé la seconde édition de l'étude Omniretail pour CA Com, au sujet de l'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013. Florilège des principaux résultats de ce sondage, effectué auprès d'un échantillon de 1013 personnes, représentatives de la population française, âgées de 15 ans et plus, du 5 au 8 avril 2013. Les magasins physiques : toujours chouchous des français Les Français disposent aujourd'hui d'une multitude de points d'achat : les points d'achat physiques, les points d'achat web, les points d'achat mobiles, les points d'achat TV connectée, ainsi que les points d'achat drive. Ils n'ont pourtant pas boudé les points d'achats physiques. Les achats online gagnent du terrain La tablette : nouveau canal d'achat La tablette est devenue un nouveau point d'achat.
Le prêt-à-porter masculin adopte une stratégie d'hypersegmentation Flambée des matières premières, hausse des salaires de la main-d’œuvre chinoise, arbitrages des ménages défavorables aux dépenses d’habillement… : les distributeurs de prêt-à-porter pour hommes sont soumis à rude épreuve. Les perspectives de croissance de la consommation de vêtements pour hommes s'établiraient néanmoins à + 1 % à l'aube 2013 après un recul de 0,5 % prévu cette année. Les chaînes spécialisées (Célio, Jules, etc.) sont de plus en plus concurrencées par l'arrivée d'opérateurs étrangers spécialistes du PAP mixte comme Uniqlo, Abercrombie, etc. Les véadistes reculent et la GSA regagne un peu de terrain avec des marques propres dynamiques et davantage stylisées. C'est notamment le cas de Tissaïa chez Leclerc. Seuls les grands magasins se distinguent par leur dynamisme, en particulier grâce à un bel effort de montée en gamme et à un repositionnement très tendance (comme l'espace Homme du Printemps ou du BHV Hommes).
Achat en ligne : votre avis compte é-NORME-ment ! 9 Français sur 10 consultent les avis des consommateurs sur Internet avant de procéder à un achat, pourtant 3 français sur 4 se méfient des avis en ligne. Pourquoi cette contradiction ? L’objectif des entreprises qui publient des avis de consommateur est de rassurer les consommateurs, qui peuvent être frileux pour l’achat de biens et services sur Internet. L’influence positive des avis de consommateurs étant démontrée par de nombreuses études, certaines dérives ont émergé afin de stimuler les achats sur Internet : certaines entreprises ne publient que les avis positifs, elles contactent des entreprises spécialisées dans la création de faux avis (agence de e-réputation), elles publient de faux avis sur le site de leurs concurrents…etc. Comment faire pour distinguer le faux (avis) du vrai ? © Malerapaso iStockphoto.com Pourquoi les avis consommateurs nous influencent-ils autant ? – Recherche d’information : plus le risque d’achat est important, plus le besoin d’information sera grand.
Influenceur tu ne m’influences plus L‘influence est un terme utilisé à tort et à travers sur les réseaux. On l’utilise pour des classements d’influence qui n’ont pas de réelle valeur, sauf pour celui qui est dedans ou pour citer des blogueurs dans des stratégies RP 2.0. Quelles sont les limites de l’influence ? Effet de mode, tentative de manipulation de masse ? Comment rééquilibrer les pouvoirs entre l’influenceur et la marque ? L’influence entre besoin d’existence et d’estime Pouvons-nous vraiment parler d’influence aujourd’hui sur les réseaux ? C’est une question que je me pose depuis quelques temps déjà avec l’envie d’écrire cet article, comme une réflexion et non un jugement arrêté. Sur les Internets, le terme « d’influenceur 2.0 » est arrivé en même temps que les réseaux sociaux. Cette influence était massive et vraie. Avec les réseaux sociaux, l’influence communautaire s’est transformée en une influence d’égo, je m’explique. Auparavant les communautés étaient constituées de pseudonymes. Marguerite Duras Vincent4
Le consommateur moyen a définitivement disparu "2013, un consommateur caméléon" . A l'occasion de son dernier Media Morning, Kantar Worldpanel a fait le point, la consommation en France. Le contexte de l'année n'a pas été favorable à la consommation : des à-coups dans l'évolution du PIB en volume (-0,2% pour le 1er trimestre, +0,5% pour le 2ème, -0,1% au 3ème) ; une météo chaotique (hiver maussade, printemps le plus froid depuis 1987, bel été) ; hausse du chômage... Seul point positif : le redressement du pouvoir d'achat par unité de consommation à +0,8% au 1er trimestre, +0,3% au 2ème, après une baisse de 1,5% sur 2012. "L'envie de dépenser n'est toujours pas au rendez-vous et la perception de leur pouvoir d'achat par les ménages est globalement plus négative au second trimestre", constate Gaëlle Le Floch, strategic insight director, en poursuivant : les arbitrages se poursuivent dans de nombreux secteurs hors-alimentaires. Au cumul annuel 3 ème trimestre : les catégories qui s'en sortent le mieux sont : Quels enjeux pour demain ?
Faut il avoir une stratégie de marque sur le web social ? Bloc Résumé : la présence des marques sur internet est une préoccupation majeure des entreprises sur le web social. Mais entre se penser et penser son action comme une marque ou comme une organisation implique, au delà des mots, des différences majeures. La marque est l’expression d’une identité, l’organisation s’inscrit dans une logique d’action au service du client. Les deux doivent aller de paire mais, malheureusement, le canal social est souvent la propriété exclusive des responsables d’une des deux approches, au détriment de l’autre. Le client, s’il apprécie le paraitre, valorise surtout l’exécution de la promesse comme le montrent de récentes études. Il ne se passe pas un lancement de plateforme, outil ou service nouveau en ligne sans que n’arrive la grande question : comment les marques vont elles pouvoir y exister. Quelle est la différence entre une marque et une organisation ? Une marque est une affaire d’identité. « Voilà qui/ce que je suis, ce que j’incarne, mon image ». Google+
Le marketing communautaire Utilisation des communautés pour le marketing Les besoins des consommateurs sont recensés selon une pyramide : celle de Maslow. Besoins physiologiques, de sécurité, de reconnaissance, d’estime de soi, d’accomplissement. Sur le web il est possible de répondre aux besoins de reconnaissance et d’estime des consommateurs en les fédérant au sein d’une communauté virtuelle puis en l’animant. Faisant ainsi en sorte de créer des liens entre les consommateurs et un sentiment d’appartenance à la même communauté. Quelles communautés devez-vous fédérer en priorité? La communauté qui gravite autour de votre blogLa communauté reliée à vos réseaux sociauxLa communauté reliée aux sites d’avis référents dans votre domaineLes wiki Ces communautés regroupent un ensemble de personnes possédant les mêmes valeurs ou des intérêts communs et qui échangent et partage grâce à cette communauté. Ces communautés vous permettront de: Comment animer vos communautés ? Playstation : Amazon : Mymajorcompany