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LAND MATRIX

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Related:  Accaparement des Terres

Agro-media.fr Rétrospective des 50 ans de la PAC. | 29 Févr 2012 En 50 ans, comment la PAC a-t-elle évolué ? Est-elle parvenue à réaliser ses objectifs ? Un demi-siècle plus tard, quel bilan peut-on faire ? 1962-1984 : la PAC originelle. A la fin des années 1950, . de l’agriculture en développant le progrès technique, en assurant le développement rationnel de la production agricole ainsi qu’un emploi optimum des facteurs de production, notamment de la main d’œuvre. à la population agricole, notamment par le relèvement du revenu individuel de ceux qui travaillent dans l’agriculture, et dans les livraisons aux consommateurs. On constate que finalement les objectifs initiaux de la PAC se rapprochent fortement des problématiques actuelles de l’agriculture… En 1962, les sont confirmés lors d’un conseil des ministres de l’agriculture. . mise en place de , création d’une et création d’une . 1975 verra la création de l’Indemnité Compensatrice de Handicaps Naturels ( ). 1984-1992 : les premières réformes et l’apparition des quotas. {*style:<b> </b>*}

La Chine exploite 10 millions d'hectares de terres agricoles hors de ses frontières - Le Parisien FAIT DU JOUR. Les Chinois investissent dans l'agriculture partout dans le monde. La Chine aime l'Hexagone, mais pas seulement. Pour répondre aux énormes besoins de sa population et aux nouvelles habitudes alimentaires de sa classe moyenne, échaudée par les scandales domestiques à répétition -- explosion des pastèques aspergées de forchlorfenuron (un accélérateur de croissance) et riz contaminé au cadmium (un métal lourd), notamment -- Pékin multiplie depuis une dizaine d'années les achats de terres agricoles à l'étranger. Une politique d'acquisition d'autant plus nécessaire que les sols chinois sont de qualité moyenne et qu'un sixième du territoire serait pollué. De l'Afrique à l'Australie L'achat de terres arables (que l'on peut labourer et cultiver) a débuté en Afrique, menée par de grandes entreprises publiques. Au fil du temps, Pékin a élargi son périmètre. Désormais, ce puzzle agricole hors normes comporte de nombreuses pièces. VIDEO.

Limagrain Du 1er juillet 2010 au 30 juin 2011, Limagrain a réalisé un chiffre d'affaires en forte progression et un résultat net conforme à ses attentes. L'année s'est déroulée dans un environnement favorable avec une hausse des surfaces cultivées en dépit d'une volatilité persistante des prix des matières premières. Toutes les Branches d'activités affichent des résultats économiques positifs. A l'occasion de l'Assemblée Générale statutaire de la Coopérative, le jeudi 15 décembre, les membres du Conseil d'Administration ont élu leur nouveau Président. Pierre Pagesse, Président de Limagrain depuis 1992 passe le relais à Jean-Yves Foucault, jusque-là 1er Viceprésident de la Coopérative depuis 2009. [ Télécharger le document ]

Terres agricoles : pourquoi les Chinois investissent dans l'Indre par Christian Menanteau , Loïc Farge Si le fonds chinois Hongyang investit dans l’Indre, c'est pour des raisons très rationnelles. La première est liée à la disparition des terres arables, au manque d’eau et à la pollution qui frappent la Chine. Ce pays cherche partout dans le monde des terres cultivables. Elle a racheté ou affermé des millions d’hectares en Afrique et en Amérique du Sud. En France, elle trouve avec cette opération inédite des terres de qualité et un savoir-faire technique reconnu. Mais la motivation principale est probablement avant tout d’ordre financier. Cet acheteur a tout sauf le profil d'un spécialiste de l’agriculture. Une première sur du foncier brut Pourquoi ces inquiétudes des agriculteurs ? Si on doit lutter pour le maintien des agriculteurs ce sera d'abord par la réorganisation des filières, les circuits courts, la qualité des productions, et un sérieux coup de frein à l’urbanisation des sols agricoles. Le bloc-notes La note du jour 12/20 à Anne Hidalgo.

Réseau Semences Paysannes Pourquoi une campagne ? L'Union européenne a engagé une révision de l'ensemble de ses directives et règlements sur la commercialisation des semences (catalogue) et sur la propriété industrielle des plantes cultivées (Certificat d'Obtention Végétale et brevet sur les gènes ou les procédés d'obtention). La majorité des scénarios débattus ignorent les droits des agriculteurs et ne s'intéressent qu'à ceux de l'industrie semencière. À l’inverse, les dispositions des traités internationaux qui reconnaissent les droits des agriculteurs ne sont toujours pas appliquées ! La semence est le premier maillon de la chaîne alimentaire. Toutes les plantes agricoles sont pourtant issues de semences sélectionnées et conservées de générations en générations par les paysans. De nombreux paysans, jardiniers et artisans-semenciers participent aujourd'hui activement à ce travail collectif de conservation, de renouvellement et de diffusion de la diversité des plantes cultivées.

Vincent Bolloré désigné comme accapareur de terres et censeur d’internet au Palais de justice de Paris Actualisation - Jeudi 14 avril 2016 - La justice a donné tort à Bolloré, relaxant les journalistes poursuivis par la multinationale. Peut-on mener une enquête critique sur les activités du groupe Bolloré en Afrique et en Asie ? La reprise d’articles d’enquêtes sur Internet, comme dans les revues de presse, est-elle possible sans menace juridique ? Telles ont été les deux questions posées jeudi 11 février au sein de la XVIIe chambre correctionnelle du Palais de Justice de Paris. Le motif en était la poursuite engagée par Vincent Bolloré contre un article publié par le site Bastamag. Le palais de justice de Paris, jeudi 11 février 2016 M. L’audience a commencé par une discussion sur le fond de l’article, rédigé par Nadia Djabali et édité par Ivan du Roy et Agnès Rousseaux. La présidente du tribunal, Fabienne Siredey-Garnier, a d’abord invité Nadia Djabali à préciser sa démarche journalistique. La présidente s’est ensuite intéressée aux ramifications du groupe Bolloré.

Procès devant la Cour de Justice de l’Union Européenne: Kokopelli en marche pour la Victoire! Communiqué de Kokopelli du 19 janvier 2012 L’avocat général chargé du dossier Kokopelli devant la Cour de Justice de l’Union Européenne a donné aujourd’hui lecture publique de ses conclusions. Nous avons la joie d’annoncer qu’elles nous donnent entièrement raison ! En effet, le magistrat conclut à l’invalidité de l’interdiction de commercialiser des semences d’une variété non inscrite au catalogue officiel, et ce aux motifs que cette interdiction, portée par la législation Européenne aussi bien que par la réglementation Française, viole le principe de proportionnalité, la liberté d’entreprise, la libre circulation des marchandises, ainsi que le principe de non discrimination. La quasi-totalité de nos arguments ont été retenus! De même, l’avocat général rappelle à juste titre que « le fait que les agriculteurs soient cantonnés à des variétés admises réduit enfin la diversité génétique dans les champs Européens ». Blanche MAGARINOS-REY Avocate de l’Association Kokopelli.

Bolloré, Crédit agricole, Louis Dreyfus : ces groupes français, champions de l'accaparement de terres Au Brésil, le groupe français Louis Dreyfus, spécialisé dans le négoce des matières premières, a pris possession de près de 400 000 hectares de terres : l’équivalent de la moitié de l’Alsace, la région qui a vu naître l’empire Dreyfus, avec le commerce du blé au 19ème siècle. Ces terres sont destinées aux cultures de canne à sucre et de soja. Outre le Brésil, le discret empire commercial s’est accaparé, via ses filiales Calyx Agro ou LDC Bioenergia [1], des terres en Uruguay, en Argentine ou au Paraguay. Si Robert Louis Dreyfus, décédé en 2009, n’avait gagné quasiment aucun titre avec l’Olympique de Marseille, club dont il était propriétaire, il a fait de son groupe le champion français toute catégorie dans l’accaparement des terres. Course effrénée à l’accaparement de terres L’exemple de Louis Dreyfus n’est pas isolé. Trois fois la surface agricole de la France Le phénomène d’accaparement est difficile à quantifier. L’Afrique, cible d’un néocolonialisme agricole ? Qu’importe !

FR L’accaparement de terres et la concentration foncière menacent-ils l’agriculture et les campagnes françaises Des capitaux russes intéressés par des vignobles réputés, des fonds de pension belges attirés par les grandes cultures céréalières, des investisseurs chinois dans le lait... Une « course aux hectares agricoles » semble avoir démarré. Alors que les terres cultivables risquent de se faire rares, « il va y avoir une concurrence importante sur la production agricole », pronostique Robert Levesque de la Fédération nationale des Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural, qui regroupe les 26 Safer qui couvrent le territoire, des structures d’intérêt général en charge de l’aménagement de l’espace rural [1]. « Ces fonds cherchent à maitriser les exploitations qui produisent les biens agricoles. » 50% des terres cultivées aux mains de 10% des exploitants Certaines acquisitions de vignobles ont été très médiatisées, comme le domaine de Gevrey-Chambertin en Bourgogne vendu 8 millions d’euros à un homme d’affaires chinois en août 2012. Du lait contre des emplois : le deal chinois Photo :

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