Elton-Pickford | Carte de l’Empathie Définition de l’empathie : L’empathie (du grec ancien ἐν, dans, à l’intérieur et πάθoς, souffrance, ce qui est éprouvé) est une notion désignant la « compréhension » des sentiments et des émotions d’un autre individu, voire, dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances (il est alors plus spécifiquement question d’« empathie cognitive »). En langage courant, ce phénomène est souvent rendu par l’expression « se mettre à la place de » l’autre. Cette compréhension se produit par un décentrement de la personne (ou de l’animal) et peut mener à des actions liées à la survie du sujet visé par l’empathie, indépendamment, et parfois même au détriment des intérêts du sujet ressentant l’empathie. La Carte de l’Empathie La carte de l’Empathie est très utile pour imaginer ce qu’un client ressent, pense, voit, dit, entend, tout en permettant d’imaginer après analyse une solution pour solutionner ses “problèmes” ou attentes. L’objectif Comment est-ce ?
Les compétences du tuteur à distance Les compétences disciplinaires traduisent le niveau d’expertise sur le sujet de la formation, la capacité du tuteur à répondre aux questions sur le contenu du cours et à fournir des informations ou à indiquer des ressources complémentaires au ressources d’enseignement du dispositif, de corriger et de rétroagir aux productions des apprenants… Les compétences techniques sont celles que le tuteur doit développer par rapport aux technologies constitutives de l’environnement de formation. Sans être un expert, le tuteur doit être un utilisateur de bon niveau et ce d’autant plus qu’il peut lui être confié certaines tâches d’administration du dispositif e-learning. Brigitte Denis, dans son article "Quels rôles et quelle formation pour les tuteurs intervenant dans des dispositifs de formation à distance ?"
Pédagogie différenciée : 10 conseils + 1 ! Voici un petit pense-bête, à la fois théorique et pratique, permettant de favoriser la mise en place de pratiques différenciées dans sa classe. 1/ Dans une classe, l’hétérogénéité est la règle ! L’homogénéité étant l’exception, il faut cesser d’être surpris de ne pas pouvoir faire avancer tout le monde de la même manière même si les programmes en donnent l’illusion. 2/ La différence entre élèves est normale ! Qu’il s’agisse d’écarts de vitesse, d’autonomie, de motivation, d’intérêt, de compréhension, on ne peut plus être « indifférents aux différences » mais devons inclure cette approche dans le fonctionnement habituel de la classe. 3/ Dans aucune classe, le travail est accompli en même temps avec la même efficacité. 4/ La différenciation n’est pas un problème, c’est une solution ! 5/ Tous les élèves ont besoin de différenciation ! 6/ La différenciation n’est pas le différentialisme ! 7/ L’individualisation s’équilibre avec une pédagogie coopérative. Le temps (en donner plus ou moins)
Comment rendre la méthodologie du travail amusante ? Pour plusieurs élèves, la méthodologie de travail peut s'avérer un défi de taille. Enseigner les méthodes de travail efficaces peut aussi être une tâche ardue pour vous. Ce guide vous fournit des ressources pour outiller vos élèves et vous aide à mieux gérer vos attentes pédagogiques. Vous y trouverez : Des pistes de motivationpour développer de bonnes habitudes de travail Des outils à imprimerpour fournir des références à vos élèves Des sites à consulterpour bien apprendre et bien travailler Des profils d'apprenantspour comprendre comment on apprend Développer la méthodologie de travail des élèves… Pourquoi? Travailler avec méthode et efficacité n’est pas une habileté innée chez la plupart des élèves. Pourquoi ne pas organiser le grand défi de méthodologue? Ciblez des stratégies méthodologiques et graduez-les selon un ordre de difficulté. Notez la réussite des objectifs choisis sur un tableau. La créativité doit être au rendez-vous! De temps à autre, organisez des concours surprises.
Taxonomie de Bloom Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La roue de la taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle pédagogique proposant une classification des niveaux d'acquisition des connaissances[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Description[modifier | modifier le code] La taxonomie organise l'information de façon hiérarchique, de la simple restitution de faits jusqu'à la manipulation complexe des concepts, qui est souvent mise en œuvre par les facultés cognitives dites supérieures[4]. Composition[modifier | modifier le code] La taxonomie des objectifs éducationnels selon Bloom. Elle peut être résumée en six niveaux, chaque niveau supérieur englobant les niveaux précédents. Révision[modifier | modifier le code] Ainsi en 2001 une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W. Taxonomie de van Hiele
Qu'est-ce que la différenciation pédagogique? Qu'est-ce que la différenciation pédagogique? En contexte scolaire, toute situation pédagogique peut être représentée par le modèle suivant inspiré de Legendre (2005). Lors d’une situation pédagogique, un sujet fait l’acquisition d’un objet d’apprentissage sous la responsabilité d’un agent qui utilise certaines formules pédagogiques et tient compte de différents aspects du milieu. Inspirées de ce modèle, dans le cadre de la recherche-action sur la différenciation pédagogique en Montérégie, nous avons défini la différenciation pédagogique comme : Une action d’un ou plusieurs pédagogues qui, sur la base d’une solide connaissance des préalables et caractéristiques d’un ou de plusieurs élèves, de formules pédagogiques et d’interventions diversifiées, du programme de formation et de l’environnement d’apprentissage, tend(ent) à harmoniser ces différentes composantes d’une situation pédagogique ainsi que les relations entre elles, dans le but de favoriser l’apprentissage. ASTOLFI, J. GILLIG, J.
10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre Dans les situations d’apprentissage, le bachotage est décrié et tous les enseignants conseillent à leurs élèves de relire leur leçon le soir-même pour mieux mémoriser. Mais, pour les élèves, les questions demeurent les mêmes : comment faire pour relire efficacement ?comment éviter de bachoter ?comment mémoriser durablement ?quelles sont les méthodes efficaces pour réviser ? Les élèves disent parfois : « Les profs, ils nous disent de relire nos leçons le soir mais moi, ça me sert à rien. Comment trouver des moyens de dire au cerveau que l’information lue, écrite, consultée et apprise est importante, qu’elle a de la valeur, de l’intérêt pour le long-terme… et qu’elle mérite donc d’être retenue ? 1. Une manière de signaler une information importante au cerveau est d’en parler, de jouer soi-même au professeur. J’ai rédigé un article consacré à l’art de (se) poser des questions pour apprendre : Apprenons aux enfants à se poser des questions. 2. 3. Jupiter rit à gorge déployée. 4. Le sketchnote
Guide pédagogique : courants, démarches, méthodes, types de savoir et exercices Comprendre les modèles pédagogiques est essentiel pour toute personne exerçant bénévolement ou professionnellement dans les domaines de la sensibilisation, de l’apprentissage ou de la formation au numérique (ou à d’autres sujets). Le portail FOAD Spirit propose un dossier de 25 pages, gracieusement téléchargeable (en pdf) : le mini-guide pédagogique qui propose une présentation des différents courants, méthodes et démarches pédagogiques ainsi que les types de savoirs. Exploration de la pédagogie avec exercices Ces connaissances concentrées en un document unique de synthèse donnent à voir les différentes approches pédagogiques et présentent une démarche active avec un exercice à penser en continu et à compléter en fin de dossier pour aider à réaliser le jeu du mot mystère. Sommaire du mini-guide pédagogique 3 courants pédagogiques Le behavorisme Le constructivisme Le socio-constructivisme Les démarches pédagogiques La démarche déductive La démarche inductive La démarche dialectique Annexes
Education et sciences cognitives: le coup de gueule Selon lui, beaucoup trop d’enseignants continuent d’ignorer les résultats des sciences cognitives, bien que ceux-ci soient directement pertinents pour l’enseignement, notamment mais pas seulement dans le domaine de la lecture. Il appelle de ses voeux une éducation fondée sur la preuve: l’évaluation systématique des manuels et des pratiques éducatives, comme on le fait en médecine afin de vérifier si un médicament est efficace. Voici le texte complet de l’article (dans une version légèrement différente — Le journal Le Monde a la fâcheuse habitude de déformer les textes qu’il reçoit, notamment en leur imposant des titres et sous-titres. Le titre “Enseigner est une science” n’est pas de l’auteur). Pour quiconque sait que « l’enfant est l’avenir de l’homme », l’enquête PISA est un véritable électrochoc. Que nous apprend le Programme international pour le suivi des acquis des élèves de l’OCDE ?
Les apprenant(e)s que nous accueillons sont tous différent(e)s. C'est cette différence qui doit nous conduire, nous intervenant(e)s de l'environnement d'apprentissage que nous devons permettre la réussite de tous et de toutes.
Nous devons savoir qu'au lieu de nous focaliser sur le niveau de ceux qui réussissent dans nos apprentissages, nous devons plutôt prendre comme repère de réussite le niveau de ceux et celles que nous considérons comme moins bons ou moins bonnes.
C'est ainsi que nous allons expérimenter la réussite pour tous et toutes.
D'autres part, nous devons intégrer des techniques d'apprentissages coopératifs et progressifs qui donnent à tous l'opportunité de coconstruire leurs savoirs en coopérant avec les autres apprenant(e)s et l'enseignant(e)s. by antoinettemengueabesso Apr 14