Philotozzi | L'apprentissage du Philosopher
» Droit naturel et droit positif
I) Analyse de la notion de droit. A) Le droit naturel. En tant qu'idéal moral, la notion de droit est une métaphore géométrique. Droit s'oppose à courbe, et la mesure de cette rectitude ne nous semble souffrir aucune relativité ni ne dépendre de l'arbitraire des uns et des autres. Ce qui est droit ou juste nous paraît être ce qui est conforme à une loi ayant la nécessité rationnelle, l'universalité et l'éternité de la règle mathématique. Cette loi qu'on appelle morale, les Grecs disaient que les dieux l'avaient donnée aux hommes pour qu'à la différence des animaux ils ne s'entredéchirent pas mais soient justes les uns avec les autres. C'est en son nom que dans l'œuvre éponyme de Sophocle, Antigone désobéit au décret du roi Créon et donne une sépulture à son frère Polynice. Antigone oppose aux lois que posent les hommes, des lois qui ne sont peut-être pas écrites mais qui s'imposent à eux, s'ils savent écouter la voix de leur conscience. 1) Ambiguïté de l'idée de loi naturelle. Partager :
Georg Wilhelm Friedrich Hegel
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. G. W. F. Hegel Penseur allemand Époque Moderne Portrait de Hegel par Schlesinger (1831). Georg Wilhelm Friedrich Hegel, né le 27 août 1770 à Stuttgart et mort le 14 novembre 1831 à Berlin, est un philosophe allemand. Biographie[modifier | modifier le code] Maison natale de Hegel à Stuttgart (Eberhardstrasse 53) en 2006 Stuttgart 1770-1787[modifier | modifier le code] Georg Wilhelm Friedrich Hegel naît à Stuttgart le 27 août 1770 dans une famille protestante. Wilhelm fait ses études au Gymnasium de sa ville natale, où il est un écolier modèle. Tübingen 1788-1793[modifier | modifier le code] Vue de Tübingen et du Stift, le séminaire de théologie évangélique de l'université où étudia Hegel (2007) Hegel se destine à la théologie et entre à l'âge de dix-huit ans au séminaire de Tübingen (appelé Stift) pour entreprendre ses études universitaires. Puis, il s'inscrit à la faculté de théologie. Berne 1793-1797[modifier | modifier le code]
GREPH, Qui a peur de la philosophie ?
Publié le jeudi 27 avril 2006. Pour le GREPH - il n’y a pas la philosophie. On n’a sans doute jamais attaqué ni défendu la philosophie en général. Disons plutôt que certaines forces s’emploient aujourd’hui, mais ce n’est pas la première fois, à rendre à peu près impossible ce qui avait cours sous le titre « enseignement-de-la-philosophie ». Or ces forces disposent aussi, plus ou moins rigoureusement, à l’état plus ou moins explicite, d’un discours philosophique. Mais de part et d’autre du front, il y a de la philosophie. Le GREPH voudrait analyser cette dénégation - entre autres choses. Si ce qu’on appelle encore l’enseignement de la philosophie est à l’évidence menacé, Si on tente aujourd’hui de le réduire ou de le refouler, c’est qu’on redoute ce qui vient de lui et qui n’est pas simplement la philosophie. Qui aujourd’hui, en France se défend de pratiquer la philosophie ? Ces réactions se développent, semble-t-il, de quatre côtés. Que fait donc le GREPH ?
L'art de parler vite sans en dire plus
M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Jean-Michel Normand Ce n'est pas qu'une impression : les Espagnols parlent vraiment très vite. Selon une étude du Laboratoire dynamique du langage de l'Institut des sciences de l'homme, basé à Lyon, ils prononcent 26 % de syllabes en plus par seconde que les Anglais. Et 50 % de plus que ceux qui parlent mandarin. L'étude – qui s'est intéressée à l'allemand, à l'anglais, à l'espagnol, au français, à l'italien, au japonais et au mandarin – constate que le nombre de syllabes disponibles varie de 416 (en japonais) à près de 8 000 en anglais. Pourtant "la vitesse de transmission du message" que l'on veut faire passer est "quasi constante".
Cogito ergo sum
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Cogito. Cogito, ergo sum (Je pense, donc je suis)[1] est une formule latine[2] forgée par le philosophe René Descartes[3]. D'abord employée en français dans le Discours de la méthode (1637)[4], la formule connaît plusieurs variantes dans l’œuvre de Descartes. Indépendamment des formulations, le cogito constitue un élément majeur de la pensée cartésienne. Dans le jargon philosophique, l'expression est fréquemment raccourcie et substantivée. Le cogito cartésien[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Le cogito est initialement exposé en français par Descartes dans le Discours de la méthode (1637), quatrième partie[5]. Descartes réitère ce raisonnement, en latin cette fois-ci, dans les Méditations métaphysiques (1641) : « Sed est deceptor nescio quis, summe potens, summe callidus, qui de industriâ me semper fallit. Dans la philosophie de Descartes[modifier | modifier le code]
Dynamique Du Langage | Institut des Sciences de l'Homme
Créé en 1994, le laboratoire Dynamique Du Langage explore l’articulation entre la diversité des milliers de langues parlées à travers le monde et l’universalité de la capacité langagière humaine. Ces recherches sont au cœur d’enjeux de société majeurs, tels que la compréhension du développement linguistique de l’enfant et des pathologies du langage, la problématique de la documentation et de la vitalité des langues, ou la recherche des origines de l’homme et du langage. Axes de recherche : Histoire et écologie des langues (HELAN) : cet axe développe des approches innovantes sur l’origine du langage et l’évolution des langues, dans une perspective globale, dynamique et située (environnements physiques - géographie, climat - et contextes socioculturels notamment).Description, typologie, variation (DTV) : l’axe DTV étudie des langues peu connues, souvent minoritaires et en voie de disparition, dans une perspective typologique-fonctionnelle, diachronique et aréale. Thèmes transversaux :