La valorisation de Facebook progresse de 16 milliards de dollars en un mois et demi Pour moi qui ai vécu la formation puis l'explosion d'une bulle spéculative, il y a des choses qui me font frémir, comme cette information repérée ce matin. On apprend en effet que Facebook vient d'être valorisé; par ses associés à la somme astronomique de 50 milliards de dollars. Cette valorisation est la conséquence d'une levée de fond de 500 millions de dollars qui vient d'avoir lieu. Pour les non initiés aux choses de la vie financière, lorsqu'une entreprise lève des fonds, elle vend des actions et ces actions doivent avoir un prix. Multipliez le prix d'une action par le nombre total d'actions en circulation et vous aurez le montant de la valorisation d'une entreprise, c'est-à-dire à combien sont estimés les 100% d'actions qui constituent le capital de l'entreprise.
7 anecdotes des salariés de Facebook Vous rêvez de travailler chez Facebook ? Afin de mieux cerner l’ambiance de travail à Palo Alto, vous pouvez découvrir sur Quora les témoignages d’employés qui présentent régulièrement les avantages et les inconvénients méconnus d’un emploi chez Facebook. Nous en avons sélectionné 7. Être joignable 24h/24, 7 jours sur 7 Un ingénieur de chez Facebook raconte l’incidence des astreintes sur le temps de travail. Quand les amis se plaignent de Facebook « Vous travaillez chez Facebook ? 3 repas par jour, cuisinés par des chefs reconnus Malgré ce rythme de travail intense, on ne mange pas sur le pouce chez Facebook. Salaire moyen des stagiaires : $6,213 euros par mois Facebook est prêt à tout pour attirer les meilleurs stagiaires. Traîner sur Facebook, c’est parfois recommandé Évidemment, chez Facebook, Facebook.com n’est pas bloqué. Les ingénieurs gouvernent sans se soucier des managers Sur son blog, Philipp Su pointe du doigt le manque de logique des prises de décision.
Quelle philosophie est inscrite dans Facebook? » Article » OWNI, Digital Journalism Xavier de la Porte revient sur un article de The New York Review of Books. Son auteur Zadie Smith analyse pourquoi le monde que les utilisateurs de ce réseau social ont créé suscite en elle le malaise. La lecture de la semaine, il s’agit d’un article de Zadie Smith, qui vient de paraître dans la New York Review of Books [en]. Zadie Smith fait une longue et très fine critique du film de Fincher, mais, après avoir raconté qu’elle était étudiante à Harvard à peine 9 ans avant Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, elle dit ressentir une forme de malaise devant le monde qu’est en train de fabriquer sa génération. “Vous voulez être pleine d’optimisme pour votre génération. La vie devient une base de données Dans la perspective de Lanier, reprend Zadie Smith, il n’y a pas de parfait équivalent informatique à ce qu’est une personne. “Instinctivement, reprend Zadie Smith, nous connaissons les conséquences de cette réalité, nous les sentons. Une nation sous format
Les 7 pires galères quand on travaille à Facebook - 9 septembre 2013 Travailler à Facebook… Un rêve pour beaucoup de jeunes diplômés. A tel point que Google, inquiet de voir les cohortes de jeunes diplômés de Harvard ou de Stanford snober son campus multicolore pour les plateaux "open space" de Facebook a dû augmenter d'un coup les salaires de 10% en 2010 pour calmer ses troupes. Mais travailler pour Mark Zuckerberg, est-ce vraiment un rêve? 1. Keith Adams, Engineer at Facebook "Le pire pour moi, quand j'ai travaillé à Facebook, ça a été le "oncall duty", c'est-à-dire l'astreinte informatique, qui consiste à assurer une permanence 24h sur 24 pour résoudre des bugs. Anonyme "Ce n'est pas une surprise : les employés FB sont (implicitement) encouragés à "être eux-mêmes" au travail. Elaine C. "Le pire, quand je travaillais à Facebook, c'était l'impossibilité de me focaliser sur mon équipe. Je dirais aussi que la qualité du code (la qualité de la programmation informatique NDLR) varie beaucoup entre les équipes. Noah M. Noah M. "La nourriture est trop bonne.
Ebook: le cahier réseaux sociaux 2010 » Article » OWNI, Digital Journalism Les réseaux sociaux envahissent la toile et les internautes s'en emparent pour faire du web un lieu d'échange et de sociabilité. Cette évolution sera-t-elle pérenne ou n'est-elle qu'une mode passagère? Tour d'horizon en 9 articles cuvée 2010. Avec cent millions d’inscrits supplémentaires sur l’année 2010, Twitter a connu un véritable boom alors que le 21 juillet dernier le géant des réseaux-sociaux, Facebook, dépassait les cinq cent millions d’utilisateurs. L’explosion des réseaux sociaux modifie profondément la géométrie d’Internet. Qu’importe si les intellectuels restent jusqu’à aujourd’hui globalement silencieux, les utilisateurs eux-même s’interrogent, cherchent et innovent. Décryptages et questionnements avec neuf articles parus sur OWNI au fil de l’année 2010.
Starbucks, la petite section CFDT qui monte… Les médias sociaux au secours des scientifiques pour l'étude des abeilles En analysant les images postées par des internautes sur des sites comme Flickr, une équipe britannique est parvenue à obtenir des résultats sur les populations d'abeilles au Royaume-Uni Face aux difficultés éprouvées par la communauté scientifique pour étudier l'impact des activités humaines sur certaines espèces animales, les réseaux sociaux pourraient constituer un outil efficace. C'est en tout cas ce dont sont persuadés des chercheurs de l'université de Gloucestershire, au Royaume-Uni. Une plus grande implication des internautes "Nous avons utilisé Flickr pour stocker les photos et leur associer des données sur la date, l'heure et le lieu de la prise de vue", expliquent-ils. Utiliser une plate-forme existante Pour les chercheurs, cela prouve la nécessité de fournir aux internautes un minimum d'instructions sur les détails à faire figurer sur les photos.
Bonnes feuilles : Comment Starbucks a sauvé sa peau sans perdre son âme par Howard Schultz "Nous nous étions laissés distraire de notre coeur de métier" (...) Aujourd'hui, Starbucks dépasse les 10 milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel et sert chaque semaineplus de 60 millions de clients dans 16 000 boutiques réparties dans 54 pays. Les salariés de Starbucks, que nous appelons des partenaires, sont plus de 200 000. Si ces chiffres permettent de mesurer le succès de Starbucks, ils ne représentent pourtant pas ce qui en fait, à mes yeux, la véritable réussite. En tant que chef d'entreprise, mon objectif n'a jamais été uniquement de gagner de l'argent ni de faire des bénéfices. Pendant des décennies, les partenaires et les actionnaires de Starbucks ont prospéré. En 2000, j'ai démissionné du poste de P-DG pour rester président et j'ai abandonné l'activité au jour le jour pour me concentrer sur la stratégie globale et sur la politique d'expansion. En 2007, Starbucks montrait des signes d'essoufflement. Aussi, en janvier 2008, en ai-je surpris plus d'un en redevenant P-DG.
L'ironie sur Facebook, motif valable de licenciement Il s'agit d'une première : faire preuve de mauvais esprit sur sa page Facebook est un motif de licenciement valable. Le conseil des prud'hommes de Boulogne-Billancourt estime fondée la décision prise par l'entreprise d'ingénierie Alten d'avoir renvoyé trois de leurs employés en 2008, pour avoir ironisé sur leur hiérarchie lors d'une conversation privée sur le réseau social. En décembre 2008, lors d'échanges sur le réseau social Facebook, l'un des trois salariés de cette entreprise, s'estimant mal considéré par sa direction, avait ironisé sur sa page personnelle, en disant faire partie d'un « club des néfastes ». Deux autres employées avaient répondu : « Bienvenue au club ». C'est France Info, ayant révélé cette affaire en mai , qui annonce cette décision tombée dans la matinée. Comme le site de la radio le rappelle : « Un [autre] “ami” des employés sur Facebook ayant eu accès à leur conversation, avait fait une copie des propos tenus et les avait transmis à la direction de l'entreprise.
Starbucks Corporation : connaître son adversaire – | Paris Fierté Publié le 14 décembre 2012 dans Culture, Vivre à Paris Starbucks Corporation, un géant de la malbouffe. Caféine, sucre et hypocrisie. La Starbucks Coffee Company est fondée en 1971. Starbucks, une machine de guerre anti-identitaire. Et c’est dans ce combat de titans de l’industrie alimentaire mondiale –trois termes qui, associés, évoquent inévitablement l’innommable Tricatel de « L’Aile ou la Cuisse » ! Pas besoin d’une « third place » en Europe : elle y existe déjà ! La Starbucks Corporation est donc l’ennemie déclarée de tous nos lieux de détente traditionnels et de nos traditions gastronomiques enracinées. Starbucks à l’assaut de la butte Montmartre et de l’Europe. Pourtant Starbucks fait mouvoir ses pièces sur l’échiquier européen. Starbucks, un reflet de la société WASP (White – Anglo-Saxon – Protestant). Un pichet de bon vin à la place du Tertre accompagnant de délicieuses andouillettes. Starbucks fera-t-il ou non le lit du halal ? Le sucre ou l’alcool. Vers des Starbucks halal ?
De la difficulté de la rupture amoureuse à l’ère des réseaux sociaux » Article » OWNI, Digital Journalism Avec le nombre encore plus important de liens que créent les réseaux sociaux, la rupture ne doit plus seulement être physique, mais également numérique. “Robert, je te quitte“. Il y a encore peu de temps une rupture amoureuse, pour Robert, cela consistait à écouter en boucle de la mauvaise pop jusqu’à ce que toutes les larmes qu’il pût tirer de son corps meurtri aient coulé. Ça c’était avant. Facebook: la piqûre de rappel Lucie*, “larguée involontaire” a rapidement pris la décision de mettre son bourreau au supplice du profil limité sur Facebook. Lui ne m’a pas du tout restreint l’accès à son profil. Lucie regarde tout. Control freak Ah si le pauvre Werther avait su ! “Twitter c’est plus vicieux”. Si comme Antonio Casilli, chercheur et auteur des Liaisons numériques (paru au Seuil), on considère que les usages numériques sont un prolongement de la sociabilité dans la mesure où ils complètent l’interaction, on voit où le bât blesse. Fais-toi mal Johnny Et là, fais-toi mal Johnny.