"DeepFace", le nouveau système de reconnaissance faciale de Facebook qui fait froid dans le dos RÉSEAUX SOCIAUX - Facebook possède la plus grande galerie de photos du monde, et a désormais la possibilité de faire correspondre tous les visages qui s’y trouvent. Oui, même ceux qui ne sont pas tagués. Facebook a en effet annoncé la semaine dernière qu’il avait développé un programme appelé "DeepFace". D’après les chercheurs, il peut déterminer si deux visages photographiés appartiennent à la même personne – avec une précision de 97,25 %. Selon Facebook, les humains soumis au même test répondent correctement dans 97,53% des cas – soit seulement 0,28% mieux que le programme de Facebook. Une technologie assez perturbante Pour faire simple, Facebook est maintenant aussi doué que les humains pour reconnaître un visage. La Suite Après Cette Publicité À titre d’exemple, les développeurs montrent dans un article sur le programme que DeepFace peut effectivement reconnaître le très célèbre acteur Sylvester Stallone. Un simple projet pour le moment
Le CSA dresse la liste de ce qu'il veut contrôler sur Internet Le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) a publié lundi son rapport annuel 2013 (.pdf), dans lequel l'autorité administrative confirme sa demande de ne plus réguler uniquement la télévision et la radio, ou leurs déclinaisons "à la demande", mais bien tout le web audiovisuel en France. Et surtout de créer un label "Site de Confiance" que les logiciels de contrôle parental et de filtrage auraient l'obligation de respecter pour s'assurer que la censure du web est effective — voir à ce sujet nos explications sur le mécanisme redoutable qui attend les internautes. Ainsi, les "services audioivisuels numériques" serait entendus comme "les services de communication au public par voie électronique mettant à disposition du public ou d'une catégorie de public des contenus audiovisuels ou sonores". Toujours très flou dans ses demandes, le CSA se contente de proposer que ses règles soient appliquées "selon des modalités adaptées à la nature des services audiovisuels numériques".
Les tasers embarqués sur des drones, c’est maintenant ! A l’occasion du festival SXSW, la société Chaotic Moon Studios a choisi de présenter l’une de ses dernières inventions conceptuelles : un drone embarquant un taser. Baptisé C.U.P.I.D., il a été testé en vidéo et présente d’importants arguments de dissuasion… C.U.P.I.D. (pour Chaotic Unmanned Personal Intercept Drone) est avant tout un drone hexacopter de la marque Tarot, équipé d’un contrôleur de vol Dji NAZA-M V2. Généralement, ce modèle est davantage utilisé pour la photographie aérienne puisqu’il est capable d’embarquer une caméra. Chaotic Moon Studios a en réalité détourné la première fonctionnalité de ce type de drone en choisissant de le dédié à la sécurité. En termes d’équipement, il embarquerait un système d’autopilote et de reconnaissance faciale mais resterait maîtrisé par une décision humaine pour déclencher ses attaques. Aucune date de commercialisation n’a pour le moment été fixée par Chaotic Moon Studios. Source(s) : gizmodo / Relayé par MetaTV(metatv.org)
Nouveau scandale sur la NSA et RSA. Mozilla impliqué. En fin d'année dernière, l'agence Reuters avait révélé que la société de sécurité RSA (désormais possédée par EMC) avait accepté 10 millions de dollars de la part de la NSA, pour imposer par défaut dans son logiciel de sécurité BSafe un algorithme que l'agence de sécurité américaine savait casser. Il s'agissait du Dual Elliptic Curve Deterministic Random Bit Generator (Dual EC DRBG), une méthode de génération de nombres aléatoires pour laquelle les premiers soupçons émis par la communauté des cryptographes sont apparus dès le milieu des années 2000. Ce lundi, la même agence Reuters révèle qu'un groupe de chercheurs américains (de Johns Hopkins, l'Université du Wisconsin, l'Université d'Illinois...) publiera cette semaine le résumé d'une présentation qu'ils feront l'été prochain, dans laquelle ils affirment que la NSA a également poussé RSA à intégrer un autre protocole, "Extended Random". Interrogés par Reuters, ni Eric Rescorla ni Mozilla n'ont souhaité réagir.
Six innovations technologiques anti-NSA qui pourraient bien changer le monde Plutôt que de ramper et de supplier le gouvernement US de respecter notre vie privée, ces innovateurs ont pris le problème à bras le corps, et leur travail pourrait bien complètement changer la donne. Les gens avaient l’habitude de penser que le gouvernement des États-Unis était retenu par la Constitution, qui interdit des recherches et des saisies déraisonnables et qui requiert le respect des procédures lors des enquêtes criminelles, mais de telles illusions se sont évaporées ces dernières années. Il s’avère que la NSA se considère au-dessus des lois à tous les égards et se sent en droit d’espionner n’importe qui, n’importe où sur la planète sans mandat, et sans réelle supervision. Évidemment, ces révélations ont choqué le citoyen moyen qui a été conditionné à prendre les paroles du gouvernement pour argent comptant, et les répercussions ont été considérables. La récente campagne "The Day We Fight Back Icône de liens externes 1 – Médias sociaux décentralisés – vole.cc VIDEO en anglais
Comment Chrome envoie tous vos mots de passe à Google Le saviez-vous ? Lorsque vous vous connectez à Chrome avec votre compte Google, le navigateur envoie par défaut l'ensemble de vos mots de passe des sites tiers sur les serveurs de Google, pour vous permettre de les retrouver. Un risque considérable pour la sécurité, que la firme documente très mal. Désormais, lorsque vous vous connectez à votre compte Google avec Chrome ("Menu" / "Se connecter à Chrome…"), Google synchronise par défaut l'ensemble des éléments enregistrés dans le navigateur avec ses serveurs, y compris la liste des mots de passe mémorisés localement. En effet, lorsque l'internaute demande sur Chrome à se connecter à son compte pour "accéder à vos favoris, à votre historique et à vos paramètres sur tous vos appareils", le formulaire de connexion suivant apparaît, sans que la case "Sélectionner les éléments à synchroniser" ne soit cochée par défaut : Lire Ce site s'autodétruira après la visite de Google Une caméra Google qui filme chez vous, ça vous dit ?
Lantern, le logiciel qui veut éradiquer la censure d'Internet Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger Si vous vous trouviez en Chine, vous ne pourriez pas lire cet article. LeMonde.fr est en effet bloqué par la censure chinoise, et sans outils techniques spécifiques, impossible d'y accéder. C'est ce type de blocage que Lantern veut rendre obsolète. Il existe déjà des solutions pour contourner la censure mais « elles ont toutes eu beaucoup de difficultés à rester constamment disponibles et non bloquées », explique au Monde le créateur de Lantern, Adam Fisk. Cet Américain travaille sur ce projet depuis l'été 2010. « J'ai pris conscience que l'achitecture du logiciel sur laquelle on travaillait pouvait être une solution à la censure, qui commençait alors à devenir un vrai problème. » Une architecture décentralisée Lantern a hérité de cette architecture décentralisée, qui complique passablement le travail des censeurs. Un réseau impossible à bloquer dans sa totalité De fait, Lantern échappe assez bien aux tentatives de blocage.
Projet PHEME : l'Europe finance un projet informatique de censure globale ! Hallucinant : Project Pheme. L’Europe finance un projet informatique de censure globale ! C’est un article du Parisien intitulé « Des chercheurs veulent passer les réseaux sociaux au détecteur de mensonges » qui vend la mèche du dernier gros projet informatique financé par l’Union Européenne, la plus belle invention démocratique du siècle et comparable à terme à l’Union soviétique. « Des chercheurs universitaires travaillent à l’élaboration d’un système capable d’identifier automatiquement les fausses informations qui se répandent comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. » « Les réseaux sociaux sont une mine d’or en termes d’informations et d’expressions citoyennes pertinentes mais peuvent aussi être utilisés pour répandre des rumeurs. Pour faire le tri, des chercheurs planchent sur une sorte de «détecteur de mensonges» actif sur Twitter ou encore Facebook. Retenez bien. « Attention ce site présente des contenus subversifs.
Exploitation des données personnelles, la vérité Avec les récentes affaires liées à la confidentialité des données (NSA, Google, Orange), l’exploitation des données personnelles est au cœur des débats. Mais le citoyen lambda peut-il s’y retrouver, que sait-il sur l’utilisations de ses informations privées ? Le 6 Juin 2013 Edward Snowden rend public des informations secrètes de la NSA, c’est ainsi que débute « l’affaire Snowden » qui devient dès lors un grand cybercriminel. On apprend que la National Security Agency (NSA) espionne tous les citoyens, non seulement américains, mais aussi étrangers : ses alliés et ses ennemies. Mais la NSA n’agit pas seulement sur les câbles téléphoniques, elle espionne aussi les internautes avec des programmes spéciaux leur permettant de voir en temps réel ce que l’internaute recherche sur Yahoo, Facebook, Microsoft ou Google. Voilà du coté des Etats-Unis, et malgré le grand plan de sécurité promis par Obama, la NSA continue de récolter en masse les informations privées de ses citoyens.
Le contrat open bar entre Microsoft et la Défense sous le prisme du Sénat Le contrat open bar signé entre Microsoft et la Défense continue à questionner les parlementaires. Ceux-ci s’interrogent tant sur son opportunité que sur les conditions de passation de ce marché. La sénatrice Joëlle Garriaud-Maylam vient de questionner le ministre de la Défense quant au renouvellement jusqu’en 2017 du contrat open bar noué avec Microsoft. Une dépendance en question Outre le déficit de transparence, la dépendance de la Défense avec l’éditeur américain inquiète. Des liens intimes avec la NSA L'option retenue ? Cet accord révélé dans nos colonnes a été une première fois signé en 2009, malgré l’avis négatif de plusieurs experts. Selon ce tableau présenté au comité des achats, « l'utilisation de logiciels libres serait d'un coût de revient proche de l'utilisation de licences Microsoft. La réponse de l'April Ce contrat-cadre permet aux organismes du ministère de picorer n’importe quelle licence dans les rayons de l’éditeur. Une fenêtre sous le képi