Casseurs de pub Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Casseurs de pub est une association à but non lucratif qui publie une revue annuelle. La revue est diffusée en kiosque et par abonnement à 43 000 exemplaires sur tout le territoire français. Depuis 2005, la publication de la revue Casseurs de pub consiste en un dossier annuel joint au journal mensuel La Décroissance. Revue et association se veulent libres et indépendantes : c'est pourquoi la revue ne comporte pas de publicité, dont la présence apparaîtrait comme contradictoire avec son propos. La revue est illustrée, entre autres, par des dessins de Lefred-Thouron, Colcanopa[1], Piccolo, Pierre Druilhe, Andy Singer, Raoul Anvélaut, Ward Sutton. Idées[modifier | modifier le code] L'idéologie de l'association lyonnaise « Casseurs De Pub » est l'arrêt, ou au moins la réduction, de la publicité qui est vue comme une « machine à casser ». Campagnes[modifier | modifier le code] Journée sans achat[modifier | modifier le code]
Ouvrir les yeux sur la COP21 : Brandalism détourne 600 panneaux publicitaires Pour dénoncer « la mainmise des multinationales sur les négociations climatiques durant la COP21 » , les activistes de Brandalism ont remplacé pendant le weekend 600 affiches publicitaires placées dans les espaces JC Decaux (abris bus, etc.) par des œuvres de 80 artistes originaires de 19 pays du monde. Une campagne pirate de « publicité subversive » prenant la forme d’images et de messages parodiques, et parfois poétiques. Ce sont quelque 600 affiches publicitaires un peu spéciales qui ont pris place à Paris et aux alentours du Bourget sur les abris-bus et autres panneaux publicitaires du groupe JC Decaux pendant le weekend. 600 affiches réalisées par 80 artistes internationaux parmi lesquels plusieurs grands noms du « street art » (le collaborateur de Banksy Paul Insect, ou encore les Français Alex One ou Arnaud Liard). Une centrale à charbon sur le tête L’affiche détournant la publicité TOTAL reprend la photo de la vraie publicité du groupe pétrolier.
L'Homme unidimensionnel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Homme unidimensionnel est un essai de Herbert Marcuse, avec pour sous-titre Essai sur l'idéologie de la société industrielle avancée[1], publié en anglais en 1964 aux États-Unis puis, traduit de l'anglais par Monique Wittig et l'auteur en français, en 1968 en France. Idées[modifier | modifier le code] Dans L'Homme unidimensionnel, Marcuse propose une critique du monde moderne qui emporte à la fois le capitalisme et le communisme soviétique, basée sur le constat, dans les deux systèmes, de l'augmentation des formes de répression sociale (qu'elles soient d'ordre privé ou public). Ainsi, la tendance, dans les pays supposément marxistes, à la bureaucratisation était, pour Marcuse, tout aussi opposée à la liberté que dans les pays occidentaux. Réception et influence[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]
Stop pub : moins de prospectus dans sa boîte aux lettres, c’est possible ! Chacun peut, par des actions concrètes et simples, œuvrer au quotidien pour limiter la croissance constante de la quantité de déchets que nous produisons. Suivez le guide. Chaque année, 850 000 tonnes de courriers non adressés Nos boîtes aux lettres se trouvent souvent remplies par des prospectus, des publicités, ou des journaux gratuits. Ces courriers non adressés correspondent en moyenne chaque année à 31 kg par foyer. Les imprimés publicitaires représentent 80% de ces quantités, les journaux gratuits d’annonces 13% et les publications des collectivités locales, 7%. Moins de prospectus dans sa boîte aux lettres, c’est possible Pour ceux qui ne lisent pas les imprimés non adressés, et désirent ne plus les recevoir dans leur boîte, il est possible d’apposer sur sa boîte aux lettres un autocollant ou une étiquette, mentionnant le refus de recevoir ces imprimés.
3. Critiques de la publicité - Travaux Personnels Encadrés : La publicité. L’omniprésence de la pub est une réalité incontestable. Toutes les formes d’art jouent sur l’émotion et cherchent à susciter une certaine réflexion. Pas la pub. On y glisse parfois de l’émotion, mais surtout pas de réflexion : obéis, consomme ! La publicité moderne a été l’objet constant de nombreuses polémiques, et de prises de positions divergentes de la part de ceux qui la pratiquent, l’observent ou la critiquent. a) Les reproches faits à la publicité Sur le plan économique, ses promoteurs jugent que la publicité est utile et nécessaire au développement : elle contribue, selon eux, à accroître la consommation et par conséquent la production, permettant une diminution des prix ; elle subventionnerait les médias d’informations, favoriserait le dynamisme nécessaire à une économie compétitive et créerait des emplois. Les stéréotypes de la femme dans la publicité : Tour à tout femme au foyer, femme objet et femme fatale. Pour résumer, ses détracteurs reprochent à la publicité :
Décroissance (économie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot décroissance désigne en français deux choses : Pour les « objecteurs de croissance », également appelés « décroissants » dans la presse, une réduction contrôlée de l'activité économique est la seule alternative à un krach mondial aux conséquences imprévisibles. Les « objecteurs de croissance » prônent donc sur le plan individuel la démarche dite de simplicité volontaire et, sur le plan global, une relocalisation des activités économiques afin de réduire l'empreinte écologique et les dépenses énergétiques. Le concept de décroissance n'apparaît qu'à la fin des années 1960 et se présente comme une recherche de solutions (politique, économique, juridique...) aux nuisances majeures (écologiques, économiques et/ou d'ordre psycho-social) qu'engendre la croissance, laquelle est alors à son zénith dans les pays dits développés (période des Trente Glorieuses). Mais la majorité des critiques de la croissance sont centrés sur la sociologie.
Casseurs de pub Prochaine journée sans achat : samedi 27 novembre 2010 À tous les tartufes qui vont nous dire : « Vous n’avez pas honte d’appeler à une Journée sans achat alors que le monde est en crise ? », nous rappelons que le plus sûr moyen d’aggraver la crise est de continuer dans la fuite en avant du consumérisme. Et si au contraire on profitait de la crise pour s’arrêter et réfléchir aux impasses de la société de croissance ? Le samedi 28 novembre, c’est la Journée internationale sans achat, faisons un geste symbolique : cessons d'acheter. Super Pouvoir d'Achat (la chanson du dimanche) Actualité : Bien qu'encore insuffisante c'est une bonne nouvelle, d'après les publicitaires eux-mêmes : « L'image de la publicité se dégrade lentement ». Pour nous informer de vos actions : Contact Dijon 28 novembre : action de sensibilisation aux maux de la pub, par le collectif "Dijon dit non à la pub". Valence Consomm'action à la MJC Chateauvert, 3 Place des Buissonnets 26000 Valence Tel 04 75 81 26 20
Banksy VS la publicité J’ai déjà eu l’occasion de vous parler de Banksy sur Out the Box. D’abord avec un portrait de l’artiste puis via un article sur son documentaire Exit Through the Gift Shop. Ce street-artist contestataire anglais s’exprime à travers son art sur tout ce qui le révolte : la société de consommation, les conflits politiques, l’autorité sous diverses formes, la dévaluation de l’art , etc. Aujourd’hui, c’est aux publicitaires qu’il s’en prend avec une affiche très virulente contre ces derniers. Traduction : Les gens se foutent de vous tous les jours. J’ai hésité a poster cette œuvre de Banksy dans la catégorie « images inspirantes » du site. Bien sûr, la publicité est omniprésente. Mais ne possédons-nous pas ce qu’on appelle le « sens critique » ? C’est vrai, quand on y pense : on parle souvent des pubs qui nous ont surpris, amusé ou qui nous agacent. Je pense à des pubs comme celle-ci, qui font des buzz énormes, ou encore à la publicité print (dans les magazines), qui rivalise d’inventivité.
Expérience de pensée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une expérience de pensée est généralement composée de trois étapes : Il faut bien sûr garder à l'esprit qu'une expérience de pensée est souvent une illustration, et n'explique alors qu'imparfaitement l'idée dont elle découle. Ce n'est en aucun cas une démonstration. Exemples d'expériences de pensée[modifier | modifier le code] En physique[modifier | modifier le code] En thermodynamique : Le démon de Maxwell (James Clerk Maxwell, 1871) En relativité restreinte : En mécanique quantique : En philosophie[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] François-Xavier Demoures et Éric Monnet, « Le monde à l’épreuve de l’imagination : Sur « l’expérimentation mentale » », Tracès, ENS, no 9, 2005, p. 37-51 (DOI 10.4000/traces.177, résumé)
Casseurs de pub La rentrée sans marque dans les ouvrages scolaires Les publicitaires, c'est comme les dealers, ils attendent les enfants et les ados à la sortie des écoles et des lycées. Ils savent très bien que plus ils prennent les jeunes tôt, plus il sera dur après pour eux de se désintoxiquer de la consommation. A cause de la publicité, de plus en plus d'enfants sont malades de l'obésité. C'est ça le métier des publicitaires : rendre les jeunes accros aux marques et à la conso pour servir de grosses entreprises qui exploitent d'autres enfants à l'autre bout de la planète. La publicité est interdite à l'école, ça n'empêche pas les publicitaires de chercher par tous les moyens à y entrer. Appel du Mouvement pour une rentrée sans marques Lettre à adresser à son député Appel du Mouvement pour une rentrée sans marques Non à la dictature des logos Contre toutes les marques Le Mouvement pour une rentrée sans marques exprime son refus de la dictature des marques, de toutes les marques. Pour des enfants libres