Gilles Châtelet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Châtelet. Gilles Châtelet, né le à Bezons (Seine-et-Oise) et mort en à Paris, est un mathématicien et philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] Entré en 1963 à l'École normale supérieure de Saint-Cloud en section scientifique, il obtient un doctorat d'état es-Sciences de Mathématiques pures en topologie différentielle le 20 décembre 1975. Directeur de Programme au Collège international de philosophie entre 1989 et 1995, il fonde le séminaire « Rencontres Science-Philosophie ». De 1981 à 1983, il fut attaché scientifique de l'ambassade de France en Israël. Il s'est suicidé en juin 1999. Gilles Châtelet s'était également formé à l'économie, comme en témoigne le dernier livre, paru de son vivant : Vivre et penser comme des porcs. Les Animaux malades du consensus (Lignes, 2010) retrace la généalogie de cette critique qui commence dès la fin des années 1970 dans la presse ou les revues.
Luddisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation figurée du chef des luddites (mai 1812). Le luddisme est, selon l'expression de l'historien Edward P. Thompson, un « conflit industriel violent »[1] qui a opposé dans les années 1811-1812 des artisans – tondeurs et tricoteurs sur métiers à bras du West Riding, du Lancashire du sud et d'une partie du Leicestershire et du Derbyshire – aux employeurs et manufacturiers qui favorisaient l'emploi de machines (métiers à tisser notamment) dans le travail de la laine et du coton[2]. La lutte des membres de ce mouvement clandestin, appelés luddites ou luddistes, s'est caractérisée par le « bris de machines ». Le mot[modifier | modifier le code] Le terme trouve son origine dans le nom d'un ouvrier anglais, John ou Ned Ludd (parfois appelé « Captain Ludd », « King Ludd » ou « General Ludd »), qui aurait détruit deux métiers à tisser en 1780. Origine du mouvement[modifier | modifier le code] Révolte des luddites[modifier | modifier le code]
Exposition - Guy Debord. Un art de la guerre du 27 mars 2013 au 13 juillet 2013 François-Mitterrand / Grande Galerie Paris, 1953, au fond de la rue de Seine, un jeune homme écrit sur un mur en hautes lettres : NE T RAVAILLEZ JAMAIS ! Guy Debord n’a jamais travaillé. Il a beaucoup marché dans les rues de Paris, bu certainement plus que d’autres et a surtout développé dans ses œuvres, écrites ou filmées, les armes théoriques d’une critique sans concession de la société moderne. Projection des films de Guy Debord (à l'exception de Hurlements en faveur de Sade) Avec l’aimable autorisation de Madame Alice Debord Accès libre Tous les jours, de 10h à 19h, pendant toute la durée de l’exposition selon la programmation suivante : Jeudi La société du spectacle (1h28mn) Réfutation de tous les jugements… (22mn) In girum imus nocte et consumimur igni (1h36mn) Guy Debord, son art et son temps (1h) Sur le passage de quelques personnes à travers une assez courte unité de temps (20mn) Critique de la séparation (18mn) Visites guidées Individuelles
Péret (1899-1959) Benjamin Péret Poète surréaliste. Chroniqueur à l’Humanité en 1925-26, il part au Brésil où il traduit en portugais Littérature et Révolution de Trotsky et d’où il est expulsé comme "agitateur communiste". De retour en France, il travaille comme correcteur à l’imprimerie des Journaux officiel, se voit refuser l’adhésion à la Ligue communiste (trotskyste) exigeant de lui qu’il déclare « le surréalisme contre-révolutionnaire » et adhère à l’Union communiste. Il gagne l’Espagne en août 1936 comme délégué du P.O.I. et y combat dans les rangs du POUM puis de la colonne Durruti jusqu’en 1937. Entretien avec Benjamin Péret (1948) Voir aussi: Le site des amis de B. (La Batalla, 11-08-1936) Like this: J'aime chargement…
Installation Walkscapes Ouvrage culte pour les urbanistes et les architectes, Walkscapes fait de la marche beaucoup plus qu’une simple promenade. Pour Francesco Careri, en effet, l’origine de l’architecture n’est pas à chercher dans les sociétés sédentaires mais dans le monde nomade. L’architecture est d’abord traversée des espaces : ce que Careri appelle parcours. La marche est esthétique, comme la conçoit André Breton pour la place Dauphine. La marche est politique. Careri s’évade de la ville-événement pour errer dans ce qu’il appelle la Zonzo (la zone, l’espace exclu, à l’abandon, à la marge, inexploré et pourtant vivant). Ce livre passionnera, au-delà des architectes et des plasticiens, ces flâneurs et ces explorateurs qui font de la ville leur terrain de chasse privé. Traduit de l’italien par Jérôme Orsoni
Vladimir Fédorovski Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vladimir Fédorovski Vladimir Fédorovski (Strasbourg, 2009). Vladimir Fédorovski (russe : Владимир Федоровский) est un écrivain et ancien diplomate russe[1], né le 27 avril 1950 à Moscou, d'origine ukrainienne, et aujourd'hui français. Biographie[modifier | modifier le code] Vladimir Fédorovski est le fils d'un héros de la Seconde Guerre mondiale[2] et d'une mère spécialiste de la planification. Diplomate de la pérestroïka[modifier | modifier le code] De retour à Moscou, il travaille au MAE comme chef de cabinet du vice-ministre Vladimir Petrovski (qui écrit les discours de Léonid Brejnev et du ministre Gromyko). Alexandre Iakovlev, idéologue de la perestroïka, le présentait ainsi dans le Figaro du 26 avril 1996 : « Il fut un des premiers à rompre avec les habitudes de la caste diplomatique pour s'engager dans la démarche de la perestroïka. Écrivain français[modifier | modifier le code] Prix et récompenses[modifier | modifier le code]
Jean-Philippe Strebler Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Philippe Strebler, né le , est un juriste spécialisé en droit public (urbanisme, environnement). Il a publié différents ouvrages et études juridiques au sujet du droit de l'affichage publicitaire. Biographie[modifier | modifier le code] Master en droit de l'environnement et de l'aménagement du territoire, il est actuellement directeur de la Fédération nationale des SCoT. Jean-Philippe Strebler a consacré de nombreuses études au droit applicable à l'affichage publicitaire. Ses ouvrages et ses consultations sont naturellement utilisés par des associations comme France nature environnement luttant contre l'affichage publicitaire illégal. Œuvres[modifier | modifier le code] Jean-Philippe Strebler (préface : Philippe Billet), Affichage publicitaire - guide juridique et pratique, Les Éditions EFE, coll. « Référence premiere », novembre 2004, 675 p. Notes et références[modifier | modifier le code] Portail du droit français
me together: An online study group meet in person for the first time Studying, sunshine and plenty of silly jokes – find out what happened when an online Open University study group met up in real life for the first time. It’s a sunny Saturday morning in Spitalfields, east London, and tension is building in the Water Poet pub. The British Lions are about to take on the Australian Wallabies in one of the biggest rugby matches of the season. But the six women gathered in the sunny courtyard are even more excited than the rugby fans – and that’s saying something. Meet teaching assistants Tina Taylor, Caroline Chester, Michelle Perrigo, Sarah Raynham and Jo Allsopp, and full-time mum and school parent helper Sophia Rattray. ‘I’m just pleased that you all actually exist,’ jokes Tina. ‘But talking to you guys is just like being online,’ says Caroline. And they raise their glasses and drink a toast. The 25 members of The Café, of which six are here today, first encountered each other on another forum set up for their module. ‘And to have a laugh.’ adds Sophia.
Marc Fumaroli Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marc Fumaroli (né à Marseille le 10 juin 1932) est un professeur des universités, historien, essayiste et académicien français spécialiste du XVIIe siècle. Biographie[modifier | modifier le code] Il passe son enfance et son adolescence à Fès. Il effectue des études secondaires au lycée mixte de Fès (où il obtient un baccalauréat ès lettres) et des études supérieures au lycée Thiers à Marseille, à l'université d'Aix-Marseille et à la Sorbonne[1]. En 1958, il est reçu à l'agrégation de lettres classiques. En 1986, il est élu professeur au Collège de France, chaire « Rhétorique et société en Europe (XVIe-XVIIe siècles) ». En 1991, dans L'État culturel, dont le titre a été repris dans celui de l'ouvrage de Jacques Donzelot, L'État animateur, il développe une critique très ferme de la politique culturelle française qui s'enracinerait dans le régime de Vichy, à travers André Malraux, pour atteindre son apogée en Jack Lang.
Un rêve tchèque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un rêve tchèque (Český sen) est un film documentaire tchèque réalisé par Vít Klusák et Filip Remunda, sorti le . Synopsis[modifier | modifier le code] Un Rêve tchèque est le projet de fin d'études de deux étudiants en cinéma. L'idée de cette supercherie provient d'une étude réalisée en 2002 par la société Incoma Research, montrant que 30 % des Tchèques font majoritairement leurs courses dans des hypermarchés. Le film montre l'obsession des gens pour les hypermarchés, et le pouvoir de la publicité. Autour du film[modifier | modifier le code] Le film fut récupéré lors du débat sur l'entrée de la République tchèque dans l'Europe. Fiche technique[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Henri Rochefort Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la façade de la prison Sainte-Pélagie, rue du Puis-de-l'Ermite à Paris, par Eugène Atget en 1898. Rochefort y sera emprisonné deux fois au cours de sa carrière de polémiste. Biographie[modifier | modifier le code] Le journaliste[modifier | modifier le code] Ses débuts[modifier | modifier le code] Titulaire en 1849 du baccalauréat, il est un admirateur de Victor Hugo et renonce vite aux études médicales auxquelles le destinait son père, le prétendu « comte » de Rochefort-Luçay, auteur dramatique lui-même, connu sous le nom d'Armand de Rochefort. C'est en entrant au Figaro qu'il oublie sa particule. Henri Rochefort durant sa détention au fort de l'Île-d'Yeu approuve la création d'un conseil de famille dirigé par son beau-frère Jean Marie Gorges, mari de sa sœur Caroline et ensuite par son secrétaire Jean-Marie Destrem. La Lanterne[modifier | modifier le code] En France, on continue de se délecter de La Lanterne, vendue clandestinement. La Commune
Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil est une comédie satirique réalisée par Jean Yanne, sortie en 1972. Résumé[modifier | modifier le code] Christian Gerber (Jean Yanne), journaliste pour la radio parisienne Radio Plus, est en reportage en Amérique du Sud à la recherche d'un chef rebelle caché dans la jungle. Après négociations, il obtient une interview de ce dernier, mais voit son matériel confisqué par celui-ci. Alors qu'il se fait allègrement doubler par des reporters sans scrupules qui fournissent des reportages bidons, il revient à Paris bien décidé à se venger et à bousculer le train-train de sa radio, dont la ligne éditoriale a été axée sur Dieu et la religion, en accusant ses confrères en direct lors de l'édition de midi. Ayant évité in extremis le licenciement, il est mis sur une voie de garage et nommé « superviseur des émissions artistiques ». Fiche technique[modifier | modifier le code] Portail du cinéma français
André Wurmser Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. André Wurmser, né à Paris le 27 avril 1899 et mort à Paris le 6 avril 1984, est un journaliste et écrivain français. Militant communiste, il a collaboré à plusieurs journaux liés au Parti communiste français, L'Humanité, Ce Soir et Les Lettres françaises. Il a été l'un des protagonistes du procès opposant ce dernier journal à Victor Kravtchenko, auteur de J'ai choisi la liberté. Biographie[modifier | modifier le code] Ses œuvres[modifier | modifier le code] Changement de propriétaire, Paris : Gallimard, 1930 (1929 d'après le cachet du Dépôt légal), 223 p. Références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]