background preloader

L’INTERNET DES OBJETS

L’INTERNET DES OBJETS
«L’Internet des objets» Aujourd’hui, c’est déjà demain La vie quotidienne de millions de personnes a été bouleversée par l’Internet, qui nous relie les uns aux autres, indépendamment des distances et des fuseaux horaires. Aujourd’hui, selon un rapport récemment publié par l’UIT, nous sommes à la veille d’une nouvelle révolution: au cours des vingt prochaines années, le nombre d’internautes, pourtant en pleine augmentation, sera vraisemblablement infime par rapport à la multitude d’objets inanimés qui pourront communiquer les uns avec les autres par voie électronique. Par exemple, les réfrigérateurs pourront échanger des informations avec les rayonnages des supermarchés, les machines à laver pourront faire de même avec les vêtements — et même les vêtements que vous portez pourront «parler» à d’autres objets qui vous entourent. La mise en place de l’infrastructure nécessaire à l’Internet des objets avance à grands pas (Figure 1). Les technologies en vedette De nouveaux marchés potentiels Related:  .caisson test.caisson test

L’expression "Internet des objets" est-elle appropriée ? Les choses – Georges Perec Dans un précédent article, nous avons proposé l’hypothèse que le concept d’Internet des Objets allait disparaitre, les objets devenant acteurs à part entière de l’internet comme les ordinateurs et les humains. En attendant, "Internet des objets" est l’expression généralement utilisée pour parler de cette intégration des objets connectés aux réseaux. Mais est-ce la bonne expression ? Les ponts, les volcans ou les champs se connectent déjà et se connecteront de plus en plus à l’internet grâce à des capteurs appropriés et on peut difficilement qualifier un champ d’objet. Et que dire des animaux, animaux domestiques, bovins et bien d’autres qui sont également connectés pour des raisons de confort, de santé ou de traçabilité. Nous utilisons le terme "internet des objets". Une chose est sûr, le concept est universel et ses applications vont toucher un grand nombre d’éléments de notre environnement. Libelium Smart World Pour le reste, tout semble possible. A suivre

Demain, les réseaux sociaux d’objets La lecture de la semaine, il s’agit d’un article du New York Observer qui date de début novembre, article que l’on doit à Ben Popper et qui s’intitule “Créer le Facebook des objets”. L’article commence très à l’américaine, le journaliste raconte être assis en face d’une jeune entrepreneure du nom de Joe Einhorn, dans son bureau. Ils discutent. Soudain, Einhron regarde l’anneau que le journaliste porte au doigt et lui demande : “Qu’est-ce que c’est que ça ?”. “Google, poursuit le journaliste, a créé le plus gros moteur de recherche du monde en trouvant la meilleure manière de classer les relations entre les milliards de pages qui constituent le Web. Et son projet, c’est de conquérir ce territoire. Image : Homepage de l’un des services de Thing Daemon. Mais, remarque le journaliste, une base de données n’est pas très intéressante, ni même efficace, s’il n’y a pas quelque chose au-dessus d’elle, et si les gens ne se mettent pas à l’utiliser. Quelques mots sur ce papier. Xavier de la Porte

L'Internet des Objets De plus en plus d’objets sont équipés d’émetteurs-récepteurs, acquérant ainsi la capacité de communiquer. Les réseaux d’information qui en résultent portent en eux la promesse de nouveaux modèles économiques, d’une amélioration des processus d’activité et d’une réduction des coûts et des risques. Dans la plupart des organisations, l’information emprunte des circuits connus. Mais ces itinéraires, prévisibles, de l’information sont en train de changer : le monde physique lui-même devient une sorte de système d’information. Déjà, des micro-caméras de la forme d’une pilule parcourent l’appareil digestif et renvoient des milliers d’images permettant de localiser l’origine d’une pathologie. Certains de ces exemples revêtent un caractère futuriste et constituent des signes avant-coureurs pour les entreprises. Le déploiement généralisé de l’Internet des Objets prendra du temps, mais les choses s’accélèrent grâce aux progrès des technologies concernées. 1. 2. 3. 1. 2. 3.

wirkers wirkers Contact - Editeur - Cnil - Wirkers En temps réel déjà : 454039 Merci à nos lecteurs fidèles. Nombre total de visites sur les articles du site : 454039 Erreur 403 Désolé, vous n'êtes pas autorisé à voir la page demandée. Mobilité connectée, partagée et apaisée… Espérance et ambiguité Le sujet est d’importance puisqu’il est censé interférer avec le devenir et l’usage de nombreux espaces publics de cheminement via divers modes. Salon des Entrepreneurs - Ennui et Décalages dans le numérique et le local - Paris février 2012 Paiement mobile et services pour la mobilité urbaine - Synthèse : Espoirs, Réalités, Oublis - Futur en Seine 19 Juin 2012 Pour accéder à votre Atelier ou vous abonner à l'un d'eux , merci de donner vos codes d'accès. [ S'INSCRIRE pour obtenir vos codes d'accès ] [ Changer de mot de passe ]

L’Internet des objets - Définir l’internet des objets 1L’internet des objets est une notion complexe. Entre les puces RFID, les solutions de nommage ou middlewares, l’internet des objets est composé de nombreux éléments complémentaires ayant chacun leurs propres spécificités. Pour mieux appréhender la notion, nous proposons de définir les grands principes de l’IdO tels qu’ils apparaissent aujourd’hui à la lecture des recherches et des rapports réalisés sur la question. 2Si tout le monde ou presque est d’accord pour dire que l’IdO est, sinon l’internet du futur, du moins une dimension fondamentale de l’internet de demain, il n’existe pas de définition standard, unifiée et partagée de l’internet des objets. Conceptuellement : l’apparition d’identités nouvelles pour les objets 1 Anonyme. 2008. 3Certains définissent l’IdO comme des « objets ayant des identités et des personnalités virtuelles, opérant dans des espaces intelligents et utilisant des interfaces intelligentes pour se connecter et communiquer au sein de contextes d’usages variés1 ».

Radio-identification Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une puce de radio-identification EPC utilisée par Wal-Mart La radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l’anglais radio frequency identification), est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais)[1]. Les radio-étiquettes sont de petits objets, tels que des étiquettes autoadhésives, qui peuvent être collés ou incorporés dans des objets ou produits et même implantés dans des organismes vivants (animaux, corps humain[2]). Ces puces électroniques contiennent un identifiant et éventuellement des données complémentaires. Cette technologie d’identification peut être utilisée pour identifier : Principe[modifier | modifier le code] Lecteurs[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes[modifier | modifier le code] Le marqueur se compose : Contraintes[modifier | modifier le code]

The Internet of Things moves a step closer with open source, ultra-low-power JenNet-IP The Internet of Things moves a step closer with open source, ultra-low-power JenNet-IP Much has been written about the "internet of things." Right now, not every human being has an IP but in the very near future, low cost smart chips will be added to every device to give it an IP address and everything in one's life will become part of your private secure network to be monitored and controlled (and hence become smart) via a smartphone, tablet or PC. Earlier this week, Dutch-based NXP Semiconductors announced its GreenChip, which for the cost of about US$1.00, enables every light bulb to have its own wireless IP address. NXP has subsequently announced it is to make its JenNet-IP, ultra-low-power, IEEE 802.15.4-based, wireless network layer software available under an Open Source license in Q4, 2011. About the Author Post a CommentRelated Articles Just enter your friends and your email address into the form below For multiple addresses, separate each with a comma

Entretiens du Nouveau Monde industriel : Quand les objets passent du numérique au physique Par Hubert Guillaud le 03/12/09 | 3 commentaires | 1,532 lectures | Impression A l’occasion des entretiens du Nouveau Monde industriel consacrés aux nouveaux objets communicants, qui se tenaient la semaine dernière au Centre national des arts et métiers, retour sur quelques présentations parmi celles qui nous ont semblé les plus marquantes de ces deux jours. Reprendre un imaginaire d’avance… “Que peut-on faire de transformateur à partir de la rencontre du numérique et du physique ?”, se demande Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération. Le paradigme des objets communicants ressemble plutôt à la gestion de flotte de véhicule, à de l’habitat ultra connecté que l’on pense au bénéfice de gens qui sont sensés en avoir besoin, comme les personnes âgées dont on puce les habitations… Force est de constater que nul n’éprouve un énorme désir à habiter une maison de ce type. Image : Daniel Kaplan lors des Entretiens du Nouveau Monde industriel, par Samuel Huron.

lri.fr_cours.pdf Repenser l?internet des objets (1/3) : L?internet des objets n?est pas celui que vous croyez ! ? InternetActu.net Par Daniel Kaplan le 23/04/09 | 18 commentaires | 6,410 lectures | Impression L’”internet des objets” (internet of things), ne mérite pas son nom, explique Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération (Fing). D’une part, parce que la mise en réseau des objets se réalise aujourd’hui en silos – applications, services, organisations –, ce qui n’a rien à voir avec l’interconnexion généralisée qu’incarne l’idée d’inter-réseau. L’objet internet Le 30 juin 2008, la justice française tranchait en faveur de LVMH dans son conflit avec eBay. Ce second motif nous intéresse beaucoup. Un objet de l’internet, en quelque sorte. La confusion des mots Le sac Vuitton apparaît alors comme une incarnation possible de l’”internet des objets”. D’autres y ajoutent les capteurs, des objets producteurs de données. Les multiples récits de l’internet des objets Admettons donc que ce qui précède décrive le substrat technologique de l’internet des objets. Daniel Kaplan

Les technologies du Web sémantique J'ai écrit le texte de ce billet en guise d'introduction aux technologies du Web sémantique pour le projet de publication selon les règles du Web de données du thésaurus pour l'indexation des archives locales publié par les Archives de France que j'ai mené pour Atos Origin avec le Service Interministériel des Archives de France au printemps 2010 (et sur lequel il faudra que je trouve le temps de revenir sur ce blog pour vous en dire plus...). Claire Sibille, conservateur en chef au SIAF, m'a très gentiment donné l'autorisation de republier ces textes sur mon blog. Je l'en remercie. Le Web sémantique désigne, en premier lieu, une activité du W3C, l'organisme de normalisation du Web, visant au développement de technologies de mise à disposition des données structurées en vue de leur traitement par les machines sur le Web. Les différentes technologies du Web sémantique forment des couches dont la compréhension est essentielle pour appréhender au mieux ses possibilités. Le graphe RDFa <!

Les objets communicants [Aristote] La première vague Internet fut une révolution dans les modes d’information, et introduisit une nouvelle forme de publication, la page Web, au-dessus de standards comme IP, http et html. Le début du 21 ème siècle vit l’émergence de la seconde vague, qui magnifia la notion de collaboration et d’interactivité. Le moi se confrontait à l’autre, à la communauté. En 2009, une troisième vague se profile, celle de l’Internet du moi augmenté où l’individu devient le navigateur et se déplace dans le monde réel, bardé de capteurs pour augmenter sa perception et d’une intelligence pour le comprendre. L’individu dispose de compagnons numériques, situés soit sur lui, soit dans une voiture, soit dans sa maison. la matinée sera consacrée aux implications économiques et culturelles d’un monde d’objets communicants; l’après midi traitera des aspects pratiques (comment construire, programmer un objet communicant) et aux usages dans les domaines clef de l ‘éducation, la santé et l’énergie. Alain Renaud (Univ.

Manie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il ne faut pas confondre l’état maniaque avec des traits obsessionnels (obsession du ménage et de la propreté par exemple), acception pourtant retenue dans le langage courant. Symptômes et signes[modifier | modifier le code] Un épisode maniaque est caractérisé par une modification de l’humeur, et la survenue de certains symptômes tels ceux décrits ici. Bien évidemment, tous les symptômes ne sont pas présents à la fois chez un même individu. Des symptômes typiques sont par exemple : une excitation, une exaltation, ressenti de « pressions intérieures » ;une humeur « élevée » : euphorique classiquement, mais aussi une irritabilité, une plus grande réactivité (« au quart de tour »), une propension à se mettre en colère ;de l’activité sans repos, de l’agitation improductive. Traitements[modifier | modifier le code] Le traitement préventif est essentiel pour éviter les rechutes. Notes et références[modifier | modifier le code]

Related: