Antonin Gadal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Antonin Gadal (né en 1877 à Tarascon-sur-Ariège et mort en 1962) est un mystique français et un historien qui dédia son existence à l'étude des Cathares du sud de la France, à leur spiritualité, croyances et idéaux. Biographie[modifier | modifier le code] À proximité de chez lui vivait l'historien Adolphe Garrigou (1802-1897), que l'on surnommait souvent dans la région « Le patriarche du Sabarthez ». Adolphe Garrigou, tout comme Napoléon Peyrat, était convaincu que l'histoire des Cathares avait été falsifiée, et ses travaux visaient à restaurer la vérité sur la foi chrétienne et le martyre des Cathares. Antonin Gadal devint instituteur, mais sa fascination pour les Cathares le poussa à effectuer des recherches archéologiques dans ces lieux empreints d'un riche et lourd passé, tant préhistorique que médiéval. M. Antonin Gadal voyait en Catharose de Petri, la réincarnation d' Esclarmonde de Foix. Publications[modifier | modifier le code]
Catharisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Catarrhe. Le catharisme (du grec καθαρός / katharós, « pur ») est un mouvement médiéval d'origine antique, un manichéisme avec des aspects chrétiens[réf. nécessaire]. Il ne s'est jamais autodésigné ainsi, car ce terme, inventé par l'abbé Eckbert von Schönau (de) († 1184) pour désigner les « hérétiques », fut popularisé en français par l'occitanisme des années 1960 dressé contre le centralisme jacobin[1]. Les guides religieux « cathares », en effet, se désignaient eux-mêmes comme « Bons Hommes », « Bonnes Dames » ou « Bons Chrétiens » et leurs ennemis contemporains les appelaient les « hérétiques albigeois ». Origines[modifier | modifier le code] Le château de Montségur, pris en 1244 après un siège de plusieurs mois, et reconstruit vers la fin du XIIIe siècle. Le nom de « cathares » a été donné par les ennemis de ce mouvement, jugé hérétique par l'Église catholique romaine et adopté tardivement par les historiens.
Discussion:Antonin Gadal Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. le jardin des Roses.Albi[modifier | modifier le code] texte de Jan van Rickenborgh -Lorsque nous partîmes pour Albi en l'année 1946, nous ne connaissions de cette ville que le no^m...Nous avions un but secret, celui de reprendre le fil de la fraternité précédente,la fraternité tranfiguristique, connue comme celle des Albigeois.Ce nom,avait évidemment une signification,.C'est pourquoi nous devions nous rendre à Albi ,bien qu'il semblât, après investigations, que d'autres lieux du sud de la France était peut être plus propices. Nous partîmes toutefois vers Albi ,via Toulouse,comme poussés par une voix intérieure. Dès que nous arrivâmes par le train , nous eûmes la sensation que nous étions içi en terrain connu et nous allâmes droit à notre but, un vieux bâtiment, situé à droite de la grande cathédrale,le long de la rive élevée du Tarn... Unification des 3 courants[modifier | modifier le code] Widar 13 octobre 2006 à 18:41 (CEST)
Châteaux cathares Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « Châteaux du Pays cathare » désigne un regroupement de châteaux situés dans une région où le catharisme s'est développé. Cependant la plupart des châteaux appelés « cathares » n'ont pas de rapport avec l'histoire de l'hérésie dualiste du XIIe siècle en Occitanie. Châteaux cathares est un terme utilisé par le tourisme contemporain (à l'instar de Pays cathare) pour désigner, de manière arbitraire, la série de forteresses bâties par le roi de France sur la frontière sud de ses domaines à l'issue de la croisade contre les Albigeois. Lastours Les vrais « châteaux cathares »[modifier | modifier le code] La légende des architectes et bâtisseurs cathares n'est qu'un dernier avatar du mythe de Montségur. Les châteaux cathares dans l'Occitanie[modifier | modifier le code] Les citadelles royales[modifier | modifier le code] Le Château de Queribus Ces cinq châteaux furent alors nommés les cinq fils de Carcassonne :
spip.php%3Fpage%3Dprint+jan+van+rijckenborg+pdf&cd=17&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&source=www.google Werner Greub (1909 – 1997), membre éminent de la société Anthroposophique fondée par Rudolf Steiner, a consacré de nombreuses années à effectuer des recherches sur les aspects historiques du Parzival de Wolfram von Eschenbach, recherches partiellement publiées en 1974 sous le titre Wolfram von Eschenbach und die Wirklichkeit des Grals (Wolfram von Eschenbach et la réalité du Graal). En tant qu’étudiant de Rudolf Steiner, il a été marqué par les paroles du maître assurant que les événements relatés dans Parzifal sont à rechercher au IXème siècle (voir "quelques mots de Rudolf Steiner") et non au XIIIème siècle, date à laquelle Wolfram a composé son oeuvre. Le livre de Werner Greub, extrêmement riche, veut démontrer les points suivants : Wolfram est avant tout un historien qui souhaite mettre par écrit une tradition orale transmise pendant 11 générations. S’il s’agit d’une histoire de famille, que vient faire la partie Gauvain dans ce récit ? Pourquoi Arthur ? 1. 2. 3.
Les templiers et les Cathares différences Lettre de Simone Weil à Déodat Roché sur le Catharisme : La Question Stèle commémorative du bûcher de Montségur inaugurée en 1960 par la Société du Souvenir et des Etudes Cathares fondée par Déodat Roché Simone Weil Je viens de lire chez Ballard votre belle étude sur l’amour spirituel chez les cathares. Depuis longtemps déjà je suis vivement attirée vers les cathares, bien que sachant peu de choses à leur sujet. Vos études m’ont confirmée dans une pensée que j’avais déjà avant de les avoir lues, c’est que le catharisme a été en Europe la dernière expression vivante de l’antiquité pré-romaine. Il y a chez les manichéens quelque chose de plus que dans l’antiquité, du moins l’antiquité connue de nous, quelques conceptions splendides, telles que la divinité descendant parmi les hommes et l’esprit déchiré, dispersé parmi la matière. Excusez ces réflexions décousues ; je voulais simplement vous montrer que mon intérêt pour le catharisme ne procède pas d’une simple curiosité historique, ni même d’une simple curiosité intellectuelle. S.
Château de Lordat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Géographie[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Sa construction remonte vraisemblablement aux IXe et Xe siècles. Des travaux de consolidation et de mise en valeur ont été entrepris par la collectivité depuis 1999. Architecture[modifier | modifier le code] Le château de Lordat dont il ne reste que des ruines fut une forteresse protégée par trois enceintes concentriques surmontées de courtines. Les Aigles de Lordat[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liste de châteaux pyrénéens Liens externes[modifier | modifier le code]
Château de Montségur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Géographie[modifier | modifier le code] Située sur la commune de Montségur dans le département de l'Ariège et la région Midi-Pyrénées. Le château, restauré, est situé sur le point culminant de la montagne qui surplombe le village, à 1 207 mètres d'altitude au-dessus du Pays d'Olmes. Le château serait postérieur au bûcher et construit par les membres de la maison de Lévis après 1244. Histoire[modifier | modifier le code] Le château sur le site actuel a connu trois époques majeures au cours desquelles la forteresse se transforma peu à peu. Une première forteresse, signalée dès le XIIe siècle, fut érigée au sommet de la montagne, appelée aussi pog (un Pog, est l'interprétation libre, par Napoléon Peyrat, d'une forme ariégeoise du mot occitan puèg / puòg, du latin pŏdĭum, signifiant « éminence », pour désigner la montagne en forme de pain de sucre de Montségur. La forteresse cathare[modifier | modifier le code] Vue intérieure du château