La commune des philosophes sur OverBlog Penser la laïcité, revue Bloc-notes actualité Penser la laïcité : revue et interventions En ligne le 20 janvier 2014. Mise à jour du 12 avril. Ce Bloc-notes réactualisé est consacré aux recensions et interventions autour de… Homo homini agnus est La vidéo ci-dessous sur cette femme sourde de naissance qui entend pour la première fois grâce à un implant prouve : 1) que la science fait des miracles (mais nul ne l'ignorait) 2) que la voix… Réflexions sur la poésie Si nous nous posons les questions suivantes : en quoi la poésie est-elle singulière, qu'apporte-t-elle à chacun de nous, qu'entend-t-on par phénomène poétique, que répondre pour cerner le sujet au… La statue de sel La Bible valorise la femme qui s'est retournée sur le désastre et s'est transformée en statue de sel pour le bien de l'humanité. Philhellène Les livres ne sont rien de plus que des lettres écrites à des amis, c'est à dire quelque chose, mais au fond pas grand chose, juste des étapes. Amour et écriture
2012-557 du 24 avril 2012 relatif aux obligations de transparence des entreprises en matière sociale et environnementale Les articles R. 225-104 et R. 225-105 du code de commerce sont remplacés par les dispositions suivantes : « Art. R. 225-104.-Les seuils prévus au sixième alinéa de l'article L. 225-102-1 sont fixés à 100 millions d'euros pour le total du bilan, à 100 millions d'euros pour le montant net du chiffre d'affaires et à 500 pour le nombre moyen de salariés permanents employés au cours de l'exercice. « Le total du bilan, le montant net du chiffre d'affaires et le nombre moyen de salariés permanents employés au cours de l'exercice sont déterminés conformément aux quatrième, cinquième et sixième alinéas de l'article R. 123-200. « Art. I. ― Les dispositions du premier alinéa de l'article R. 225-104 du code de commerce dans leur rédaction issue de l'article 1er du présent décret sont applicables aux exercices ouverts après le 31 décembre 2013.
Michel Onfray Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Michel Onfray Philosophe occidental Époque contemporaine Michel Onfray au Théâtre du Rond-Point en 2010. Biographie[modifier | modifier le code] Né d’un père ouvrier agricole[3] et d’une mère femme de ménage[4],[5], Michel Onfray est « pris en charge » de 10 ans à 14 ans dans un pensionnat catholique à Giel dans l'Orne qui fait office d'orphelinat et qu'il décrit comme un lieu de souffrance — « Je fus l'habitant de cette fournaise vicieuse » — dans la préface d'un de ses ouvrages, La Puissance d’exister et, également, de manière courte dans la préface de son Crépuscule d'une idole, l'affabulation freudienne. En 1986, à 27 ans, il soutient une thèse de troisième cycle, intitulée « Les implications éthiques et politiques des pensées négatives de Schopenhauer à Spengler[6],[7] » sous la direction de Simone Goyard-Fabre[8],[9], au centre de philosophie politique et juridique de l'université de Caen[10]. À 28 ans, il frôle la mort lors d'un infarctus.
La norme ISO 26000 en quelques mots / DD/RSE-ISO 26000 / Centre d'intérêt La norme ISO 26000 en quelques mots L'ISO 26000 présente des lignes directrices pour tout type d'organisation cherchant à assumer la responsabilité des impacts de ses décisions et activités et en rendre compte. Elle définit la responsabilité sociétale comme : Responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement transparent et éthique qui : contribue au développement durable y compris à la santé et au bien-être de la société prend en compte les attentes des parties prenantes respecte les lois en vigueur et est compatible avec les normes internationales est intégré dans l’ensemble de l’organisation et mis en œuvre dans ses relations Elle décrit deux pratiques fondamentales de responsabilité sociétale que sont : Ces deux pratiques visent à déterminer les domaines d’action pertinents et prioritaires pour une organisation à partir : Pour commander la norme ISO 26000... Historique
- PhiloLog LE JARDIN PHILOSOPHE : blog philo-poiétique de Guy Karl Portail:Logique Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce portail a pour but de présenter la logique qui est un des domaines les plus importants de la recherche et de la connaissance. Son objectif est de mettre en avant les différents aspects de cette discipline dans une perspective pluridisciplinaire. La logique est en effet une composante essentielle aussi bien de l'informatique et de la linguistique que des mathématiques et de la philosophie (et tout particulièrement de la philosophie analytique). Ce portail s'adresse donc aux mathématiciens, aux philosophes, aux passionnés d'intelligence artificielle et à tous ceux qui veulent approfondir leurs connaissances d'une discipline en plein bouleversement - ou bien les partager. Si vous voulez vous-même participer aux articles concernant la logique, il existe une page Projet Logique qui permet aux différents contributeurs de coordonner leurs efforts.
Herméneutique L'herméneutique (du grec ἑρμηνευτική τέχνη / hermēneutikḗ téchnē, « art d'interpréter »[1]) est la théorie de la lecture, de l'explication et de l'interprétation des textes. L'herméneutique ancienne est formée de deux approches complètement différentes : la logique d'origine aristotélicienne (à partir du Peri Hermeneias ou De l'interprétation d'Aristote) d'une part, l'interprétation des textes religieux (orphisme ou herméneutique biblique par exemple) et l'hermétisme d'autre part. L'herméneutique moderne se décline en sous-disciplines : Définition générale[modifier | modifier le code] Champs de l'herméneutique[modifier | modifier le code] On parle d'« herméneutique » pour l'interprétation des textes en général. L'interprétation des Écritures saintes, qu'il s'agisse de la Bible ou du Coran, est un sujet qui demeure délicat. L'étude, la traduction et l'interprétation des textes classiques (antiques) naît à la Renaissance : c'est la philologie. Stoïcisme[modifier | modifier le code]
Dialectique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). Elle aurait été inventée par le penseur présocratique Zénon d'Élée[1], mais c'est surtout son emploi systématique dans les dialogues de Platon qui a popularisé l'usage du terme. La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement. Histoire[modifier | modifier le code] La dialectique dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Chez les présocratiques[modifier | modifier le code]
Paradoxe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Paradox. Les « cubes impossibles » de M. Escher sont des représentations graphiques paradoxales. Un paradoxe, d'après l'étymologie (du grec paradoxos, « παράδοξος » : « contraire à l'opinion commune », de para : « contre », et doxa : « opinion »), est une idée ou une proposition à première vue surprenante ou choquante, c'est-à-dire allant contre le sens commun. En ce sens, le paradoxe désigne également une figure de style consistant à formuler, au sein d'un discours, une expression, généralement antithétique, qui va à l'encontre du sens commun. Le paradoxe est un puissant stimulant pour la réflexion. On trouvera une collection importante de paradoxes dans la catégorie Paradoxe. Histoire[modifier | modifier le code] Par la suite, le paradoxe sera un élément moteur de la science en devenir. La naissance de la physique moderne, au début du XXe siècle, entraîna l'apparition de nombreux paradoxes. — Bertrand Russell
Heuristique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : heuristique, sur le Wiktionnaire L'heuristique (du grec ancien εὑρίσκω, eurisko, « je trouve »[1]), parfois orthographiée euristique, est un terme de didactique qui signifie « l'art d'inventer, de faire des découvertes »[2]. Voir aussi[modifier | modifier le code] Sérendipité Notes et références[modifier | modifier le code] Cynisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Cynique » redirige ici. Pour l’article homophone, voir Sinik. Le cynisme est une attitude face à la vie provenant d'une école philosophique de la Grèce antique, fondée par Antisthène[1], et connue principalement pour les propos et les actions spectaculaires de son disciple le plus célèbre, Diogène de Sinope. L'école cynique prône la vertu et la sagesse, qualités qu'on ne peut atteindre que par la liberté. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme « cynisme » provient du grec ancien κύων / kuôn, qui signifie « chien », en référence à l'attitude d'Antisthène, inspirateur du cynisme, puis de celle de Diogène de Sinope, généralement considéré comme le premier véritable cynique ; Diogène de Sinope souhaitait être enterré « comme un chien ». Platon définissait Diogène de Sinope comme un Socrate devenu fou dont le but est de subvertir tout conformisme, tout modèle moral. Principaux thèmes[modifier | modifier le code] Ve siècle av.