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Les 10 sites menacés par le tourisme de masse

Les 10 sites menacés par le tourisme de masse
1 - Venise L'image d'un immense paquebot longeant la fragile lagune de Venise, cette semaine à la télévision, a laissé pantois les amateurs de la Cité des Doges. Pas moins de 500 paquebots passent ainsi chaque année entre les îles et la Place Saint-Marc, pour fournir une plus belle vue aux photographes. Quitte à ce que la pollution des bateaux et la pression de l'eau ravage un peu plus la merveille qu'ils admirent ! 2 - L'île de Pâques L'accès à la fameuse île de Pâques, qui appartient au Chili, est désormais organisée avec un Pass que gèrent les autorités locales avec les agences de voyage, pour réduire le nombre et la durée des séjours sur place. 3 - Les îles Galapagos Leur faune et leur flore est unique au monde, valant dès 1978 aux Galapagos une inscription méritée sur la liste du Patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco. 4 - Le mont Kilimandjaro 5 - Le mont Everest On pourrait croire que l'ascension de l'Everest est réservée à une élite. 6 - Le Machu Picchu 8 - Pétra, en Jordanie Related:  EPE Tourisme de masse à VeniseDA SILVA PEREIRA Marion EPE : Tourisme de masseTourisme

France-Monde | Le surtourisme, une fatalité ? Le sujet est devenu tellement sensible que l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) lui a consacré plusieurs rapports. Comment accueillir toujours plus de touristes sans y perdre son âme ? Pour nombre de destinations, c’est devenu un véritable casse-tête. Le cas de Venise est le plus emblématique – et sans doute aussi le plus ancien. Risque de « muséification » Venise, Barcelone, Dubrovnik, Lisbonne, Amsterdam, Salzbourg, Reykjavik… La liste des villes confrontées au problème du « surtourisme » ne cesse de s’allonger. Et c’est compter sans un phénomène plus impalpable : la perte d’authenticité, déplorée aussi bien par les touristes que par des habitants qui n’hésitent plus à mener la fronde. « Tourist go home » (« Touriste, rentre chez toi ») fait partie des slogans qui ont fleuri ces dernières années sur les murs de Barcelone. Autre stratégie : l’introduction de numerus clausus à l’entrée des sites les plus fréquentés.

Les ravages du tourisme de masse sur Arte  Arte / 20H50 - Venise, Barcelone, Dubrovnik… Submergées par les visiteurs, ces trois villes y ont perdu leur identité. Quand Sacha Guitry disait que «les voyages, ça sert surtout à embêter les autres une fois qu’on est revenu!», il n’avait perçu qu’une partie du problème. Soyons indulgents. À son époque, arpenter la planète n’était pas aussi facile qu’aujourd’hui. Rien de tel que des chiffres pour faire peur. «L’Unesco ne fait rien, à part se faire de la publicité» Comme des boxeurs rebondissant dans les cordes du ring, les maires des trois villes se répondent ou s’opposent à tour de rôle. C’est ce que cherche à éviter la maire de Barcelone, précisant que les touristes ne sont pas des ennemis. À Dubrovnik, le constat est le même.

Quand le tourisme dénature le monde Quand il était guide en Antarctique, dans les années 90, Alain A. Grenier, professeur en tourisme et en développement durable à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), se rappelle que « les gens n’étaient jamais satisfaits de la distance qui les séparait des animaux ». Être plus près. Avoir le meilleur point de vue. Voilà les revendications des voyageurs qui paient une fortune pour ce genre d’expédition. Il lui revient également en tête des images où les touristes marchaient au milieu des manchots, expérience fort perturbante pour ces animaux. « On joue sur le côté magique du divertissement. — Alain A. Les safaris en Afrique. A-t-on perdu la maîtrise de la situation ? Pour le directeur général d’Aventure Écotourisme Québec, Pierre Gaudreault, la présence d’un guide peut aussi contribuer à réduire les impacts sur l’environnement. « Il y a de plus en plus de gens qui pratiquent le plein air, ajoute-t-il. « Qui travaille dans ces bateaux-là ?

Venise : le tourisme menace son patrimoine Cet article date de plus de six ans. Publié le 15/03/2018 20:46 Mis à jour le 15/03/2018 22:15 Durée de la vidéo : 4 min En moins d'un demi-siècle, la ville a perdu la moitié de ses habitants. Les Vénitiens ont fui le tourisme de masse qui s'est emparé de la ville, au point de lui faire perdre son âme. Venise, livrée au tourisme de masse, est désertée par ses résidents. Le centre de Venise perd 1 000 habitants chaque année. Partager : l'article sur les réseaux sociaux L’actu à 18h30 Tous les soirs, recevez l’essentiel de l’actualité France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "L’actu à 18h30". les mots-clés associés à cet article Les lieux les plus visités combattent le «surtourisme» Venise prévoit envoyer les gigantesques navires de croisière ailleurs. Barcelone serre la vis aux locations d’appartements. Les deux villes se trouvent sur les lignes de front des efforts pour combattre le « surtourisme », un phénomène qui bouscule les communautés, met en danger des édifices irremplaçables et nuit au plaisir aussi bien des visiteurs que des résidants. La phobie des touristes se propage de plus en plus, surtout dans ces destinations européennes où les touristes s’agglomèrent tous en même temps. La colère a même donné naissance à des slogans comme « Touristes, rentrez chez vous » et « Les touristes sont des terroristes ». « Le réveil est brutal », a récemment déclaré Taleb Rifai, le secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), une agence onusienne. L’exaspération risque d’augmenter en même temps que le nombre de touristes. Rentrées d’argent Le tourisme est pourtant la première source de prospérité et d’emplois de plusieurs destinations.

Venise : la taxe salée qu'il faudra désormais payer Préparez-vous à sortir la monnaie pour visiter Venise le temps d'une journée ! Le parlement italien a approuvé une mesure, introduite dans la loi de finances du pays, qui permettra à la cité des Dogues de faire payer un ticket d'entrée à ses visiteurs. À partir de juillet prochain, les touristes qui arrivent directement en bateau devront également payer une taxe. "Le montant maximum autorisé pour ces deux mesures [taxe de séjour + contribution de débarquement] est porté à 10 euros", précise la loi dont franceinfo se fait l'écho. Ainsi, cette nouvelle taxe vise les touristes qui ne dorment pas dans des hôtels et qui de ce fait ne paient pas la taxe de séjour. Un énorme manque à gagner pour Venise qui accueille chaque année quelque 600 navires, ce qui représente entre 20 et 23 millions de touristes. Selon les premières estimations de la ville, cette nouvelle taxe pourrait lui rapporter près de 50 millions d'euros par an.

La mer Méditerranée menacée par le tourisme de masse, selon WWF sur Orange Actualités franceinfo, publié le mercredi 27 septembre 2017 à 12h56 L'ONG WWF, dédiée à la protection de l'environnement, tire la sonnette d'alarme sur les dangers qui pèsent sur la mer Méditerranée, dans un rapport publié mercredi 27 septembre. Pour le Fonds mondial pour la nature, les coupables sont le tourisme de masse et l'"exploitation non durable des ressources de la mer". Si l'on prend l'ensemble des activités économiques menées en Méditerranée, elles représentent "chaque année environ 450 milliards de dollars", rappelle le WWF. Le tourisme marin et côtier représente 92% de cette somme. La pêche et l'aquaculture composent les autres activités économiques menées en Méditerranée. Le rapport, intitulé Relancer l'économie de la mer Méditerranée, les actions pour un futur durable, estime que "le modèle actuel de tourisme de… Lire la suite sur Franceinfo

La fontaine de Trevi étouffe avec le flot de touristes | Virginie ZILIANI | Italie «Il faudrait plus d'ordre, sinon la visite n'est pas agréable», estime Rafel Llerat, un visiteur de 44 ans venu d'Espagne. La place de Trevi, où se dresse la célèbre fontaine du XVIIIe siècle classée au patrimoine mondial de l'Unesco, est nichée au coeur d'un lacis de ruelles dans un espace réduit du centre historique de Rome, vite encombré par le flot quotidien de touristes. Une quinzaine de policiers municipaux sont déjà chargés de réguler l'espace et de veiller sur le chef d'oeuvre du Bernin. Avec leurs sifflets, ils rappellent à l'ordre les visiteurs au moindre comportement inconvenant. «Non, ce n'est pas possible d'aller dans cette zone, vous risquez d'abîmer le marbre», lance l'un d'eux à une touriste qui tente de manger sa glace au bord de la fontaine. Il y a trois semaines, une rixe avait éclaté entre une jeune touriste néerlandaise et une italo-américaine de 44 ans, toutes les deux ayant jeté leur dévolu sur un endroit stratégique pour prendre une photo. Bains sauvages

Venise veut apprendre le savoir-vivre à ses touristes Face à l’afflux des touristes, la Cité des Doges a lancé #enjoyrespectvenezia, une campagne de sensibilisation pour inciter les visiteurs à adopter un comportement responsable, respectueux de la ville, et de ses résidents. Ca ressemble au hashtag de n’importe quelle campagne marketing. Mais, fait plutôt nouveau, entre "enjoy" et "venezia", la Cité des Doges a glissé le mot "respect", bien déterminée à inciter certains de ses visiteurs à changer de comportement. "#EnjoyRespectVenezia est la campagne de sensibilisation de la Ville de Venise lancée à l’occasion de l’Année Internationale du Tourisme Durable pour le Développement, pour inciter les visiteurs à adopter des comportements responsables et respectueux envers l’environnement, le paysage, les beautés artistiques, l’identité de Venise et ses habitants", explique la ville sur son site. Jusqu’à 500 euros d’amende pour les indélicats Des interdits, et des bonnes pratiques Chaque année, Venise accueille en moyenne 22 millions de touristes.

Progression des apprentissages au secondaire Imprimer la section Territoire forestier Territoire énergétique Territoire industriel Le territoire région est organisé en fonction de l'exploitation d’une ressource. A. Un territoire touristique s’organise en fonction d’un attrait majeur. Deux des six territoires touristiques proposés dans le programme doivent être étudiés. Les concepts prescrits dans le programme ne font pas l’objet d’un énoncé spécifique. Haut de page Comment être un voyageur responsable? - Voyages pour la planète Le tourisme durable est avant tout basé sur la notion d’échange et de respect : respect de vos hôtes, respect de leur culture, et respect de la nature. Le voyageur soucieux de s’inscrire dans cette démarche doit donc respecter certaines règles de bonne conduite que nous avons souhaité compiler ci-dessous. En effet, par ignorance et donc sans le vouloir, les touristes peuvent être la cause d’un certain nombre d’impacts négatifs sur les populations d’accueil, alors qu’un voyageur bien informé est au contraire garant du respect d’un certain équilibre et d’un accueil favorable. De même, il website existe aujourd’hui un tas de petites astuces qui peuvent vous permettre de réduire votre impact sur l’environnement sans rien entamer de votre plaisir. Les conseils ci-dessous sont bien sûr valables pour toutes les destinations, cependant une attention particulière est demandée pour les pays avec lesquels nous avons une grande différence culturelle. Avant le départ Respect de la nature Equipements

Le tourisme de masse va-t-il "s'autodétruire" ? Cet été, des actions coup de poing ont été menées dans plusieurs villes espagnoles par des groupes d'habitants, pour dénoncer les effets néfastes sur leur quotidien du déferlement de dizaines de millions de vacanciers. Des formes de "tourismophobie" montent aussi depuis des années à Venise, Dubrovnik, Ibiza, Gérone ou Majorque, où les flots de visiteurs grossissent toujours plus. Mais ce "touriste" - accusé de tous les maux - n'est bien souvent que "le bouc-émissaire d'un malaise qui en cache un autre, celui de sociétés fragmentées par l'industrie du tourisme", relève l'anthropologue Jean-Didier Urbain, au dernier jour du salon professionnel du Tourisme Top Resa à Paris. LIRE AUSSI - "Vous n'êtes pas les bienvenus" : rejet du tourisme de masse en Europe Le tourisme massif produit "des effets extrêmement clivants sur la population locale : d'un côté des gens s'enrichissent, et de l'autre des gens subissent, sont prolétarisés et marginalisés", souligne-t-il à l'AFP. Quotas de touristes ?

Une fromagerie multiplie par 10 la population de son village SAINTE-ÉLIZABETH-DE-WARWICK | Une fromagerie du Centre-du-Québec est devenue le principal moteur économique et touristique de son village. Elle organise, chaque semaine, une activité qui multiplie par 10 sa population. Chaque vendredi, la Fromagerie du presbytère accueille des gens sur son terrain de Sainte-Élizabeth-de-Warwick, près de Victoriaville, afin qu’ils viennent déguster ses produits. À titre comparatif, la municipalité de Sainte-Élizabeth-de-Warwick ne compte que 363 citoyens. C’est le huitième été que le propriétaire, Jean Morin, invite les gens au presbytère. Au fil des ans, il a ajouté des produits à l’offre fromagère, permettant notamment à une boulangerie, un vignoble et un maraîcher de s’installer sur les terres du presbytère les vendredis soirs. « Nous ne voulons pas de revendeurs. On y offre des aliments complémentaires aux produits de la fromagerie, comme des pâtés, des terrines et de la bière artisanale. Photo collaboration spéciale, Yanick Poisson

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