Recrutement : comment faire le bon choix ? Un recrutement n’est jamais un acte anodin car il peut coûter cher à l’entreprise. Il convient donc de ne pas partir à l’aventure, en se fiant à son instinct… Principes du recrutement Trop fréquemment, les recrutements sont menés de façon uniquement intuitive, sans réelle analyse ni de la fonction à pourvoir, ni du profil souhaité pour le poste. Sans méthode, cet acte de management (probablement le plus difficile) se conclut souvent par des échecs dont les conséquences peuvent être fortement dommageables, tant pour l’entreprise que pour le candidat. Il est impératif de bien préparer une embauche de manière à cerner au plus près les tenants et les aboutissants de la fonction, de définir le profil « idéal » du candidat, de définir les outils de recherche et de s’armer de… patience. On peut diviser le recrutement en quatre phases successives. Phase 1 : Mise au point d’un référentiel de recrutement Définition de fonction (Quel poste ? Phase 2 : Recherche et présélection Phase 4 : Intégration
Assistant(e) de gestion PME/PMI : Fiche métier L’assistant(e) de gestion PME / PMI travaille dans des entreprises entre 20 et 250 salariés. Il/elle doit être en mesure de prendre en charge des tâches très variées allant du suivi des dossiers administratifs, commerciaux et comptables de l’entreprise à la gestion du personnel ou la communication. Ses principales fonctions Il/elle a en charge les missions liées à la gestion globale de l’entreprise : Les pré-requis : Faculté d’adaptation et de réactivitéRigueur, méthode, sens de l’organisation et des priorités Sens des responsabilitésExcellent sens relationnelDiscrétionEsprit d’initiative et de synthèseBonne culture générale Formations et expériences BTS assistant(e) de managerBTS assistant(e) de gestion PME/PMI Salaires Entre 22800 et 42000 € brut par an Voir le portrait métier de Sylvia Riondet-Delion, assistante de gestion PME-PMI
La liberté du commerce et de l'industrie - Carrières Publiques La liberté du commerce et de l'industrie est un principe issu de la Révolution française, mais qui connaît des déclinaisons très actuelles. La jurisprudence révèle la difficulté d'articulation entre ses deux principales composantes, la liberté d'entreprendre et le principe de non-concurrence. La liberté du commerce et de l'industrie est un principe polymorphe, dégagé au cours de la Révolution française par la loi des 2 et 17 mars 1791 dite « décret d'Allarde ». Son article 7 pose le principe selon lequel « il sera libre à toute personne de faire tel négoce ou d'exercer telle profession, tel art ou métier qu'elle trouvera bon, après s'être pourvu d'une patente et à la charge de se conformer aux règlements qui pourront être faits ». Elle a été par la suite confirmée par la loi des 14 et 17 juin 1791 - dite « Le Chapelier » - supprimant les corporations. I - La protection traditionnelle de la liberté d'entreprendre des personnes privées B - L'encadrement de la liberté d'entreprendre
Comment bien choisir un candidat !! CV en ligne, modèles de CV et lettre de motivation, conseils cv offre d'emploi La libre circulation des ressortissants de l'UE - Emploi, affaires sociales et inclusion - Commission européenne La libre circulation des travailleurs est un principe fondamental établi par l'article 45 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne et développé par le droit dérivé et la jurisprudence de la Cour de justice européenne. Les citoyens européens ont le droit: de chercher un emploi dans un autre pays de l'UE; d'y travailler sans avoir besoin d'un permis de travail; d'y vivre dans ce but; d'y rester même après avoir occupé cet emploi; de bénéficier du même traitement que les citoyens de ce pays en ce qui concerne l'accès à l'emploi, les conditions de travail et tout autre avantage social ou fiscal. Les citoyens européens peuvent également faire transférer certains types d'assurance maladie et de régimes de sécurité sociale dans le pays dans lequel ils s'établissent pour trouver du travail (voir «Coordination des systèmes de sécurité sociale »). Qui peut profiter de cette liberté? Existe-t-il des restrictions?
Le livret d'accueil en entreprise - Fiche pratique Les objectifs du livret d'accueil en entrepriseLe livret d'accueil est donné au nouvel employé lors de son premier jour dans l'entreprise. Ce guide est destiné à faciliter les démarches du salarié au sein de sa nouvelle structure. Si le contenu du livret d'accueil dépend de chaque entreprise, il doit néanmoins présenter l'organisation dans les grandes lignes et proposer des éléments utiles et pratiques pour que le salarié puisse s'orienter dans son nouvel environnement. Le livret d'accueil doit être une boîte à outils dans laquelle le nouveau membre du personnel peut se plonger pour trouver des réponses à ses questions. Le contenu du livret d'accueil en entrepriseSi la réglementation en vigueur n'impose pas un plan détaillé du livret d'accueil, les entreprises cherchent néanmoins à y inscrire des informations indispensables pour une bonne intégration de son personnel arrivant.
Jeunes pousses et clause de non-concurrence : quels sont les risques ?, Jurisprudence Le succès d'une start-up étant lié au caractère innovant du produit ou du service proposé, les entrepreneurs ont le souci de se prémunir contre le danger de voir un collaborateur aller proposer son talent à une autre entreprise. Mais, tout en cherchant à se préserver, nombreux sont encore les employeurs qui rechignent à y mettre le prix. Aussi voit-on souvent dans les contrats des clauses portant toutes sortes de noms (clause de « non-détournement de clientèle », ou encore des interdictions de reprendre contact…) qui sont reconnues par les juges comme des clauses de non-concurrence. Celles-ci devraient obéir aux contraintes de validité exigées par la jurisprudence, mais ne le font pas, l'omission la plus répandue étant la contrepartie pécuniaire de l'interdiction de concurrence. Une clause de non-concurrence « gratuite », c'est-à-dire ne comportant pas de contrepartie financière, est nulle.
Intégration La Cour de cassation estime que les livreurs à vélo sont des salariés, et non des auto-entrepreneurs Dans un arrêt rendu mercredi, la plus haute juridiction française statue pour la première fois sur la qualification du contrat liant un livreur à une plate-forme numérique. C'est une décision inédite. Dans un arrêt rendu mercredi 28 novembre, la Cour de cassation estime que les livreurs à vélo, qui exercent leur activité sous un statut d’indépendant, sont des salariés, et non des auto-entrepreneurs. La plus haute juridiction française avait été saisie par un coursier de Take eat easy, société placée en liquidation judiciaire depuis. Ce livreur à vélo "avait saisi la juridiction prud’homale d’une demande de requalification de la relation contractuelle en contrat de travail", explique la Cour de cassation. Ainsi, la chambre sociale de la Cour de cassation souligne dans son arrêt qu'il existe "un pouvoir de direction et de contrôle de l’exécution de la prestation du livreur", qui caractérise "un lien de subordination" entre le travail du coursier et la société Take eat easy.
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