background preloader

I, Robot (film)

I, Robot (film)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir I, Robot. Bien qu'elle en reprenne le titre, l'intrigue du film est assez éloignée du scénario publié par Harlan Ellison et Isaac Asimov en 1978. À Chicago, en 2035, les robots sont pleinement intégrés dans la vie quotidienne. Première loi : Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger.Deuxième loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la première loi.Troisième loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n'est en contradiction ni avec la première ni avec la deuxième loi. Le problème est que par définition l'exécution des lois définies par Isaac Asimov dépend de leur interprétation, et que celle-ci peut donner des résultats inattendus. Source : Voxofilm Doublage : Dubbing Brothers Les Robots

Simone (film, 2002) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Simone. Simone[1] (ou S1M0NE) est un film américain d'Andrew Niccol, sorti en 2002. Sur le ton de la comédie et de la satire, il interroge sur les nouvelles possibilités en création numérique et le « star-system » hollywoodien. Viktor Taransky (Al Pacino), réalisateur hollywoodien sur le déclin, doit faire face au départ de la vedette capricieuse de son film. Celle-ci subjugue le public et la profession qui ne décèlent pas la mystification, et devient en deux films la vedette absolue d'Hollywood. Taransky décide alors de faire disparaître Simone, mais le leurre est trop parfait, et personne ne veut croire à la non-existence de celle-ci. Ayant pris conscience de l'impossibilité d'arrêter le processus, ils inventent une famille virtuelle pour le couple Taransky/Simone et lancent leur actrice virtuelle dans une carrière politique. Producteurs délégués : Bradley Cramp, Michael De Luca et Lynn Harris États-Unis :

Transformers (film) Ce blocbuster à très gros budget[1] est bien accueilli par le public : sur le plan mondial, il se classe à la quatrième place du box-office 2007[2] et en France à la 16e place. La critique est beaucoup plus réticente, particulièrement en France[3]. Deux suites, Transformers 2 : la Revanche et Transformers 3 : La Face cachée de la Lune, sorties en 2009 et en 2011, viennent constituer une trilogie. Un hélicoptère militaire non-déclaré se pose sur une base américaine au Qatar. Aux États-Unis, le jeune Sam Witwicky présente un exposé à sa classe sur son ancêtre Archibald Witwicky qui jadis, a mené une expédition en Arctique, avec certain objets dont de vieilles lunettes gravées d'étranges symboles. Plus tard, Sam voit sa voiture partir pensant qu'il s'agit d'un vol. Dans le désert, Lennox et ses hommes sont attaqués par le robot scorpion. Le lendemain, la Camaro roule à nouveau toute seule et Sam panique. Les Autobots sont reconnaissants envers les humains. Scènes inter-générique

A.I. Intelligence artificielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir AI. A.I. Intelligence artificielle (Artificial Intelligence: A.I. ou simplement A.I.) est un film de science-fiction américain réalisé par Steven Spielberg et sorti en 2001. Synopsis[modifier | modifier le code] Dans un monde futuriste ravagé par le réchauffement de la planète, les êtres humains vivent en parfaite harmonie avec les « mécas », des robots androïdes spécialement créés pour répondre à leurs besoins : tâches ménagères, services et… amour ! Martin n'est pas des plus gentils avec David. En compagnie d'un autre méca appelé Gigolo Joe, David se lance alors dans une quête spectaculaire pour devenir un vrai garçon et ainsi, être de nouveau adopté par sa famille d'accueil et aimé comme un fils par sa mère adoptive. Fiche technique[modifier | modifier le code] Producteurs délégués : Jan Harlan et Walter F. États-Unis - Canada : France : Classification : France : Tous publics [modifier | modifier le code]

Le robot humanoïde en 9 films MaschienenMensch dans Metropolis (Fritz Lang, 1927) Le premier robot humanoïde de l'histoire du cinéma, c'est lui. Enfin elle. Même si, aucune précision de genre n'est donné, le robot de Métropolis arbore des attributs hautement féminin et les traits du personnage de Maria. Z-6PO dans La Guerre des Etoiles (George Lucas, 1977) Z-6PO, droïde de protocole, veille sur le petit R2D2, chargé de remettre le message de la princesse Leia à Obiwan Kenobi. Roy Batty dans Blade Runner (Ridley Scott, 1982) Roy Batty est le chef des Replicants rebelles de Blade Runner. T-800 dans Terminator (James Cameron, 1984) Le T-800 est un Terminator, programmé pour tuer. Robocop (Paul Verhoeven, 1987) RoboCop, l'ancien flic Alex Murphy laissé pour mort dans un caniveau, ressuscite dans un corps cybernétique. Le T-1000 dans Terminator 2 : le jugement dernier (James Cameron, 1991) Envoyé par Skynet pour anéantir le juvénile John Connor, futur chef de la rébellion, le T-1000 est un androïde hyper sophistiqué.

Le Guide du voyageur galactique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir H2G2. Synopsis[modifier | modifier le code] Lorsqu'il est rejoint par Arthur et Ford, Zaphod s'avère être à la recherche d'une planète réputée légendaire, Magrathea, originellement construite de toutes pièces pour être un complexe hôtelier paradisiaque. Grâce aux formidables capacités du Cœur en Or, propulsé grâce au Générateur d'Improbabilité Infinie, Zaphod parvient à y atterrir. Ils y découvrent un gigantesque entrepôt, pouvant presque donner une idée de l'infinité, destiné à usiner des planètes. Les protagonistes sont interrompus par l'arrivée sur la planète de vaisseaux de police, à la recherche de Zaphod suspecté d'avoir volé le Cœur en Or. Personnages[modifier | modifier le code] Accueil et récompenses[modifier | modifier le code] Polémique autour du « Routard » galactique[modifier | modifier le code] La version française du Guide est initialement intitulée Le Guide du Routard galactique.

Le 51e État Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour le vocabulaire politique, voir 51e État. Le 51e État (titre original : The 51st State) est un film britannico-canadien réalisé par Ronny Yu, sorti en 2001. Synopsis[modifier | modifier le code] Elmo McElroy est un chimiste fou. Il a mis au point le P.O.S. 51, la drogue « parfaite », celle qui vous donne l'impression que Dieu lui-même est venu vous faire signe. Ce qu'ignore Elmo c'est que son ex-patron est toujours vivant, déterminé à se venger et à mettre la main sur la formule chimique. Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Le 51e État, sur Wikiquote (en) Le 51e État sur l’Internet Movie Database

Minority Report Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Minority Report (Rapport minoritaire au Québec et Nouveau-Brunswick) est un film de science-fiction américain réalisé par Steven Spielberg, sorti sur les écrans en 2002. Présentation générale[modifier | modifier le code] Situation initiale[modifier | modifier le code] Résumé[modifier | modifier le code] Dans cette première scène, son équipe est en train d'appréhender un suspect. Anderton est depuis quelque temps supervisé par Danny Witwer, un agent du Ministère de la Justice envoyé pour évaluer le système car les Américains vont bientôt être consultés par référendum pour étendre à tout le pays le programme Précrime, uniquement utilisé à Washington. Après l'intervention et le placement en état de stase du pré-criminel, Anderton retourne dans son appartement et y regarde des vidéos holographiques de son fils de six ans. Le lendemain, Witwer visite la salle où les trois précogs reposent dans un bassin rempli d'une substance translucide.

Related: