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HADOPI pour les nuls : explications et contournements - AgoraVox

HADOPI pour les nuls : explications et contournements - AgoraVox
Vendredi 3 avril 2009, l’assemblée nationale a adopté la loi "Création et Internet", avec seulement 16 députés dans l’hémicycle. Pourtant ce texte risque, s’il est appliqué, d’apporter de profondes modifications au web français tel que nous le connaissons. Cette loi instaure entre autres la "riposte graduée", qui en cas de téléchargement illégal, après l’envoi de 2 avertissements, prévoit la coupure de la connexion internet de l’abonné contrevenant. La plupart des arguments qui s’opposent à cette loi étant assez techniques, je vais tenter d’expliquer certains éléments de fonctionnement du net qui sont utiles pour les comprendres, puis j’aborderai point par point les éléments de la loi qui selon moi sont problématiques. J’essaierai également sur chaque point de montrer en quoi cette loi et d’ores et déjà inutile en montrant les différents contournements existants. Tout d’abord pour qu’il y ait sanction, il faut qu’il y ait constatation d’une infraction. Contournement : Contournement :

Comment contourner la cybersurveillance ? - BUG BROTHER - Blog L "Dans une démocratie, je considère qu’il est nécessaire que subsiste un espace de possibilité de fraude. Si l’on n’avait pas pu fabriquer de fausses cartes d’identité pendant la guerre, des dizaines de milliers d’hommes et de femmes auraient été arrêtés, déportés, sans doute morts. J’ai toujours été partisan de préserver de minimum d’espace sans lequel il n’y a pas de véritable démocratie." Ces propos n'émanent pas d'un crypto-révolutionnaire, mais de Raymond Forni, considéré comme le "père inspiré de la loi Informatique et libertés", qui fut d'ailleurs, et par trois fois, vice-président de la CNIL entre 1981 et l’an 2000, un poste qu'il quitta pour devenir président de l’Assemblée Nationale. En 1980, Raymond Forni expliquait déjà ce pour quoi l'opion sécuritaire ne pouvait que nuire à nos démocraties et, a contrario, renforcer les logiques totalitaires : "La thèse de l’infalsifiabilité comme moyen de lutte contre le terrorisme doit être ramenée à sa juste valeur.

Loi Hadopi : 52 artistes soutiennent la riposte graduée - PC INp Étienne Daho, Christophe Maé, Kery James, Sinik, Francis Cabrel, Patrick Bruel, Jean-Jacques Goldman, Jenifer, Stanislas, Raphaël, M Pokora, Keren Ann, Thomas Dutronc, Eddy Mitchell, Isabelle Boulay, Maxime Le Forestier, Martin Solveig, Marc Lavoine, Calogero, Gérard Darmon, Pascal Obispo, Jacob Devarrieux, Elie Seimoun, Alain Bashung, Bernard Lavilliers, Rachid Taha, Bob Sinclar, Psy4delarime, Abd Al Malik, Anis, André Manoukian, Charles Aznavour, Alain Souchon, Mademoiselle K, Soprano, Arthur H, BB Brunes, Liane Foly, Emmanuelle Seigner, Ridan, Renan Luce, Zita Swoon, Johnny Hallyday, Empyr, Kenza Farah, Shine, Camaro, Diam's, Renaud, Romane Cerda, Cali et la Grande Sophie. Ces artistes se disent « inquiets, très inquiets » car « aujourd'hui, de bonnes âmes essaient de faire croire que la liberté de tout faire, donc de faire tout et n'importe quoi sur Internet est un droit de l'homme que rien ne saurait contrarier sauf à tomber dans une forme de dictature préhistorique. Eh bien non !

IMULE - The Anonymous Emule: Invisible Filesharing (I2P) & Trust Analyse Liste SACEM Après références répétées de la ministre Mme Albanel et du rapporteur M. Riester à la pétition lancée par la SACEM en soutien du projet de loi "Protection et Diffusion sur Internet de la Création" (HADOPI), nous avons décidé de savoir quelle était la teneur de cette pétition. En effet, à maintes reprises ont été cités les "10 000 artistes qui soutiennent la loi"... Comme cette pétition était publiée sur le site Internet de la SACEM, nous avons entamé des recherches sur les noms afin de pouvoir sortir les statistiques publiées ci-dessous. Enfin, certains artistes n'ayant pas apprécié que leurs noms aient été associés à un critère "signature valide/invalide" et que des données (toutes trouvables publiquement sur Internet) les concernant soient réunies, nous avons préféré retirer les pages d'analyse nom par nom du wiki, ne laissant que les résultats de l'analyse et le communiqué. Pétition lancée en septembre 2008 [edit] Chiffres Officiels [edit] SACEM [edit] SNEP [edit] SCPP [edit] ADAMI

About – Deluge What is Deluge? ¶ Deluge is a full-featured ​BitTorrent client for Linux, OS X, Unix and Windows. Deluge features a rich plugin collection; in fact, most of Deluge's functionality is available in the form of plugins. Deluge was created with the intention of being lightweight and unobtrusive. Deluge is not designed for any one desktop environment and will work just fine in GNOME, KDE, XFCE and others. Deluge is ​Free Software and is licensed under the ​GNU General Public License. Who made Deluge? The Deluge Team consists of Andrew Resch, Damien Churchill and John Garland. The ​libtorrent library is a huge part of Deluge and is developed by Arvid Norberg. What about features? Deluge has a wide-array of features, including: Download the latest release and give it a try!

China Widens Net Censorship; Google Exile Looms | Threat Level | The Chinese government is imposing new internet restrictions demanding personal-website operators to acquire central-government permission to operate their sites. The latest censorship measure, which covers .cn domestic domains, comes as Google is trying to convince Chinese censors to ease up. Google said 43 days ago it would undertake a self-imposed exile from China if the government does not back off from requiring it to censor search results. The government said the latest move — which also requires site owners to submit a photograph and to show identification — was targeted at tackling pornography. Critics, though said it was based on silencing political dissent. China did not say when the rules would be enforced. The plan underscores that China is not likely to blink in its confrontation with Google, at least not anytime soon. Google declined Wednesday to directly address negotiations surrounding its China announcement. Illustration: TheG See Also:

LOPPSI, Loi d'Orientation et de Programmation pour la Performanc Can Someone Please Tell This Italian Judge What YouTube Is? Sometimes I despair of Europe, even though I’m proud of what can be achieved here. But really, guys, can we get it together? At the same time the European Union is investigating a pretty flimsy anti-trust complaint against Google, it’s conspiciously ignoring a case in Italy where three Google executives have been found guilty on a ridiculous charge. Here is the bizarre story. An Italian court yesterday convicted two current and one former Google exec in a trial over a video showing a teenager being bullied. Despite the fact that Google removed the video within hours of being notified of its existence, Judge Oscar Magi (pictured) absolved the three of defamation but convicted them of privacy violations. Google has responded in a justifiably vociferous blog post calling this a “serious threat to the web in Italy”. As Google explains: In late 2006 Students at a school in Turin, Italy filmed and then uploaded a video to Google Video that showed them bullying an autistic schoolmate. Hello?

Projet de loi de finances pour 2009 : Sécurité Le budget pour 2009 de la mission « Sécurité » est adossé à la future loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (LOPPSI 2). Ce texte, qui doit être prochainement soumis au Parlement par le gouvernement, visera à la modernisation de la police et de la gendarmerie sur les cinq prochaines années. Selon le projet annuel de performances pour 2009, la LOPPSI 2 répondra à deux objectifs principaux : - améliorer la performance de la sécurité intérieure par une modernisation technologique favorisant les capacités d'investigation, un renforcement de l'équipement ainsi que de la protection des personnels, et une approche valorisant l'accompagnement social ; - financer les projets de mutualisation favorisés par le rapprochement entre la police et la gendarmerie, dans le cadre de la RGPP. 1. Les crédits de la LOPPSI 2 dédiés à la police s'élèvent pour 2009 à 113,2 millions d'euros en autorisations d'engagement et à 61 millions d'euros en crédits de paiement.

ISP Filtering is happening in Australia, don't let it happen her A friend pointed me in the direction of a little piece of code behind the official site for the Senator the Hon. Stephen Conroy, Australian Minister for Broadband, Communications and the Digital Economy and Deputy Leader of the Government in the Senate. This is a screenshot of his website today (click for a larger version): Notice on the right hand sidebar a "tag cloud" with the most discussed topics on that site. Now let's look behind the scenes on the code used to create that "tag cloud": Oh, look... Now you understand why I think we shouldn't have a national Internet filter in New Zealand. (By the way, I hope using the website as an example don't put me on a "persona non grata" list in Australia...) Other related posts: Testing the Kingston DataTraveler Locker+ G3 Telecom enforces SSL email, uses wrong name in certificate Windows XP end of support: 8 April 2014

Olivier Henrard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Olivier Henrard est diplômé de l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence[1] et de la Faculté de droit d'Aix-Marseille III[réf. nécessaire]. Il a exercé, à la direction des affaires culturelles de la mairie de Paris, des responsabilités dans les secteurs de la musique et de l'art lyrique (1993-1996) puis des bibliothèques et du livre (1996-1999), dans les domaines budgétaire, juridique et des ressources humaines[réf. nécessaire]. Il a par ailleurs été, dans le cadre du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique, rapporteur de la commission sur le statut juridique des œuvres multimédia[3] (novembre 2004 - octobre 2005) ainsi que de la mission sur la Rémunération pour copie privée et les mesures de gestion électronique des droits (mai - octobre 2006). Il passe dans le privé en mars 2013, devenant secrétaire général de SFR[7]. Bibliograhie[modifier | modifier le code]

Internet censorship Internet censorship is the control or suppression of what can be accessed, published, or viewed on the Internet. It may be carried out by governments or by private organizations at the behest of government, regulators, or on their own initiative. Individuals and organizations may engage in self-censorship for moral, religious, or business reasons, to conform to societal norms, due to intimidation, or out of fear of legal or other consequences.[1] The extent of Internet censorship varies on a country-to-country basis. Support for and opposition to Internet censorship also varies. Overview[edit] Many of the issues associated with Internet censorship are similar to those for offline censorship of more traditional media such as newspapers, magazines, books, music, radio, television, and film. Views about the feasibility and effectiveness of Internet censorship have evolved in parallel with the development of the Internet and censorship technologies: Content suppression methods[edit]

Reporters Sans Frontières Reporters Without Borders marks the World Summit on the Information Society by presenting 15 countries that are “enemies of the Internet” and pointing to a dozen others whose attitude to it is worrying. The 15 “enemies” are the countries that crack down hardest on the Internet, censoring independent news sites and opposition publications, monitoring the Web to stifle dissident voices, and harassing, intimidating and sometimes imprisoning Internet users and bloggers who deviate from the regime’s official line. The “countries to watch” do not have much in common with the "enemies of the Internet." The plight of a Chinese Internet user, who risks prison by mentioning human rights in an online forum, does not compare with the situation of a user in France or the United States. Yet many countries that have so far respected online freedom seem these days to want to control the Internet more. The 15 enemies of the Internet (in alphabetical order) Countries to watch (in alphabetical order)

How Internet Censorship Works" One of the early nicknames for the Internet was the "information superhighway" because it was supposed to provide the average person with fast access to a practically limitless amount of data. For many users, that's exactly what accessing the Internet is like. For others, it's as if the information superhighway has some major roadblocks in the form of Internet censorship. The motivations for censorship range from well-intentioned desires to protect children from unsuitable content to authoritarian attempts to control a nation's access to information. Internet censorship isn't just a parental or governmental tool. While there are some outspoken supporters and opponents of Internet censorship, it's not always easy to divide everyone into one camp or another. In this article, we'll look at the different levels of Internet censorship, from off-the-shelf Web filters to national policy. We'll start off by looking at Internet censorship on the domestic level.

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