WikiLeaks: Bradley Manning en isolement » Article » OWNI, Digital Journalism Suspecté d'avoir transmis des documents à WikiLeaks, Bradley Manning serait aujourd'hui placé en isolement dans une prison américaine. Des conditions particulièrement éprouvantes, pour un individu vierge de toute condamnation. Bradley Manning, le soldat américain de 22 ans soupçonné d’être la “gorge profonde” de WikiLeaks, n’a pas été condamné pour cela, ni pour aucun autre crime. Il n’est est pas moins incarcéré depuis cinq mois en Virginie (après être resté deux mois dans une prison militaire au Koweit), et soumis à des “traitements cruels et inhumains considérés dans de nombreux pays comme relevant de la torture, susceptibles d’entraîner des séquelles psychologiques à long terme“. C’est ce que révèle Glenn Greenwald, juriste et chroniqueur au magazine Salon, dans un long article basé sur les témoignages de plusieurs personnes en contact direct avec lui. On y apprend que, depuis son arrestation, en mai, Bradley Manning est un détenu modèle, sans problèmes de violence ni de discipline.
"The Jester", le hacker patriote qui aurait piraté Wikileaks Montage réalisé à partir de l’avatar du compte @th3J3st3r sur Twitter On ne sait rien de lui, si ce n’est qu’il aurait servi en Afghanistan comme soldat, peut-être dans une unité spéciale, mais qu’il serait désormais à la retraite. La fluidité de son écriture en anglais et son vocabulaire laissent penser qu’il est Américain. « The Jester » (« bouffon ») tient à garder son identité secrète et pour cause, ses agissements peuvent lui coûter la vie. Fin novembre, il se faisait remarquer en revendiquant le piratage du site WikiLeaks, alors que la mise en ligne de quelques 250 000 télégrammes diplomatiques confidentiels par le site de divulgation de secrets plongeait la diplomatie américaine dans la panique. « Th3 j35t3r », représentant d’une nouvelle génération de « hackers » ‘ The Jester ’ ou ‘ Th3 j35t3r ’ (c’est du ‘leet speak’) fait partie d’une nouvelle génération de ‘ hackers ’ qui utilisent leur connaissance en informatique au service de leur engagement politique.
Wikileaks : entre guerre des hackers, censure et espionnage Surprise, surprise: WikiLeaks continue de faire les gros titres de la presse ce week-end, avec notamment:la vieille garde du magazine 2600 qui condamne les apprentis pirates en culottes courtes d’Anon,un employé de la sécurité intérieure américaine qui proteste contre la censure,Julian Assange menacé de poursuites pour espionnage aux États-Unis. 2600 vs. Anonymous S’il y a bien des gars qui s’y connaissent en piratage, c’est l’équipe de 2600: The Hacker Quarterly. Et pas seulement parce qu’il y a hacker dans leur nom. 2600 est en quelque sorte le Conseil des Jedi du piratage, un groupe des sages. 2600 a publié une déclaration condamnant les attaques DDoS, expliquant que ces attaques par déni de service distribué desservaient plus Wikileaks qu’autre chose: “cela apportera de l’eau au moulin de ceux qui veulent tous nous cataloguer comme des menaces pour museler la liberté d’expression et imposer toutes sortes de restrictions sur l’Internet.”
Wikileaks THE FIFTH ESTATE Official Trailer by The Fifth Estate 1 month ago 1,852,127 views L’affaire Cahuzac et ses retombées… qui ne font que commencer ! J’évoque ceci dans la vidéo, mon billet du 20 janvier 2010 : Top 10 du Post des blogs politiques qui montent. LE MONDE, « Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés », jeudi 4 – vendredi 5 avril 2013 Le texte qui suit est plus long que celui qui paraît dans Le Monde. Julian Assange et le siège de l’ambassade de l’Équateur à Londres Ringolevio d’Emmett Grogan La banque Standard Chartered et les régulateurs La vidéo sur YouTube. The English version of this post can be found here. LES ÉCHOS, Chute du monde ancien ? Un compte-rendu de La guerre civile numérique (Textuel 2011) par Pascal Ordonneau dans Les Échos. BFM RADIO, LUNDI 20 DECEMBRE A 11h39 – LE CONSOMMATEUR DESARME Ce texte est un « article presslib’ » (*) Les crises ont cet effet que des choses jusque-là invisibles apparaissent soudain en surface.
WikiLeaks en accusation sur les 250 000 câbles non expurgés Julian Assange au tribunal de Londres, le 13 juillet (Suzanne Plunkett/Reuters). Les télégrammes étaient déjà sur Internet, en version non-expurgée. Mais en décidant, la nuit dernière, de publier à son tour les 251 287 câbles diplomatiques sans biffer les noms de personnes pouvant pâtir de cette publication, WikiLeaks suscite la consternation. Critiquée de toute part, l’organisation de Julian Assange est aux abonnés absents. Ce qui pose « la » question : qui, désormais, acceptera de faire confiance à WikiLeaks ? Mais la décision d’entériner cette fuite en la répétant, prise après la consultation, jeudi, de milliers d’internautes sur Twitter, provoque un effet déplorable : donner le sentiment que WikiLeaks approuve la divulgation des identités de personnes potentiellement menacées. « Julian Assange est seul responsable » Le New York Times, le Guardian, El Pais, Der Spiegel et Le Monde accusent explicitement Julian Assange : « WikiLeaks s’est tiré une balle dans le pied », selon RSF
WikiLeaks Julian Assange Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Julian Assange Julian Assange en Norvège, en mars 2010. Julian Paul Assange, né le à Townsville en Australie[1], est un informaticien et cybermilitant australien. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Julian Assange affirme être né sur Magnetic Island (l'île Magnétique),[2],[3], au large de Townsville en Australie, où il passe une grande partie de son enfance. En 1979, sa mère se remarie avec un musicien, « fils présumé d'Anne Hamilton-Byrne[7] », fondateur de la secte New Age Kia Lama[8],[9],[10], fondée par Anne Hamilton-Byrne. En 1982, le couple divorce après la naissance du demi-frère de Julian. À l'âge de 18 ans, Julian Assange emménage avec sa compagne qui donne naissance à leur fils, Daniel[3],[14]. Carrière informatique et études universitaires[modifier | modifier le code] Assange a fréquenté six universités. Carrière au sein de WikiLeaks[modifier | modifier le code] Le , Donald S.
WikiLeaks : représailles de l'Empire... et contre-offensive des "barbares" De même qu’un ex-footballeur sema l’émoi dans un système bancaire fébrile, Julian Assange et WikiLeaks forcent un Empire occidental humilié à dévoiler un visage bien moins avenant qu’il n’essaie de le laisser penser. Et bien plus vulnérable qu’il ne voudrait le croire. Collusion vengeresse des « forces du Bien » Résumons : un mandat d’arrêt international du parquet suédois et d’Interpol contre Assange... pour un simple complément d’informations sur deux troubles accusations de viol (pardon, « sexe par surprise ») ; l’arrestation d’Assange à Londres (il s’est en fait rendu de lui-même à Scotland Yard) ; le maintien du suspect en détention jusqu’au 14 décembre. Plus : la fermeture de l’hébergement de WikiLeaks par Amazon ; la suspension des virements à destination de WikiLeaks par MasterCard, Visa Europe et PayPal ; la fermeture du compte bancaire d’Assange par la banque suisse Postfinance. La défense de l’Empire... à n’importe quel prix prix Les « barbares » du Net contre-attaquent
WikiLeaks founder Assange slams Swiss banker arrest Anatomy of a Smear: WikiLeaks' Assange Wanted for "Sex by Surprise," Not Rape WikiLeaks founder Julian Assange is facing arrest for violating a Swedish law about sex without condoms, rather than a mainstream interpretation of "rape." Yet that's the charge reports often levy against him. Behold the smear campaign. The New York Times wrote about the case on Thursday, noting that Swedish authorities were hunting Assange on charges of "rape, sexual molestation, and unlawful coercion." The Swedish charges aren't exactly new, though. Assange has questioned the "veracity" of the two women's statements, as the Times report notes. Then came the Interpol warrant, and with it, a new life for the previous rape accusations. But few outlets are as concerned as the Times with nuance. A Google search for "Julian Assange rape" returns over 445,000 responses. We're absolutely not condoning non-consensual sex acts in any way, but arguably this story isn't about subtleties of semantics and centers on the labyrinthine--and seemingly nation-specific--laws Assange has violated.
WikiLeaks dévoile 250 000 échanges diplomatiques américains Le contenu de 250 000 câbles diplomatiques américains dévoilés par le site WikiLeaks a été publié dimanche par les grands titres de la presse mondiale, révélant les dessous de la diplomatie des Etats-Unis, comme lorsque Ryad appelait Washington à attaquer l'Iran. La Maison Blanche a condamné "dans les termes les plus forts" la publication "irresponsable et dangereuse" de ces documents, affirmant que l'initiative de WikiLeaks pourrait faire courir des risques mortels à des individus. Il s'agit "d'un quart de million de câbles diplomatiques américains confidentiels", écrit le New York Times, auquel Wikileaks a donné accès aux documents, comme à quatre titres de référence de la presse mondiale: Le Monde (France), The Guardian (Grande-Bretagne), El Pais (Espagne) et Der Spiegel (Allemagne). Ces notes "offrent un panorama inédit des négociations d'arrière-salle telles que les pratiquent les ambassades à travers le monde", observe le quotidien américain. Avec
Comment WikiLeaks embringue la presse traditionnelle Un site web participatif a forcé des poids lourds de la presse à vérifier des infos dont ils ne connaissaient pas l’origine. Une première. Julian Assange tenant The Guardian, le 26 juillet à Londres (Andrew Winning/Reuters). C’est une révolution dans les médias : un site internet participatif met sous le nez de trois mastodontes du journalisme la plus grosse fuite de documents de l’Histoire, et les force à recouper des informations dont ils ne connaissent pas la provenance. « Si c’est du bon journalisme, c’est controversé par nature », se défend Julian Assange, fondateur du site WikiLeaks, en publiant plus de 90 000 rapports confidentiels sur la guerre en Afghanistan. Créé en décembre 2006, WikiLeaks est un site « Wiki », autrement dit auquel chacun peut contribuer. Et ce avant leur publication sur WikiLeaks, une formule révolutionnaire pour l’auto-proclamé « service de renseignement du peuple », censé s’affranchir du journalisme d’investigation. Comment WikiLeaks a partagé ses documents
Julian Assange