En cachant sa grossesse en ligne, elle devient suspecte - Slate.fr
La Cnil s’attaque au cookie : trop tard, pour Google et Facebook, il est mort
Fini les cookies, plusieurs géants du Web ont changé de technique pour vous suivre à la trace. Plus subtile et tout aussi efficace. Comme prévu, la Cnil (Commission nationale de l’informatique et des libertés) s’attaque aux cookies. Vous savez, ce traceur déposé sur le disque dur à chaque consultation d’un site. Celui-là même qui vous permet d’être reconnu quand vous revenez sur un site que vous avez déjà fréquenté (et vous évite donc d’avoir à entrer à nouveau vos coordonnées). Celui-là même aussi qui a failli vous griller auprès de votre femme quand vous êtes allés sur un site de vente de lingerie pour un « cadeau », et que des femmes en culotte apparaissaient désormais sur tous les sites consultés sans que vous ne sachiez pourquoi ni comment. La Cnil estime que certains sites en font une utilisation abusive, et prévoit des sanctions allant jusqu’à 150 000 euros. En clair ? Capture du bandeau sur les cookies, sur le site de Priceminister RIP les cookies Une poignée de terre sur un mort
Données personnelles : enjeu commercial ou philosophique
Les négociations des accords de libre-échange entre les États-Unis et l’Union Europénne (accords dits TTIP) ont donc commencé hier. Parmi les questions abordées, celle des données personnelles. L’enjeu est à peu près le suivant : les gros acteurs américains de l’internet (Google et Facebook) aimeraient que les négociateurs américains obtiennent un allègement des règles de protections des données personnelles en Europe, estimant que ces règles sont trop rigides et qu’elles sont donc un frein à leur activité. Vous me direz, de toute façon on n’y comprend rien à ces questions d’accords de libre échange, de données personnelles, qu’est-ce que change que l’on négocie ou pas sur les données personnelles ? Eh bien, ça change pas mal et pour vous en convaincre, je vais vous raconter une histoire. La négociation sur la protection des données personnelles pose des questions simples : dans quel monde voulez-vous vivre ? Alors voilà je le dis franchement. Xavier de la Porte
La confidentialité dont Facebook ne vous parle jamais
Début novembre, Facebook a lancé une nouvelle page, les «Privacy Basics», ou notions de base sur la confidentialité. Avec des graphiques inspirés, des animations rigolotes et une présentation simple et claire, la rubrique tient davantage du tutoriel interactif que du jargon juridique. Pas à pas, elle vous expliquera comment modifier les paramètres de sécurité de vos posts et de votre profil, comment gérer votre liste d'amis, unfollower des gens et éviter qu'on vous tague sur des images sans votre permission. Et elle vous dira même comment personnaliser ce qui apparaît dans votre fil d'actualité, publicités y compris. Ces paramètres sont divisés en trois catégories: ce que vous montrez aux autres, comment les autres interagissent avec vous et ce que vous voyez. Mais il y a une catégorie que vous ne trouverez pas dans ces nouvelles «notions de base sur la confidentialité»: comment contrôler ce que vous montrez à Facebook. Pourquoi faudrait-il vous soucier de ce que vous montrez à Facebook?
the future of genetic privacy: erase DNA with an invisible spray kit
may 04, 2014 the future of genetic privacy: erase your DNA with invisible spray kit the future of genetic privacy: erase your DNA with heather dewey-hagborg’s invisible sprayimage courtesy biogenfutures in 2013, american artist heather dewey-hagborg created a series of 3D printed portrait sculptures from DNA collected in public places. from cigarette butts to hair samples, she used fingerprint and lipstick samples left-behind from un-suspecting strangers to recreate highly detailed facial figures. in 2014, dewey-hagborg takes her research one step further, with the aim to completely erase your identity by making it ‘invisible’. her new company biogenfutures, has announced a product that will make it nearly impossible for authorities to trace DNA. protecting genetic privacy with an ‘invisible erase and replace’ spray kitvideo courtesy biogenfutures rodrigo caula I designboom
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Droit à l'oubli : Europe 1, Google 0
"Une personne peut s’adresser directement à [Google] pour obtenir, sous certaines conditions, la suppression d'un lien de la liste de résultats" En une phrase, la Cour de justice de l'Union européenne a fait faire un grand pas au droit à l'oubli en Europe. Tout est parti de la plainte d'un internaute espagnol, qui a attaqué un journal local et Google devant l’Agence espagnole de protection des données (l'équivalent de la CNIL). En cause, deux articles de presse datant de 1998 qui faisaient mention des dettes de l'internaute. Montebourg et Lemaire saluent la décision La décision a visiblement ravi Arnaud Montebourg et Axelle Lemaire. Les deux ministres ont publié un communiqué de presse commun pour saluer un arrêt qui "constitue une réelle avancée pour la protection de la vie privée des citoyens européens".
Le masque anti-surveillance qui vous permet de passer pour quelqu'un d'autre - Cnet.com
Et si l’Internet des Objets était également une chance en termes de sécurité
01net. le 14/04/14 à 17h18 En juillet dernier, Cisco prévoyait que 50 milliards d’objets seraient connectés au Net d’ici 2020. Un chiffre vertigineux qui pose d’évidentes questions d’usage, d’infrastructures réseaux et de sécurité. Au point que certains experts annoncent que l’Internet des objets pourraient devenir « l’Internet des vulnérabilités ». A l’occasion d’une table ronde, nous avons eu l’occasion d’entendre et d’interroger Siân John, directrice technique de Symantec pour le Royaume-Uni et l’Irlande. La vie extrêmement privée De son point de vue, la question de la sécurité est évidemment centrale. A cause aussi d’un effet collatéral de cette omniprésence. Quelle motivation ? Car vos données personnelles pourraient bien être la prochaine cible des attaquants. D’une part parce que la puissance de calcul de certains de ces appareils ne sera pas suffisante pour être exploitable, même par le biais d'un botnet. © Symantec Une nouvelle économie C'est en tout cas la vision de Siân John.
L'oeil espion... Google vient de concevoir une lentille de contact ave
Google vient de déposer un brevet pour une lentille de contact qui contient une petite caméra. Au début de cette année, on avait appris que Google travaillait sur une lentille de contact intelligente dotée d’une puce minuscule, d’un capteur de glucose et d’une antenne miniaturisés spécialement conçue pour mesurer la glycémie pour les personnes diabétiques. Mais dans la demande de dépôt de brevet découverte par Patentbolt, les lentilles intègrent maintenant une caméra qui pourrait aider les malvoyants à se déplacer en toute sécurité, par exemple en détectant des obstacles et des véhicules en mouvement. Les images de la caméra pourraient être décryptées par une application sur smartphone qui pourrait envoyer un signal d’alerte sonore en cas de danger. En outre, certaines fonctionnalités des Google Glass, les lunettes interactives de Google, pourraient être intégrés dans la lentille de contact.
Surveiller les surveillants... tous les surveillants - FastCoDesign